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Une femme un homme

 

 

Sommaire:

 

 

A la piscine:

Déjà, pour ma présentation, je suis un jeune de 23 ans, 1.90 m environ, mince mais de bonne constitution. Pas vraiment athlétique mais j'ai un physique constant et une endurance hors du commun. Bien qu'étant timide, j'aime bien me pousser à l’extrême, c'est un peu pourquoi cette histoire s'est produite. Par égard pour ces acteurs, j'en changerais les noms.

           Cette histoire date d'il y a de cela quelques semaines. Au cours d'une soirée (samedi), j'ai rencontré 2 femmes Marine et Yasmine. Les jours précédents. Yasmine m' a tout de suite tapé à l’œil, elle était vêtue d'un matelot (ces mini-culottes Jean) qui mettait son fabuleux fessier en valeur, donnant envie de s'y perdre. De plus, sa poitrine, bonnet C je dirait, ne gâchait rien au décor, l'ensemble m'a conquis. Tandis que marine elle, bien qu'aussi vêtue de matelot n'avait qu'un fessier banal, doublé d'un bonnet A ou B maximum (ce dont je doute fortement).
          Pour en revenir à l'histoire, j'étais on ne peut plus crevé, à cause d'une succession d'insomnies et de journées de travail harassante. Je ne voulais donc point danser, en fait, je désirais même rentrer me pieuter. A 1h du matin, pas très prudent de se balader dans le secteur du coup je suis coincé sur place. Marine, voyant mon manque d'entrain, décida de me motiver un peu. Elle se mit donc à danser devant moi, puis sur moi. Se frottant avec une telle langueur que j'ai senti mon sexe commencer à durcir dans mon pantalon. Nous trouvant dans un bureau et la salle n'étant point vide, je refusais de perdre la tête et affaissais dans un des sièges présents. Elle suivit mon mouvement et s'assit sur moi. Je pensais y avoir échappé mais que non, elle semis à faire onduler son bassin lentement, prenant bien soin de s'appuyer au maximum contre ma bite qui se remit à pointer de la tête. J'étais excité et pétrifié à la fois. Mon calvaire s'étendant sur une trentaine de minutes au terme desquelles enfin, elle alla danser dans l'autre salle, laissant mon pouls retomber.

          Une chose à savoir sur moi, je déteste perdre les défis, surtout face aux filles (pas de sexisme, juste une fierté débordante). Pour ma revanche, j'organisais une piscine-party pour le lendemain (bikini obligatoire pour les filles). Tout le monde serait encore crevé, parfait pour un dérapage contrôlé. oh comme je me trompais !

         Dimanche donc, à 14h, nous voici tous les 4 réunis autour d'une piscine publique afin de nous relaxer. Notre carré étant composé des 2 demoiselles sus-nommées, de Ted (un de mes amis) et enfin de moi, votre narrateur.  Étant le seul à savoir réellement nager, j'avais en théorie le contrôle total de la situation. ET ce fut le cas jusqu'à ce que, voyant que personne n'arrivait à me suivre, je vins accoster au milieu de ces dames. Désireux de flirter avec yasmine, je lui proposais de la coacher, elle accepta sans hésitation et ainsi démarra la séquence caresse. Je détenais le parfait argument pour laisser balader mes mains sur ses courbes qui me faisait tant d'effet. et ne m'en privait pas. Je lui caressais les fesses profitant qu'elle était sur le dos et lui conseillant de se laisser aller, de sentir l'eau autour d'elle. Je contemplais ses magnifiques seins, balloter par l'eau et comprimer par ce cher soutien, quel délice. Quand j'en eu assez, je lui demandais de se mettre sur le ventre et ainsi pouvoir caresser ses seins et mater ses seins. Le hic c'est que, étant totalement sous le charme, j'en oubliais l'autre qui était déterminée à me chauffer à mort.

     Après cet interlude, nous revînmes rejoindre les autres. Pour les adeptes de jacuzzi vous savez l'effet que produit l'eau en sortant sous pression sur la peau, en particulier dans certaines zones. Justement, il y avait une sortie d'eau,  J'essayais d'y amener Yasmine mais la position n'était pas des plus confortable, je dus renoncer. C'est alors que marine me refit son show. Moi adossé à la sortie, elle adossée à moi, ondulant son bassin d'une façon ... magique. A la base elle ne m'intéressait pas plus que ça mais je dois avouer que là, elle m'a provoqué l'une des plus belles érection de ma vie. Vu comment il est aisé de le dissimuler en maillot de bain, j'essayais de me calmer mais sans succès. Je sentais ma verge durcir à ne plus en finir, le sang quitter mon cerveau pour se concentrer dans mon phallus. Je vibrais. J'avais une envie folle de la pénétrer là, tout de suite mais le bas de son bikini ne me laissait pas assez de place, de plus je ne pouvait décemment le lui enlever vu qu'il y avait du monde. Arghhh, quelle torture exquise, moi  pris dans mon propre piège et elle se frottant de plus en plus fort. Pour ne pas éclater, je du sortir mes mains de l'eau et les poser sur le rebord de la piscine. Un nageur ayant remarqué notre manège vint s'arrêter tout près de nous  et nous demander ce que nous faisions là. Ce qui eu pour effet de m’exciter encore plus sans la déranger du moins du monde. Elle continua langoureusement à me faire aller et venir entre ses fesses. Je n'en pouvais plus de cette délicieuse torture, sentir mon sexe frotter longuement entre ses fesses, rien que d'y repenser, je bande. Ted me secouru en la tirant à lui pour lui parler (et se faire chauffer un peu lui aussi). J'en profitait pour faire quelques brasses question de faire retomber ma température.

          On se rassembla dans un coin un peu tranquille et ensuite, vint le jeu. Un pseudo jeu tout bête en fait : plonger, les paupières closes et caresser ce qui se trouvait à portée. Bien sur personne ne devait respecter cette règle. Au départ, étant timide de nature, je m'y cantonnais, ce qui se trouvait à portée ne pouvait n'être décemment qu'une poitrine ! J’eus mon démenti en sentant précisément la main de marine me masser les couilles et les sexe à travers mon maillot. D'abord lentement, puis de plus en plus vite.  Heureusement que personne n'avait de branchie sur place donc émersion, ouf, sauvé. Yasmine était en face de moi donc l'atteindre était difficile. A la prochaine immersion je du donc me contanter de caresser Marine. J'y croisais ( à ma surprise ) les mains de ted. On permuta donc nos positions et là ce fut le paradis ...

          L'histoire ne fini pas là, bien au contraire. Je vous en dirais plus la prochaine fois si ça vous intéresse. C'est ma première histoire donc merci de ranger vos cutters. Je m'améliorerais avec le temps si vous m'y aidez du moins je pense.  

 

 Madame Simitis:

Le vrombissement du ventilateur ne parvenait pas à rafraichir l'air étouffant de l'appartement, j'avais beau ouvrir les portes fenêtres en grand, arroser la terrasse le soir comme on me l'avait conseillé rien n'y faisait, Athènes était une ville infernale pendant l'été. Depuis six mois j'étais en poste pour un grand voyagiste en Grèce et l'appartement de fonction n'était pas équipé de climatisation, au début des années 80 leur
utilisation n'était pas encore très répandue. Je me retournais et me retournais dans mon lit en pensant et en repensant à Mme Catarina Simitis ma voisine du dessous, une belle divorcée de 40 ans qui régulièrement m'attendait sur le pas de la porte quand je rentrais du bureau ou de l'aéroport. Elle était très
francophile et parlait un français un peu désuet avec un fort accent, toujours habillée avec soin et élégance, elle était distinguée et se targuait de connaitre beaucoup de gens de la communauté française d'Athènes.

J'étais très attiré par cette femme et je pensais que demain j'allais finalement accepter son invitation à prendre l'apéritif comme elle me l'avait proposé de nombreuse fois. Je n'avais aucune expérience avec une femme beaucoup plus âgée que moi, 17 ans de différence c'était beaucoup ! Comment me comporter ? Une
relation était elle possible ? Etait-ce envisageable en Grèce un pays certainement moins ouvert à la liberté sexuelle que nous connaissions en France.

Le lendemain matin en prenant mon petit-déjeuner sur la terrasse j'aperçus Mme Simitis qui arrosait ses fleurs, elle était déjà debout. En partant pour le travail je sonnais à sa porte.
- C'est Julien du 4°, votre voisin ! Elle ouvrit la porte et m'accueillit avec un grand sourire.
-
Kalimera Jeune monsieur français comment allez-vous ?
- Très bien et vous-même ?
- Ça va j'arrose mes plantes qui en ont bien besoin avec cette chaleur !
- Je voulais vous demander si nous pouvions nous voir pour boire quelque chose à l'apéritif ? je vous invite dans un endroit très sympa dans le centre a côté de mon bureau et… vous pouvez m'appeler Julien c'est mon nom.
- Très bien jeune homme j'accepte cette invitation avec grand plaisir, je dois voir une amie dans le centre nous pourrions nous retrouver sur la place syntagma?
- Venez directement me retrouver à mon bureau a 18h00 c'est à coté, vous connaissez Panelastour !
- Oui je vois, à ce soir alors, passez une bonne journée.

Je pris ma voiture pour m'engouffrer dans le trafic chaotique de la ville et tout en conduisant je pensais au culot que j'avais eu, mon esprit commença à vagabonder sur les possibilités que m'offrait ce rendez-vous.

A 18h00 précise elle se présenta à l'entrée de mon bureau
- Alors, c'est ici que vous travaillez jeune Français ? C'est très agréable cet air Conditionné, dehors le thermomètre affiche 38°.

Elle était vêtue d'un tailleur Chanel léger avec des boutons et une petite ceinture dorés, la jupe était courte, au-dessus des genoux et très cintrée, ce qui mettait en valeur sa silhouette élancée, elle tenait sa veste jetée sur son épaule, son chemisier était légèrement tendu par sa poitrine retenue par un soutien-gorge dont j'apercevais le tissu légèrement plus sombre.
- Mme Simitis, profitons de cette fraicheur avant de sortir, j'ai une bouteille de champagne au frais, elle arrive par la « valise diplomatique ».
- Pas de Mme Simitis, vous voulez me vieillir mon jeune ami, pour vous ce sera Catarina, j'insiste ! Pour le champagne ma fois ce sera avec plaisir, les bulles nous font tourner les tètes.

Etait-ce une invitation ? Elle s'assit dans le fauteuil en face de mon bureau en croisant ses jambes et mettant en valeur ses pieds chausses d'escarpins vernis avec une boucle dorée et un petit talon. Elle
dégustait son champagne petit à petit tout en me faisant la conversation. Ses cheveux blonds étaient tirés en arrière par une petite queue de cheval ce qui accentuait un peu ses traits aquilins et faisait ressortir ses yeux très sombres. C'était une belle femme dont la décontraction et l'autorité naturelle me troublaient. Elle me raconta un peu de son divorce qui lui avait été très profitable, elle travaillait de temps en temps pour une société qui avait besoin de traductions et elle fréquentait la communauté française d'Athènes où elle
avait de nombreux amis.

Il me fallait oser :
- Catarina, avez-vous déjà eu un amant français ?
- Bien-sûr mais certainement plus âgé que vous !


Je me levai, l'invitai à faire de même en lui prenant la main, je l'attirai vers moi un peu brusquement et j'embrassai sur la bouche. Elle me rendit mon étreinte et mon baiser qui devint rapidement passionné. Mes mains commencèrent à lui caresser les seins à travers le tissu de son chemisier en la poussant petit à petit vers le bureau où elle m'arrêta.
- Vous voulez me prendre comme ça sur votre bureau, c'est un peu cavalier jeune homme !

Je m'écartai un peu en la regardant fixement.
- Cela va être dur d'attendre je vous désire tant Catarina ! Je continuais à la vouvoyer, c'était très troublant
de jouer le jeu de ce rapport formel dans cette situation scabreuse.


Elle sembla perdue dans ses pensées pendant un court instant et d'un coup se baissa, releva sa jupe autour de sa taille et s'assit sur le bord du bureau. De nouveau je m'approchai d'elle et l'embrassai avec fougue, elle se pencha en arrière en s'appuyant sur les mains, j'enfouis mon visage entre ses seins et commençai à déboutonner son chemisier et a lui palper sa poitrine à travers son soutien-gorges en dentelle. Elle se releva un instant et se pencha pour ôter sa culotte et son chemisier qui atterrirent sur le plancher, puis elle
déboutonna mon pantalon, me baissa le caleçon, empoigna mon sexe et m'attirant vers elle, s'allongea complètement sur le bureau tout en relevant les jambes. Penché sur elle je lui caressais son sexe recouvert d'une toison souple, après avoir introduit un doigt je m'aperçus qu'elle n'avait pas besoin de lubrification supplémentaire et je m'introduisis dans son intimité, guidé par sa main experte. D'une main je malaxais ses fesses et de l'autre ses seins toujours retenus par son soutien-gorge tout en lui donnant de nombreux baisers humides et passionnés, nos dents s'entrechoquant doucement. Ses jambes se croisèrent dans
mon dos et après quelques instants j'éjaculai en elle.

Je restai en elle quelques temps, mais sentis mon excitation revenir, mais elle se relava et commença à se rhabiller.
- Je n'ai plus l'âge de faire des galipettes sur un bureau, nous serions mieux dans un lit vous ne trouvez pas. Finissons notre champagne et allons manger quelques choses.

Après avoir dîné dans un restaurant du centre-ville et passé une soirée des plus agréables, nous rentrâmes à notre domicile avec ma voiture, je la déposai devant l'immeuble en lui demandant de patienter, car je devais aller me garer. Elle m'embrassa tendrement, mais me dit de ne pas l'attendre, car elle était fatiguée et devait partir très tôt demain matin.

Effectivement le lendemain matin je m'aperçus que son appartement était vide je partais pour l'aéroport ou de nombreuses arrivées étaient prévues. Elle me téléphona au bureau dans l'après-midi en me demandant si j'étais libre le jour suivant, elle voulait me faire découvrir une plage magnifique dans le haut du Péloponnèse. Je pouvais m'arranger et bien-sûr acceptai sa proposition, rendez-vous en bas de l'immeuble
à huit heures.

Elle portait un grand chapeau de paille et était vêtue d'une ample robe blanche en lin et je devinai son maillot de bain une pièce noir en dessous. Finalement je pourrais observer son corps à loisir. De grandes
lunettes de soleil cachaient son regard et une partie de son visage. Après être sortis des embouteillages à la sortie d'Athènes, longé le spectacle magnifique de l'Ile de Salamine et passé le pont sur le canal de Corinthe nous nous engagions le long de la côte découpée du Péloponnèse. La mer d'un bleu profond baignait de nombreuses petites criques ou de petites plages de galets brillaient au soleil. Elle m'expliquait que son ami Manolis lui prêtait quand elle le voulait cette maison à côté d'Ermioni, situé le long d'une plage de petits
galets pratiquement toujours déserte.

Après avoir ouvert le portail je garai la voiture dans le jardin sous un arbre en espérant la retrouver plus
fraiche en repartant. Catarina ouvrit la porte de la petite maison qui était très modeste, nous la traversâmes pour nous retrouver de l'autre côté sur la terrasse, face à une mer d'un bleu profond et étincelante. La plage étroite de sable et galet était bordé d'arbres d'eucalyptus qui offraient une ombre et une fraicheur bienvenue.

Elle ouvrit une petite cabane d'où elle sortit deux lits de plage et un parasol, nous nous installâmes sur la plage dans un endroit qui devait être habituel, car il y avait une petite table basse et un pied pour
notre parasol. Pas un nuage à l'horizon comme presque tous les jours l'été en Grèce, la plage était complètement déserte et les quelques autres habitations étaient éloignées et semblaient fermées. Le Paradis !
- On va tout de suite se baigner il fait trop chaud.
- Attention au contraste l'eau est très fraiche par ici dit-elle en enlevant sa robe son chapeau et ses lunettes.


La longueur de ses jambes était accentué par son maillot de bain une pièce qui était très échancré, sa poitrine serrée par le tissus ne semblait pas être volumineuse. Je l'ai pris par la main et en courant sur le sable brulant nous nous jetâmes à l'eau. Après quelques brasses je la rejoignis et l'embrassa avec vigueur, on avait pied et la fraicheur de l'eau faisait ressortir la pointe de ses seins sous le tissu mouillé. Elle m'échappa en riant et nagea vers le large.

Je retournai sur la plage et m'allongeai sur mon matelas en l'attendant. Je la vis sortir de l'eau et marcher vers moi de sa démarche élégante et racée.
- Maintenant je vais me faire bronzer, cela vous dérange si je retire mon maillot ? Je n'aime pas les marques de bronzage sur mon corps.
- Si ça me gêne ? Vous rigolez ! Catarina vous êtes très belle et je vais pouvoir vous regarder toute nue !
- Regardez, mais je ne veux pas le savoir.
Elle enleva son maillot et s'enduit doucement de crème, elle me demanda de l'aider sur ses omoplates qu'elle n'arrivait pas atteindre, elle déplia sa serviette sur son lit et s'allongea sur le dos en fermant les yeux de plaisir.
Je restai assis à la regarder comme bon me semblait. Sa peau déjà bronzé était légèrement cuivrée, elle devait faire de la gymnastique, car elle n'avait pas un gramme de graisse sur le corps. Ses seins de moyenne dimension avec de petites auréoles n'avait plus la fermeté d'une jeunette de 20 ans, mais ses pointes étaient proéminentes. Sa toison sombre, ce n'était pas une vraie blonde, était clairsemée et rasé sur les côtés pour suivre la forme de son maillot.
- Arrêtez de me regarder, me dit-elle en tournant la tête vers moi, elle prit son chapeau de paille dont elle se coiffa et toujours en me fixant, écarta les jambes de chaque coté de son lit, me dévoilant son intimité dans un geste impudique.
- Vous devriez retirer votre maillot, il me semble que vous êtes a l'étroit.
Elle pouvait voir, bien sûr, mon érection qui tendait mon short. Je vins m'asseoir sur le bord du lit pour observer de plus près son sexe, sa fente remontait haut sur son pubis et ses petites lèvres fripées
ressortaient. Je me penchais et l'embrassai sur le ventre les cuisses et entrepris de lécher son intimité. Sous mes coups de langue elle commença à tressaillir et appuya ma tête contre elle, m'encourageant à continuer. Elle était très mouillée et n'y tenant plus, je retirai mon short et m'allongeai sur elle en la pénétrant facilement. Avec la chaleur la sueur et la crème solaire nos corps glissaient l'un contre l'autre comme si nous étions enduit d'huile, c'était une sensation très agréable.
- Julien attendez, j'ai vraiment trop chaud, je vais venir sur vous !
Je me retirai et m'allongeai sur le dos, elle remit son chapeau qui était tombé par terre et vint se positionner au-dessus de moi en écartant les jambes de chaque côté du lit. Elle empoigna mon pénis et pliant les jambes m'introduit dans son antre brulant, mes mains sur ses fesses je lui donnai le rythme. Puis elle se retourna et s'assit de nouveau sur moi en me montrant son dos fin luisant de sueur. Avec son derrière en premier plan je pouvais voir au milieu de quelques poils fins son anus étoilé où j'introduisis un doigt après l'avoir humecté avec son suc intime qui coulait abondamment autour de mon sexe. Elle se masturbait tout en accélérant le rythme appuyant sur ses pieds calés dans le sable, notre jouissance fut simultanée avec des
exhortations de satisfaction.D'un commun accord nous retournâmes nous baigner pour nous rafraichir et laver de nos liquides corporels et de la sueur qui avait envahit nos corps.

Le déjeuner fut composé de melon jaune et pastèque qu'elle avait mit dans une glacière, le tout arrosé d'un vin blanc résiné qui me fit rapidement tourner la tête, après m'être allongé sur mon matelas je m'endormis comme un bienheureux sur mon matelas.

A mon réveil je m'aperçus que j'étais seul, Catarina avait disparu, je la cherchai dans le jardin puis dans la maison ou une fraicheur bienvenue régnait. Je la trouvai dans une chambre allongée sur un grand lit où le drap blanc contrastait avec son corps nu. Elle avait entrouvert la porte fenêtre et une légère brise pénétrait
dans la pièce. Elle était couchée sur le ventre légèrement penchée sur le côté les jambes entrouvertes, son sexe largement offert à mon regard. Je sentis l'excitation revenir au galop et je me penchai vers elle pour embrasser son coup gracile, elle se tourna vers moi et avec un sourire me rendit mes baisers.


Après l'avoir caressé et introduit mes doigts troglodytes en elle, Catarina se mit tête-bêche sur moi et après m'avoir léché de bas en haut elle engloutit mon pénis. De mon côté avec ma bouche et ma langue je la besognais avec ferveur, j'eus rapidement le visage couvert de son suc intime. J'avais du mal à me contrôler et avant de venir dans sa bouche je me retirai et lui demandai de se mettre à quatre pattes sur le bord du lit.
- Si vous voulez me sodomiser allez y doucement, prenez un peu de crème solaire dans mon sac.
- Où est-il ? il est resté dehors !
- Catarina je vous en supplie ne bougez pas, j'arrive.
Je retournai sur la plage le sexe dressé se ballottant de droite à gauche sans me préoccuper d'éventuels promeneurs, récupérai son sac et revint presque en courant dans la chambre. Elle était toujours en position se masturbant doucement. Je pris énormément de plaisir à lui enduire son anus avec mon doigt utilisant la crème solaire et un peu de salive.
- Mettez en aussi sur vous, ça doit bien glisser ! me dit-elle, cela ne devait pas être sa première expérience…
Je présentai mon pénis à l'entrée de son anus et poussai légèrement, à ma surprise après une petite résistance je m'introduisis assez facilement en elle, c'était délicieusement serré et après quelques va-et-vient j'étais complètement enfouie dans étroit couloir. Mes deux mains positionnées de chaque côté de sa taille je la besognais avec vigueur. De temps en temps je changeais d'orifice, mais décidément c'était plus excitent de la sodomiser. Je finis par éjaculer sur son dos où je laissai quelques traînées blanches.
- Vous les Français vous de très bons amants, me dit-elle en s'écroulant sur le lit.
- Pourquoi vos amants Grecs ne sont à la hauteur ?
- Je vous ai déjà fait un compliment n'en demandez pas trop mon cher Julien !

Dans la soirée après un diner dans une petite taverne d'Ermioni, nous rentrâmes à Athènes assez tard et je m'écroulai sur mon lit pour une nuit de sommeil réparatrice.

Nous fîmes l'amour encore occasionnellement et je dormis même deux fois avec elle dans son appartement. Quelques jours plus tard elle m'annonça qu'elle partait quelques jours chez des amis dans l'Iles de Skiathos,
moi-même je dus renter à Paris pour faire un stage. A mon retour elle n'était pas encore rentrée et je ne la revis qu'à la mi-septembre. D'un commun accord tacite nos relations toujours cordiales ne furent plus que de bon voisinages jusqu'à la fin de mon séjour en Grèce.

 

 Niquée au pique-nique:

Je vais vous raconter ma première fois où j'ai découvert les plaisirs du sexe.
Alors voilà, cela s'est pas passé lorsque j'avais 17 ans. Tous les étés nous partions, ma famille et moi en Haute-Loire avec une autre famille d'amis. Parmi ces derniers se trouvait Marianne, 40 ans, qui était l'objet de beaucoup de mes masturbations quotidiennes.

Un jour, nous sommes allés pique-niquer au bord de la Loire. Après le repas je me suis éloigné du groupe et ai remonté la rivière. Alors que j'observais l'eau, j'entendis des pas légers derrière moi. Me retournant je vis Marianne qui venait vers moi. Mon coeur se mit à battre de plus en plus vite et je sentais d'ores et déjà mon pénis se dresser à la vue de sa démarche aguichante.
Elle m'interpella: "Ah enfin tu es là nous te cherchions partout".
Je lui répondis que je marchais afin de digérer et que j'allais peut-être courir pour éviter de prendre du poids. Elle s'approcha et me dit: "Allons je ne pense pas que tu ais besoin de faire plus de sport. Fais-moi voir ton ventre". Et sans attendre, elle souleva mon Tee-shirt. j'étais excité au plus haut point. J'espérais qu'elle ne remarquât pas la bosse de mon bas-ventre mais en vain. Elle s'exclama: "C'est moi qui te fais cet effet-là ?!, dit-elle en souriant.
-Ou... Oui, répondis-je gêné au possible.
-Allons ce n'est pas grave c'est naturel. Mais ce serait cruel de ma part de te laisser dans cet état. Laisse moi faire."

C'est alors que je compris que cette institutrice qui semblait si hautaine et bourgeoise était en fait une grosse cochonne! Elle s'approcha de moi et m'embrassa vigoureusement, tout en me masturbant au travers de mon jean. Elle se baissa et enleva ma ceinture. Elle embrassa quelques fois ma bite, toujours retenue par mon boxer. Elle libéra mon sexe de son emprise textile et me branla lentement tout en me regardant avec un air des plus excitants. Jamais auparavant je n'avais ressenti ce plaisir si intense. Puis, comme devinant mes désirs, elle dit: "Elle a l'air appétissante, dis moi"
Et elle mit ma bite dans sa bouche, la mordilla, la suça. Je vis qu'elle se masturbait au travers de son pantalon moulant, ce qui fit doubler mon excitation. Je la prévins que j'allais venir, et, sans un mot, elle accéléra la cadence de ses va-et-vient, brûlant d'envie de sentir mon sperme chaud au fond de sa gorge. Soudain comme un éclair, je sentis jaillir ma semence. Marianne avala tout, lécha mon gland pour extraire les dernières gouttes.

Elle me dit: "Alors c'était bon?
-Oh oui c'était le meilleur moment de ma vie!
-Ca me fait plaisir."
Elle alla se rincer le visage à la rivière. A la vue de son cul moulé dans son pantalon de marche, je sentis ma queue qui se redressait à une vitesse vertigineuse. Alors, je vins derrière elle et j'embrassais le bas de son dos, enlevais son pantalon et baisais ses fesses.
Elle se retourna et je pus voir sa chatte parfaitement rasée qui était trempée et qui semblait appeler ma bite. Mais je ne voulais pas brusquer les choses et je léchais ce vagin lubrifié et si aguichant. Marianne poussait de profonds soupirs qui n'étaient inaudibles des autres que grâce au bruit de l'eau.
Soudain elle s'écria: "Ca suffit maintenant prends moi la chatte avec ton gros engin!".
Sans un mot, j'introduis ma queue dans ces sables mouvants, brûlants. Elle cria de plaisir. Je sentais ses muscles serrer ma bite comme un étau, ce qui amplifia mon plaisir. Tout-à-coup, elle fut prise de spasmes et hurla. Je compris qu'elle venait de jouir, mais je n'avait pas déchargé tout mon stock. La laissant à peine reprendre son souffle, je la mis à 4 pattes et enfonça d'un grand coup mon sexe dans son minou fraîchement satisfait. J'accélérais la cadence. Sentant que j'allais venir, Marianne me dit: "Retire toit et branle toi sur mon cul!" J'obéis et lorsque j'eus lâché ma semence elle me dit "Maintenant avale ton sperme et viens me voir. Je m'exécutais et elle m'embrassa, me prenant ma semence qu'elle avala comme une cochonne.

Elle remit son pantalon et m'embrassa langoureusement puis elle repartit vers son mari et ses enfants, comme si de rien n'était.

 

 

 

En voiture:

Après avoir passé l'après-midi chez un ami dans la ville voisine, sa mère me propose de me ramener. J'accepte car le temps est menaçant même si j'ai une autre idée en tête: la baiser.
Cette femme m’excite avec son visage de femme sage, sa poitrine ni trop grosse, ni trop petite.
Malheureusement elle ramène d'autres personnes mais très vite je reprends espoir car ma maison est plus lointaine que la leur.
Elle sera donc toute seule avec moi, mais est ce que j'aurai le courage de tenter quelque chose...

Après avoir déposé les autres personnes nous partons vers ma maison
la discussion s'installe:
-Tu t'es bien amusé?? me demande t-elle
je réponds affirmativement

A quelques mètres de chez moi je n'ai toujours rien tenté mais au feu alors qu'elle veut changer de vitesse, elle touche ma cuisse alors qu'elle cherchait la boite de vitesse, évidement elle sentit mon sexe en érection.

Elle qui était très bavarde se tut après avoir remarqué mon érection.
Nous arrivons devant chez moi mais au lieu de s’arrêter elle continue
je fais remarquer son erreur
Euh...c'était ici dis-je
Je sais répondit-elle
Pourquoi ne vous êtes vous pas arrêter ??

A ce moment elle tourna dans un petit chemin de terre, elle arrêta le véhicule, me regarda et dit:
_Alors depuis quand tu te permets de bander dans ma voiture ??
sous le coup de la honte je ne dis rien
elle reprit: tu pensais à qui ??
_à toi lui dis je timidement
elle reprit avec un peu d’étonnement:
_bah voyons quelle effet je te fais, puis elle se mit à déboutonner mon jean et sortit ma bite à moitié en érection, elle se mit à l'examiner, puis elle commença à la branler puis elle retira entièrement mon jean pour la voir entièrement, bien sûr j'ai un sexe global environ 17cm mais elle paraissait étonné par cette taille.
Une fois mon jean enlevé elle se mit à me sucer, elle suçait parfaitement bien.
Puis après m'avoir fait cette gâterie, elle me regarda et dit: à toi de me faire du bien.
Je m'exécutais sur le champ, Nous sommes sortis de l'avant de la voiture et nous sommes allés à l'arrière où nous avons plié les sièges pour avoir de la place... Bref revenons à l'essentiel.
Je commençai à lui retirer son soutif pour laisser apparaître les seins qui me faisaient tant bander ...
J'en pris un en bouche et je commençais à lécher, mordiller pour son plus grand bonheur, tout en s'occupant de sa poitrine je passais ma main sur sa culotte et je sentis sa culotte trempée, les mouvements de ma main ne l'ont pas laissée indifférente et elle me demanda entre deux gémissements de la lécher, alors je retirais son pantalon et sa culotte pour goûter à son intimité: tout en la goûtant je lui mis quelques doigts,je commençais par un seule mais très vite j'arrivais à mon 3eme, elle gémissait de plus en plus fort, je commençais donc à la pénétrer doucement mais elle me dit:
_prends moi comme une chienne j'adore ça.
Très excité par ses paroles j’accélérais le rythme puis elle se mit à 4 pattes et marcha vers moi pour me faire une seconde gaterie. Après l'avoir eu je la pénétrai en levrette en lui tirant les cheveux, elle jouit une deuxième fois
je commençais à lui enfoncer un doigt dans son cul quand elle me dit:
_Non pas ici, ma chatte suffit
je ne l'ai pas écouté et j'ai enfoncé mon sexe dans son cul d'un coup brutal
Elle cria de douleur puis ensuite de plaisir
je l'ai sodomisé pendant 5 minutes avant de me retirer et de jouir dans sa bouche.
Puis nous reprîmes nos places et elle me ramena chez moi. Avant de repartir elle m'avoua qu'elle n'avait jamais été aussi bien baisé, elle me donna son numéro en me disant de la rappeler. 

 

 

Rencontre sur un parking:

118 étages de style international, un lieu, rien de plus. Comme pourrait-elle habiter ce volume d’air sans aucune identité. Dire que des milliers d’individus ont occupé cette chambre d’hôtel, ce lit, ont caressé l’écran TV du regard, se sont penchés, ont ouvert puis refermé les tiroirs, pour vérifier : silence, anonymat. Impossible de ne pas tenter de s’agripper aux choses pour s’empêcher de sombrer. C’est naturel d’avoir besoin d’un vrai contact, mais ici, cela est vain, rien n’adhère.

Mais son cœur bat. Elle dirait même que sa poitrine est près d’exploser, que son corps entier s’effondre sur lui-même. Elle plane au-dessus de la ville, mais sait que quelque chose de tangible l’attend, dans les tréfonds. Elle va descendre, s’enfoncer, sombrer.

Tout est programmé. Comme échapper à la mécanique aujourd’hui. Les règles fonctionnelles sont absolues et implacables. Les machines commandent intégralement les existences. Elles jouent la comédie, semblant se contenter de nous accompagner avec politesse et discrétion, elles commandent et organisent.
Éteindre la lumière, verrouiller la porte, appeler l’ascenseur, musique d’ambiance, plonger…

Elle l’a trouvé sur le net. Une coïncidence des désirs, un point commun et la possibilité d’une rencontre, un scénario. C’est justement la raison pour laquelle il lui semble habiter un rôle, et qu’elle peut se regarder agir comme au ralenti, en apesanteur, malgré que son corps batte la mesure et que son ventre vibre lui aussi.

Il faut se préparer. Elle voit devant elle ses vêtements soigneusement ordonnés, par ordre d’apparition, par couche, des peaux. Ça l’excite de penser que ce qui va dans un sens, va se rejouer dans l’autre, peut-être dans le même ordre, simplement, mais rien n’est moins sûr dans la violence du sexe.

C’est en effet le but du jeu. L’abandon total. Le chaos.

Elle regarde son corps nu dans le reflet de l’écran de télévision. La légère courbure du verre lui donne une silhouette étrange et magique. Sa peau est très pâle et brille dans la nuit. Elle passe la main sur son ventre, puis son sexe. C’est doux et chaud, vivant. Elle sourit. Mais il est temps, elle doit aller au-devant de son désir, aller le chercher, l’arracher à la banalité du monde.

Elle enfile ses sous-vêtements. Même si la sophistication des dessous la rend parfois mal à l’aise, dans ce cas, elle a opté pour le contraste. Elle sera comme éthérée par le soyeux des matières, par les dentelles et les transparences. Le contact des matières sur sa peau, et surtout cette fragilité et cette finesse, toutes ces sensations envahissent son ventre, prennent leurs aises, occupent le terrain.

Puis vient la robe, croisée sur ses hanches, ouverte entre ses seins, fluide et invisible, malgré son noir intense. Enfin les chaussures, une colonne d’air entre elle et le sol.

Ainsi achevée, même un trait d’Alex Varenne n’aurait pu en retranscrire la beauté vénéneuse.

Le parfum sur le haut de son cou, pour les morsures. Les cheveux, attachés, elle veut qu’il puisse voir son visage quand elle le sucera.

On le devine, ce rendez-vous n’est pas une douce romance, ici rien de domestique, aucune règle n’est écrite et les participants sont joueurs. Le projet est intense et sans fioritures. Elle est prête. L’impact à venir est
presque concret maintenant. Elle sent les mouvements de l’air, le son imperceptible de son sang qui bat ses tempes et son ventre.

La porte, le couloir, l’ascenseur. La température est constante, et un léger sifflement électrique occupe l’arrière-plan. Les sons électroniques ponctuent ses gestes, passage des étages, les uns à la suite des autres, on descend, sans fin. Ce moment de chute est emblématique de la situation. C’est une coïncidence
entre les choses et leur signification. Le monde s’exprime parfois.

Ralentis, amortis, on se pose dans un chuintement qui dirait : « Vas-y… Vas-y… », les portes s’écartent, l’air s’engouffre, un souffle chaud. Une odeur de carburant et de gaz d’échappement, lourdeur de plomb : c’est le parking du sixième sous-sol.

L’espace est sombre et humide, une caverne. Elle s’avance dans la nuit, sans hésitation, droit devant. Quand son corps disparaît dans l’obscurité, elle se retourne. Les lumières de la porte et de l’ascenseur sont comme des phares perdus dans la tempête, au loin. Dans la nuit, elle devine les mouvements des véhicules aux étages supérieurs, les crissements de pneus, les portes qui claquent, mais ici, c’est le calme, et bientôt la volupté.

Elle perçoit à sa droite, en avant, l’ouverture d’une portière : une invitation. Elle s’approche et devine le véhicule. Lui est là, debout, comme prêt à la conduire quelque part. Est-ce utile de parler ? Tout a été dit,
avant.

Elle se place du côté passager, découvre ses jambes pour pénétrer l’habitacle et s’enfonce dans le siège, tournée légèrement vers lui, les cuisses à nu. Elle se penche vers l’arrière, abaisse le siège, les bras lui tombent le long du corps.

Elle ferme les yeux.

Les portes restent ouvertes, l’air du parking est pénétrant, étouffant. Les sons lointains et étranges lui traversent l’échine. Elle perçoit parfaitement les mouvements de l’homme qui s’approche.

L’image électronique qu’elle avait de lui était charmante, mais là, il s’agit d’un corps bien réel, d’une masse tendue par le désir sexuel. Il s’est placé à l’arrière et son visage est tout près du sien. Elle sent sa respiration dans la courbe de son cou, juste sous l’oreille. Les baisers établissent un contact
instantané avec son ventre, son sexe. Elle écarte légèrement les jambes, sa respiration se mêle d’un gémissement. La langue de l’homme court sur sa peau, pénètre sa bouche. Elle remonte la main vers ses cuisses et la dépose sur son sexe. Elle appuie doucement, formant des ondes, comme des cercles délicats à la surface de l’eau.

L’homme poursuit ses baisers et attrape ses seins à travers la robe. Il écarte le tissu et les empoigne avec force. Les sous-vêtements sont oubliés, les seins jaillissent. Elle poursuit son mouvement entre ses cuisses, sa bouche est envahie et sa poitrine se tend vers le plaisir ; elle est prise.

Il se déplace vers le centre, caresse son visage et de la main gauche ouvre son pantalon. Il ne porte rien sous le jean et le sexe se détache dans l’air. Il est bandé, assez sombre et mat.

Elle le voit porter sa main à sa bouche et y déposer de la salive. Il prend alors son sexe et commence à le parcourir de haut en bas, très lentement. Elle observe très attentivement le poing serré et aussi la tige de chair qui sort et rentre régulièrement, luisante. Quand il monte, elle voit les bourses suivre, le
gland devenir foncé et gonflé. Quand il redescend, la peau s’étire et tout le sexe brille et s’épanouit. Elle est fascinée par ce mouvement régulier. Elle ne regarde absolument pas le visage de l’homme mais son sexe seul.

Quand l’autre main imprime une légère pression dans ses cheveux, elle se laisse aller à l’invitation. Elle approche les lèvres et dépose un baiser juste en dessous du sommet. Elle y donne aussi un coup de langue. L’homme tient le bas de son membre, serré dans son poing et le sommet est sous pression, tendu.
Elle-même continue encore à se caresser, mais cette fois, elle a glissé la main sous le tissu de la culotte. Son sexe coule et ses doigts glissent facilement. Elle ne fait que maintenir le plaisir assez près pour en profiter mais un peu à distance, pour ne pas jouir… une tension en diagonale, patiente.

Elle prend le sexe dans son entier, elle l’avale. Elle a toujours adoré s’occuper totalement de la chose, la tenir complètement au chaud, l’envelopper d’une humidité généreuse, comme cela sera le cas quand il baisera son sexe.

Quand la lumière éblouissante a explosé, elle n’a pensé à rien et continué sa tâche. Le véhicule est passé devant eux, tous phares allumés, saisissant pendant une fraction de seconde, l’ombre de leur coït sur le mur du parking, telle un spectacle érotique chinois. Puis la lumière a baissé comme elle était arrivée.
La voiture s’était arrêtée plus loin. Les portières ont claqué et les pas se sont rapprochés. Lui n’a prononcé aucun son, mais ses gestes et son regards sont restés précis : continue.

Les pas se sont arrêtés à quelques mètres, on devinait l’hésitation, un temps suspendu. Son regard à elle n’ose bouger. Elle reste focalisée sur le pénis de l’homme.

Il s’est alors retiré de sa bouche, sourire, et s’est assis à l’arrière. Le déshabillage dans l’habitacle est toujours hasardeux, mais c’est le résultat qui compte ! Il est nu, intégralement, et elle le découvre ainsi. Il va jusqu’au bout.

Quand il a contourné le véhicule, elle l’a suivi du regard. Son corps apparaît à peine dans l’obscurité, mais au passage, elle a saisi le regard d’une femme, la voyeuse, pense-t-elle. Elle s’est arrêtée et se contente de regarder, fascinée. Quand l’homme se penche sur elle, entre ses cuisses, elle croise l’inconnue du regard. L’autre, interloquée la questionne et elle, perdue, la rassure, l’invite à la compréhension, justement.

Et il s’est enfoncé en elle, écartant négligemment la culotte. Il est sur elle. Le son de son plaisir résonne dans l’espace, l’emplit d’une ambiance étrange. Elle aussi gémit, c’est irrépressible, et la présence sonore de leurs soupirs les incite à se libérer, et à donner de la voix, comme dans un cercle vertueux.

Elle a monté ses jambes et les a calées sur le tableau de bord et contre la portière. Ainsi, elle peut s’écarteler tout en pressant son corps contre le siège. Elle se bloque elle-même, comme plaquée au mur, pendant que lui dispose. Il pose ses coudes sur le siège, de chaque côté de son visage. Arc-bouté sur
elle, il la couvre et emplit l’espace, jouant du bassin avec calme, profitant des sensations de son membre à l’intérieur d’elle. Tournant son regard, elle croise celui de la spectatrice. Elle s’est rapprochée légèrement et son visage dans le cadre de la fenêtre est le miroir abasourdi d’elle-même.

Les coups de reins lancent de douces vibrations dans son ventre. Elle ferme les yeux et caresse la pointe de ses seins ; il est temps de jouir. Dans la nuit de ses paupières, elle perçoit avec acuité les soupirs de l’homme quand il s’enfonce en elle, puis le choc et l’onde de plaisir, sur son clitoris, quand ils frappent leurs pubis, puis sa langue à lui quand il lui lèche les lèvres et pénètre sa bouche, puis les décharges électriques que lancent ses doigts au bout de ses seins. Elle imagine enfin le regard porté sur elle et cet environnement,
cet espace immense et plein d’écho.

L’orgasme arrive d’un coup et la foudroie dans son siège. Elle sent que son corps est couvert de sueur. Son sexe palpite quand elle rouvre les yeux. L’homme s’est retiré, elle voit sa main sur son sexe étincelant de mouille. Il se caresse et jouit sur son ventre, dans un cri cassé. Il plonge à nouveau sa bouche sur la sienne et elle sent la semence couler sur sa peau.

Dans l’habitacle, le parfum des plaisirs est puissant et rassurant. L’homme s’est écarté. Il est sur le côté, les yeux clos. Le parking est désert, l’inconnue a quitté la scène, comme un fantôme apeuré.

Elle referme méticuleusement sa robe, sans hâte. Ne pas oublier ses chaussures, elle y tient ! Et les sous-vêtements, idem. Dans un sourire, elle sort du véhicule.

Bye.

Remonter dans sa chambre, elle le sait, c’est fermer cette parenthèse. Revenir. L’ascension, paradoxalement, imprime en elle un mouvement de descente, elle se pose.

Mais elle garde entre ses jambes le poids du désir, celui lourd et enivrant du sexe et dans la tête, des bulles de fraîcheur, celle plus aérienne du plaisir et du rire.

Cette nuit, elle trouvera le sommeil.

 

L'auto-école:

  Mon histoire s'est déroulée il y a quelques semaines..

J'attendais de passer le permis et j'avais une leçon de dernière minute avec mon moniteur. Il ne me laissait pas indifférente, c'était un grand brun avec des yeux bleus magnifiques. Ce jour là, je savais que c'était peut être la dernière fois que je le voyais alors aux feux rouges je ne cessais de le regarder, ce qu'il remarque vite. Pour moi ça n'était qu'un fantasme et je n'imaginais pas ce qui allait se passer.
Dès que j'en avais l'occasion je le regardais avec insistance de haut en bas, et je le voyais lui, émerveillé devant mon décolleté. Je vis très vite une bosse se former entre ses jambes, et détournais le regard. Mais il m'avait remarqué et me fit prendre un chemin inconnu pour s'arrêter devant un champ désert.
- Tu me chauffes depuis le début, tu veux avoir ce que tu souhaites ?
Sur le coup je ne savais pas quoi répondre mais il saisit ma main et la posa sur son jean.  Je commençais à ne plus avoir peur et à même ressentir de l'excitation, alors je déboutonnais son jean. On était à l'étroit dans la voiture, il me fit sortir et m'emmena dans le champs. Il m'embrassa longuement et avec fougue, puis commença à me déshabiller. Il me prit les seins, puis commença à me les lécher et me les mordiller. Moi, j'entrepris de continuer ce que j'avais commencé dans la voiture alors je saisis son jean déjà déboutonné et le baissai à ses pieds. Je vis une énorme bosse se dressait dans son caleçon, que j'ôtais d'un coup sec. Une belle bite grosse et ferme se tenait devant moi, ce qui me rendit folle. Je saisis son membre entre ma main et commençais à le branler. De l'autre main je faisais glisser ses couilles sous mes doigts. Il gémissait sous mes va-et-vient et d'un coup, attrapa ma tête et la rapprocha tout près de son gland. Je compris le message et ne me fis pas prier. Je posais  mes lèvres sur son gland et commençais à le sucer. Je me savais douée parce que mon copain me complimentait souvent sur ma rapidité à le faire jouir. Mais que c'était bon de sucer mon moniteur ! Je le sentis très vite se contracter et il déchargea une grosse quantité de foutre dans ma bouche en poussant un long gémissement. 
Il me prit par les épaules, puis m'allongea dans les herbes hautes et écarta mes jambes. Il commença à me caresser le clitoris et à me doigter. J'étais déjà pleine de mouille, excitée par la situation. Il posa sa bouche sur mon clitoris et commença à me lécher. Il faisait ça très bien et s'en est rendu compte par la teneur de mes gémissements. Je me sentais venir, et il s'amusait à retarder mon orgasme. Il me léchait de plus belle et me mordillait. Je me contractais après de longues minutes et poussais un long cri de jouissance.
Ça l'excita encore plus, sa bite était de nouveau au garde à vous quand il me mit en levrette.
" Tu vas voir ce que je vais lui faire moi à ce cul "
Il commença alors à lécher l'entrée de mon cul et y passa un doigt. Je ne ressentais aucune douleur alors il en mit un deuxième puis un troisième tout en continuant de me lécher. Puis il se plaça à l'entrée de mon cul, je sentais son gland me titillait les fesses et me pénétra d'un coup sec. Je hurlais de plaisir. Il était brutal, et me donnait des claques sur les fesses en même temps qu'il me baisait. Il donnait de violents coups de rein et je sentais toute sa bite dans mon cul. Il gémissait autant que moi et accéléra de plus en plus ses mouvements. Je jouis la première d'un orgasme qui dura presque une minute pendant qu'il continuait de me pénétrer violemment.
- Tu as aimé ça, sale chienne ! Me dit-il entre deux coups de rein.
Il donna deux coups secs beaucoup plus violent que les précédents, se contracta, et  éjacula une grosse quantité de foutre dans mon cul. Il se retira et je sentis son foutre couler le long de mes fesses puis de mes jambes. Il m'embrassa puis remit ses habits, me laissant là, dégoulinante de sperme chaud.

On reprit la voiture pour rentrer à l'auto-école. J'ai eu mon permis deux jours après. Je suis passée une fois à l'auto-école pour récupérer mon A et il n'était pas là. Je ne l'ai plus revu depuis notre aventure dont je garde un excellent souvenir

 

Les 18 ans d'Alice:
Je me prénomme Antoine et j’avais environ 30 ans à l’époque des faits. J’étais déjà marié avec Françoise qui est toujours à mes côtés et j’étais déjà le papa de deux charmantes petites filles.
Je travaillais dans une usine sidérurgique, aujourd’hui fermée, de Meurthe et Moselle dans le bassin de Longwy.
Je faisais partie d’une petite équipe de 4 personnes et mes deux collaborateurs directs étaient plus des amis que des collègues, il régnait dans notre atelier une telle complicité que nous ne nous lassions pas de partager les détails croustillants d’aventures salaces que nous vivions hors-mariage. Je dois vous avouer que je suis extrêmement porté sur le sexe, que la fidélité n’est pas mon point fort et que j’avais, à l’époque, une belle petite collection de maîtresses de tous âges.
Un beau matin notre contremaître nous a présenté Guillaume, un jeune manœuvre de 17 ans qui allait, avec nous, faire ses premières armes dans le difficile et cruel monde du travail. Guillaume se destinait à une autre carrière dans le milieu administratif, mais devait travailler en attendant de remplir ses obligations militaires en Belgique. Nous avons tout de suite sympathisé et après seulement quelques jours guillaume était tout à fait intégré dans notre petit groupe. Il était bien plus jeune et inexpérimenté que nous en matière de cul mais il avait son franc-parler, un humour caustique et graveleux et surtout un intérêt colossal vis à vis de tout ce qui concernait le sexe de près ou de loin.
Il avait une petite amie, Alice, de quelques mois plus jeune que lui et avec laquelle il entretenait, selon lui, des rapports sexuels assez réguliers.

Je me suis rendu compte que Guillaume avait confiance en moi quand, quelques semaines seulement après notre première rencontre, il est venu me présenter une requête peu ordinaire. Il avait beaucoup parlé de moi à Alice et surtout mis l’accent sur mes frasques, ils adoraient baiser ensemble mais avaient un peu l’impression de manquer d’expérience et de technique. Afin d’approfondir leurs connaissances en la matière ils étaient arrivés à la conclusion que ce serait une bonne idée que je présente Guillaume à une de mes nombreuses copines pour une initiation plus poussée. Cette idée était assez originale et curieuse mais interpellait ma libido et me donnait une furieuse envie de rencontrer cette Alice dont il m’avait tellement vanté les mérites et qui devait être chaude comme la braise. Je lui ai répondu que c’était probablement envisageable, que j’allais y réfléchir et penser à quelle partenaire éventuelle je pourrais faire appel. 

Pour des raisons de service Guillaume a été muté dans un autre secteur de l’usine, nous avons gardé le contact mais nos horaires n’étaient plus vraiment compatibles et au fil des mois nous ne nous voyions plus que de manière sporadique et cet excitant projet est tombé dans l’oubli.

Nous étions fin juin et Guillaume est venu m’annoncer qu’il avait reçu son ordre d’incorporation sous les drapeaux et nous quitterait fin juillet.

J’ai gambergé une bonne partie de la journée et en début d’après-midi je tenais mon occasion en or de voir à quoi pouvait bien ressembler cette Alice qui taquinait sans le savoir ma curiosité libidineuse depuis des mois. Le soir même j’ai proposé à mon épouse d’organiser, à la maison, un repas d’adieu pour Guillaume, dont je lui avait parlé en bien, et auquel sa copine Alice serait conviée bien légitimement. Le lendemain j’ai passé à Guillaume l’invitation pour le soir du premier jeudi de juillet, Guillaume était ravis de cette surprise et touché par l’intention et a, bien sûr accepté en son nom et en celui d’Alice dont il connaissait bien les emplois du temps. Comme ils n’avaient pas de véhicule à l’époque il était convenu que le papa d’Alice les amènerait jusqu’à mon immeuble et que je me ferais un plaisir de les reconduire en Belgique après le repas. Ils sont arrivés en fin d’après-midi avec un beau bouquet de fleurs pour Françoise et un livre de contes pour les petites.
J’ai eu comme un électrochoc dans les testicules quand j’ai vu Alice. C’était une superbe jeune fille d’environ 1m60, ses cheveux d’un beau châtain clair étaient coupés courts sur un joli minois parsemé de taches de rousseur et qu’éclairaient de beaux yeux bruns, deux lèvres sensuelles soulignaient un petit nez mutin mais, ce qui attira encore plus mon regard c’était sa poitrine, sous un tee-shirt moulant elle dissimulait difficilement deux splendides nichons d’un bon 95 C ou D. Elle portait une mini-jupe plissée blanche, des socquettes et des baskets de la même couleur, son sourire m’a désarmé en me dévoilant ses dents impeccables que je ne pus m’empêcher d’imaginer tel un collier d’ivoire autour de mon gland.
Je me suis ressaisi sans attendre et ai fait les présentations d’usage puis sommes sommes passés au salon pour prendre l’apéritif. Nous avions un canapé assez profond que redoutent nombre de personnes de petite taille et c’est donc avec une idée derrière la tête que j’ai prié Alice d’y prendre place juste en face de moi, j’allais, du moins je l’espérais, pouvoir me rincer l’œil si la chance me souriait et si Françoise ou Guillaume ne perçaient pas à jour mon coupable mais bandant dessein. 
Nous avons discuté de choses et d’autres ainsi que de l’usine et de la banque à Luxembourg pour laquelle Alice travaillait. Mes yeux étaient attirés comme par des aimants par les jambes d’Alice mais j’avais quand même remarqué qu’elle m’observait souvent à la dérobée avec un petit sourire en coin qui me faisait penser à de la curiosité ou, peut-être, de l’envie. Guillaume devait lui avoir beaucoup parlé de moi et probablement plus encore de mes écarts de conduite à répétitions ce qui aurait pu provoquer cet air dubitatif que je lui trouvais à ce moment. J’éprouvais de plus en plus de difficultés à détacher mon regard de sa jupe et il ne fallait surtout pas que Françoise ou Guillaume ne surprenne mon émoi. Grâce à ce confortable complice qu’était mon canapé chaque fois qu’elle devait bouger pour saisir l’un ou l’autre objet Alice devait avancer sa poitrine et ce mouvement, extrêmement agréable à mes yeux par ailleurs, faisait, qu’immanquablement , ses jambes s’écartaient légèrement et, rien qu’à entrevoir l’intérieur de ses cuisses, je devinais la douceur et la chaleur de sa peau. 
Je commençais à attraper une trique d’enfer et je ressentais comme des fourmis dans les bourses, il me fallait me créer une auto-diversion pour éviter le pire et j’ai proposé de fumer une cigarette, Guillaume en a pris une et a demandé à Alice de lui passer son briquet, en le lui tendant, elle l’a fait tomber sur la moquette, je me suis penché pour le ramasser en même temps qu’Alice se baissait pour le même motif et c’est à cet instant que j’ai eu le bonheur et la chance d’apercevoir sa petite culotte blanche et le léger mais troublant renflement de son pubis, ce fut une vision brève mais délicieusement puissante.
J’ai vu tout de suite, dans les yeux d’Alice qu’elle n’avait pas perdu une miette de mon manège de voyeur pervers et je me suis même demandé si elle ne venait pas de provoquer ce petit événement. J’avais soudain très chaud et, craignant de rougir comme un collégien, je me suis levé pour me rendre à la salle de bains. Une fois isolé j’ai repris mes esprits non sans m’imaginer glissant une main sous la jupe vers cette petite culotte ou même risquant une langue sur le fin tissu à l’endroit de sa petite fente et, pourquoi pas ma queue ?
C’est dans cet état fébrile que j’ai rejoint l’assemblée en m’efforçant de ne rien faire paraître de mon trouble ni de mon érection quelque peu maîtrisée. 

Comme le temps était au beau fixe et que le repas n’était pas encore prêt d’être servi j’ai émis la proposition de faire profiter, à nos jeunes invités, de la vue exceptionnelle qu’offrait le toit plat de notre tour de 15 étages. Françoise déclina l’invitation ayant encore une ou deux petites choses à faire et comme j’interdisais aux deux (trop) petites de monter sur le toit c’est avec Guillaume et Alice que j’ai emprunté l’ascenseur vers le dernier étage. Il nous fallait traverser toute la largeur du toit pour parvenir du côté nord-est de l’immeuble, je prenais bien soin de laisser un peu d’avance au jeune couple pour me délecter du subtil déhanchement d’Alice et du léger flottement de sa petite jupe qui dévoilait, par intermittence, la naissance de ses fesses. Arrivée au muret de protection et, comme elle n’était pas bien grande, Alice a dû se mettre sur la pointe des pieds pour profiter de la vue, cette position jambes tendues a souligné le galbe de son petit cul et a instantanément fait durcir mon mandrin qui était vraiment mis à rude épreuve.

Guillaume était en train d’expliquer à Alice que la maison de ses parents était juste à l’autre orée de la petite forêt que l’on pouvait voir à quelques centaines de mètres à vol d’oiseau, il s’extasiait sur ces aspects de paysages qu’il n’avait encore jamais vus sous ces angles, de mon côté je n’étais pas en reste mais pour d’autres perspectives. Profitant que Guillaume était occupé à regarder dans une autre direction je me suis rapproché d’Alice et j’ai posé ma main sur sa jupe juste au creux de ses reins. Elle a continué, comme si de rien n’était, à commenter les propos de Guillaume. J’ai entamé une lente caresse vers le bas, je pouvais sentir la douce chaleur de sa croupe sous le tissu de sa jupette et de sa culotte et je me sentais comme sur un petit nuage. Je n’ai pas insisté au-delà d’une poignée de secondes, de peur de me faire surprendre par Guillaume et aussi pour calmer l’incendie de ma bite dans mon jeans.

Après quelques minutes nous nous sommes rendus à table et le repas s’est très bien passé, Françoise avait été parfaite comme d’habitude. Nous avons encore discuté un bon moment, Guillaume et Alice étaient de très bonne compagnie et s’intéressaient à une foule de sujets, pour ma part je regrettais un peu que la table ne fût pas transparente car cela faisait bien deux heures que le spectacle des cuisses d’Alice m’était enlevé, il faut dire qu’en consolation j’avais droit à son décolleté vertigineux et son visage souriant et tellement troublant.

L’heure tournait et le soir était déjà bien tombé, Guillaume m’a demandé si cela ne me dérangeait pas de les reconduire en Belgique. Françoise a répondu à ma place que c’était une idée raisonnable et que j’allais me charger de cette mission pendant qu’elle débarrasserait la table. Nous sommes descendus dans mon garage, Guillaume s’est installé à côté de moi et Alice derrière lui. Dans mon rétroviseur je pouvais voir luire son sourire à chaque passage sous un réverbère.

En arrivant dans leur village j’ai demandé qui je devais déposer en premier lieu, tout en espérant secrètement que ce serait Guillaume, et j’ai vu, dans mon rétroviseur, Alice avec un doigt sur sa bouche qui me désignait Guillaume du menton. Guillaume a proposé de nous rendre d’abord chez Alice qui, d’emblée, lui a fait remarquer que nous venions juste de dépasser le croisement que nous aurions dû emprunter pour la déposer chez elle et qu’il ne fallait pas abuser de ma serviabilité.
Quelques minutes plus tard nous étions devant le domicile de Guillaume, Alice est sortie de la voiture avec lui, l’a embrassé et souhaité une bonne nuit. Puis elle est remontée à bord mais à côté de moi cette fois tout en clamant haut et fort, en manière de reproche déguisé à l’intention de Guillaume, qu’avec elle comme convoyeur on ne risquait pas de manquer le croisement comme tout à l’heure.
J’ai démarré et nous avons pris la direction de sa maison. Ce n’était pas commode de conduire avec les yeux rivés sur la lisière de sa petite jupe. Elle m’a sorti de ma rêverie en me priant de tourner à gauche pour emprunter la rue menant à son quartier.
Nous nous sommes engagés dans une petite rue mal éclairée, sans la moindre habitation, et bordée de haies et de champs, voyant ma surprise, Alice m’a confirmé que nous étions bien sur la bonne voie et que sa rue était un peu plus loin, juste au bord de la forêt que je devinais proche, cette même forêt dont Guillaume nous avait parlé auparavant.
Elle me lançait des regards furtifs dans lesquels je voyais comme une attente ou une impatience et j’ai pris le risque de ralentir et de m’arrêter sur le côté de cette petite route, à proximité de ce qui me semblait être une petite école ou une chapelle.

Alice n’a pas eu l’air d’être surprise et a tourné son visage dans ma direction alors que ma main a pris sa nuque et attiré ses lèvres contre les miennes, elle avait la bouche entr’ouverte et nos langues qui s’attendaient se sont rencontrées immédiatement, le baiser que nous étions en train d’échanger était violent et terriblement sensuel. Alice tremblait légèrement et sa langue se lançait sans cesse à la recherche de la mienne.
J’ai posé ma main gauche sur son genou et l’ai glissée tout doucement le long de sa cuisse douce et incroyablement chaude. Ma main était maintenant sous sa jupe blanche, ses cuisses s’écartaient lentement au fur et à mesure de la progression de mes doigts qui sont arrivés contre sa petite culotte, juste au niveau de sa petite chatte. Mon cœur battait dans mon gland, sa culotte était brûlante et trempée, mes doigts caressaient, à travers le tissu, ses grandes lèvres qui formaient un sillon en feu, mon pouce était en contact avec la peau nue de sa cuisse qui vibrait. Je sentais que sous mes doigts sa fente se lubrifiait en abondance et qu’Alice devait être déjà prête à se faire enchatter par un doigt ou un manche, ma queue était sur le point d’exploser et nos langues étaient devenues folles.
Je ne voulais pas aller plus loin ce soir là sachant que Françoise m’attendait à la maison et qu’elle ne me connaissait que trop bien et aussi parce que l’endroit choisi n’était pas des plus discrets. Tout en continuant à lui explorer la bouche avec ma langue j’ai exercé une pression assez appuyée sur cette petite culotte avec mes doigts, cela laisserait un souvenir physique à Alice et imprégnait mes doigts de sa mouille intime. 
Malgré une furieuse envie d’écarter ce tissu et de glisser au moins un doigt dans cette fente toute humide à la recherche de son clitoris j’ai retiré ma main lentement tout en continuant à caresser sa cuisse nue. Notre baiser a encore duré une petite minute, nos bouches se sont détachées et nos langues se sont séparées. Nous avons repris notre respiration et avons attendu que la tension retombe. Je lui ai donné une carte avec un numéro de téléphone sur lequel elle pourrait me contacter si jamais elle avait envie de me revoir sans Guillaume ni Françoise, elle a fait disparaître ce carton dans son sac 
et, quelques secondes plus tard, je la déposais devant la maison de ses parents. Elle m’a fait un petit signe de la main et est entrée dans la maison tandis que je prenais le chemin du retour.

J’ai pris mon temps pour rentrer chez moi, je portais sans cesse mes doigts à mes narines pour humer le parfum entêtant et terriblement excitant de sa petite chatte tout en imaginant Alice probablement en train de se finir dans son lit.
Nul doute que j’allais culbuter Françoise en rentrant, qu’une petite ou grande pensée serait pour Alice et que ma giclée de ce soir lui serait dédiée, j’avais de nouveau une trique d’acier.

Le lundi suivant j’ai croisé Guillaume devant la pointeuse de l’usine, il m’a remercié pour cette délicieuse soirée, m’a prié de transmettre ses remerciements à Françoise ainsi que ceux d’Alice avec qui il avait passé un week-end torride.

J’avais un peu de remords quant à ma conduite avec Alice qui, certainement, devait déjà avoir oublié toute cette histoire, pour leur plus grand bien d’ailleurs.


Il devait être 9h20 ou 9h25 quand Alice m’a téléphoné le 13 juillet... 

Mon bac:
Aujourd’hui, c’est le grand jour, ce sont les résultats du bac. Dans quelques instants, ils vont apparaître sur l’écran de mon portable, mais je ne me fais aucun souci…

Comme je le pressentais, me voici bachelière, avec la mention très bien, ce n’est pas une surprise. Ma meilleure copine, Marion a obtenu la mention bien.

A propos, je me présente :

Je suis Maryaline.  J’ai 18 ans, sérieuse, travailleuse, un peu timide et rieuse.

Physiquement, je suis une jolie blonde, cheveux mi-longs, des yeux bleu,  une poitrine ronde d’un petit 85 B. Je mesure 1,60 m.

Ma petite fierté, des fesses bien fermes qui font se retourner pas mal d’hommes, Les jeunes, mais aussi les plus âgés.

Mes  parents sont enseignants à Saint-Lô. Ma mère Jacqueline en maternelle et mon père Bernard au lycée comme prof d’histoire/géo.

J’ai un frère, Jean-Pierre de deux ans mon ainé et une sœur Brigitte de deux ans ma cadette.

Tout baigne, comme on dit.

 

Mais, un problème, me taraude l’esprit. Je sors depuis quelques semaines avec Alain. Ce soir, pour fêter le bac, nous faisons la teuf entre copains et copines.

L’alcool aidant, j’ai envie de m’offrir à lui. Très excitée, je l’entraine vers une chambre où nous nous isolons de la fête. La musique dans la chambre est 

légèrement étouffée et nous n’entendons que les ritmes saccadés des basses. Alain me poussant vers le lit, retrousse ma robe, m’arrache presque mon 

string déjà trempé de mouille et commence un cunni très chaudJe suis un peu saoule et le ritme de la musique me fait perdre la tête.

Il me dévore littéralement la chatte. Sa bouche  collée à mon clito le suce comme un petit sexe.
C’est le cunni le plus chaud que l’on m’ait fait et, pendant que sa langue m’arrache des cris de chatte en chaleur ses mains caressent mes fesses et ses doigts 
coquins frôlent mon petit trou du cul, pour augmenter mon ardeur. Sans me prévenir, il glisse un doigt dans mon anus, et je le l’implore de continuer mais très en douceur.
«Ahhhhhhhhhhhhh quel plaisir, mmmmmmmmmmmmmmmmm»
Ma mouille dégouline sur ses lèvres. Il sait y faire le salop et ce cunni  me rend folle.
Je voudrais que ce moment s’éternise et faire l’amour toute la nuit et garder sa tête  entre mes jambes. Complètement hors de moi, j’imagine sa bite palpitante me pénétrer 
à fond et cela me fait mouiller davantage. Je n’ose pas lui demander de me baiser car je veux continuer à profiter de cette extraordinaire caresse buccale.
Tout à coup, il se met debout et me retourne en me lançant :
« A quatre pattes salope. »
Il écarte mes jambes et je m’attends à ce qu’il me pénètre en levrette. Mais il écarte les lèvres de ma chatte avec ses mains et continue à me lécher, par derrière.
Ses coups de langue, très appuyés, me font  tordre de plaisir. Je ferme les yeux pour me concentrer sur ses sensations très jouissives qu’il me procure.
Je le supplie de me pénétrer dans cette position mais il ne semble pas m’entendre et continue avec bouffer la chatte en m’enfonçant son pouce dans le cul.
Mes seins ont durci et mes tétons pointent. Avant de jouir, des frissons très puissants parcourent mon dos, depuis mon cou jusqu’à mes fesses. 
Je sens venir l’orgasme et demande encore à Alain de me pénétrer. Cambrée sur le lit, j’atteins un orgasme violent.
Je suis secouée par des spasmes irrésistibles et hurle ma jouissance. Après avoir joui, je suis décidée à finir la soirée par une baise torride.
Alain  est très chaud et sa queue est magnifiquement tendue. Je me remets de l’orgasme. Sa queue bat prés de mon visage et c’est tout naturellement que je la prends dans ma bouche.
Il lèche mes seins et agace mes tétons dardés. J’entreprends alors une fellation comme je sais si bien les faire. Je décalotte sa verge et pompe son gland avec mes lèvres charnues, 
rouges et très sensuelles qui lui servent de fourreau. La musique est assourdissante et la porte de la chambre c’est entrouverte.
De temps en temps, nos amis doivent entendent nos cris et les gémissements de nos ébats. Affairés à se procurer du plaisir, nous ne faisons pas attention à cette porte ouverte.
Je  suce avec habilitée Alain qui semble particulièrement apprécier ma pipe.Je lui gobe et lui léche ses couilles, au grand bonheur d’Alain qui ferme les yeux de tant de douceur.
Pris d’une certaine frénésie, il me prend la tête et se met à me baiser la bouche. Je suis folle  et n’ai qu’une chose en tête ; prendre mon pied. N’y tenant plus, je me retourne et me mettant en levrette, je supplie Alain de me défoncer la chatte.

Pas besoin d’insister le cochon glisse son dard palpitant dans mon vagin qui l’accueille sans peine. Je gémie sans retenue, pendant qu’Alain lime ma chatte en feu à gros coups de bite. 

Il se retire pour revenir à la charge très violemment, enfonçant sa verge dans ma foune trempée.
«Encoooore, encoooore, encooooore» lui hurlais-je.
Je me tords de plaisir et me trémousse comme une folle. Je suis si excitée par le frottement de ce membre raide sur les parois hypersensibles de son vagin.
Ses va-et-vient se font de plus en plus appuyés. Maintenant il me laboure carrément la chatte me secouant sans vergogne. Je sens arriver l’orgasme.
La cochonne que je suis veut tirer un maximum de profit de cette baise torride. Je m’’agenouille sur le sol, devant lui et suce à nouveau son dard, en faisant des gorges profondes vraiment infernales. Alain me demande de ne pas m’arrêter et de continuer jusqu’à ce qu’il jouisse.  Je me sens d’humeur coquine pour accomplir cette tâche et je suce, pompe, lèche comme jamais.
D’une main je me doigte la chatte pendant qu’e ma fellation commence à faire son effet. Je sens dans ma bouche les spasmes annonciateurs de son éjaculation.
Brusquement m’enfonçant sa queue au fond de la gorge, il se cambre et pousse un cri de jouissance.
«Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii»
Secoué par un orgasme fou, Alain se laisse aller en long jets crémeux que je recueille avec difficulté. Le trop plein s’échappe de mes lèvres et coule sur mes seins.
Nous nous écroulons tous les deux nus sur le lit épuisés par nos orgasmes. A ce moment nous entendons des applaudissements.
Tous nos amis étaient à la porte pour profiter du spectacle.
Maître R:
Quelle ne fut pas ma surprise en allumant l’ordinateur de la bibliothèque du bahut ce matin. 

Je l’avais tout de suite reteint. Mais j’en étais sûr, la fille nue qui se faisait prendre en levrette sur l'écran, c'était moi chez Rachid. Ce n’était pas une photo montage. Mais comment cette photo était-elle là et sur l'ordinateur de la bibliothèque de la fac. Je rallume le PC en vérifiant que personne ne pouvait me voir. 

C’est alors que je vois le message tout en bas. Cela n'y était pas avant donc celui ou celle qui a mis la photo est là dans la bibliothèque. Le message interne dit:
"Soit impérativement à 10h00 sur MSN contact: Maitre R"

La colère monte en moi ainsi qu’une peur panique mais je me sens impuissante devant ce problème.
Il faut bien que je sache qui ou quoi ou comment retirer tout cela. Alors que je tente d’effacer cette ignominie, d'autres photos apparaissent. On me voit dans plusieurs positions toutes plus scabreuse les unes que les autres. Je suis verte de rage, de peur et je ne sens plus mes jambes. J’allais payer ma folie de sexe.
J’avais été trop loin et ce ou ces salopards comptaient bien me le faire payer.
Je me rappelais les paroles du prof principal « Maintenant je vais te dresser » et celles de Rachid « Je vais parler de toi à mes potes ».
La petite provinciale c’était transformée en quelques mois en une salope avide de sexe.
Mais à aucun moment je ne me serais douté que des photos étaient prises et en plus qu’elles seraient diffusées sur les PC de la fac. Mais qui est ce fumier et que recherche-t-il en diffusant ainsi ces photos ?

Ce maitre-chanteur, veut-il de l'argent ? Je n’en ai point.
Où demanderait-il de moi la même chose que sur les photos et peut-être plus.
Comme une gourde, je me rassurais en me disant qu’il voulait juste s’amuser et n'avait pas de mauvaise intention. Tout cela tourne dans ma tête jusqu'à l'heure fatidique.
A moins cinq, j’ouvre mon MSN.

Maryaline 10h00
<Qui êtes-vous? Que voulez-vous? Vous avez intérêt à me faire disparaitre toutes ces photos sinon j’appelle les flics.>

Maitre R 10h01
<Du calme, salope, il ne faut pas s'énerver. J’étais justement en train de programmer un envoie sur tous les ordis du bahut. C'est un film porno très réussi d'ailleurs.
http://www.assfilled.com/videos/hd/849/Deep-in-her-hot-ass.html?utm_source=awn&utm_medium=awn&utm_campaign=af >
Maryaline 10h03
< Non, je vous en prie qu'est-ce que vous voulez? Où avait vous eut ce film?>

Maitre R 10h04
<Voilà qui est mieux. D'abord tu vas être très polie et m'appeler Maitre.>
Maryaline 10h05
<Pour qui me prenez-vous? Il n'en est pas question.>
Maitre R 10h05
<Tu n'as pas vraiment le choix et je te prends pour ce que tu es. UNE SALOPE.>
Je suis scotchée. Je mets un moment pour répondre et plein de questions se bousculent dans ma tête.
Comment vais-je sortir de ce guêpier ?
Maryaline 10h07
< Ou avez-vous eu cette vidéo ?>

Maitre R 10h08
< tu mets trop de temps à répondre chiennasse. T'as oublié un mot (MAITRE). Pour la vidéo çà ne te regarde pas. Comme tu n'es pas très coopérative, je vais te punir.>
Maryaline 10h10
<Cà va pas vous êtes un vrai taré !!!>
Maitre R 10h11
<Salope comment parles-tu à ton Maître ? Tu vas manger sévère petite pute ! Tu vas obéir et tu me supplieras ma clémence.>
Prise de panique et voyant que je ne maîtrisais pas du tout l’affaire, je décide de jouer son jeu.
Maryaline 10h11
<Bon d'accord …..MAITRE.>
Maitre R 10h12
<C’est déjà mieux salope. Pour te faire comprendre qui commande maintenant, tu vas allez aux toilettes et retirer ton string. Je sais que tu t'en fou parce que tu es en pantalon mais je veux que tu déposes ton petit bout de chiffon sur le lavabo des toilettes des hommes compris SALOPE !>
La colère m’emporte mais je suis impuissante devant ce taré.
Maryaline 10h13
<Salaud, vous êtes un salaud, je vous hais !!!! ….Maître.>
Maitre R 10h14
< Haïs moi putain mais obéis !>
Très énervée, je me lève, je jette un regard noir tout autour de moi mais ne remarque personne susceptible d'être le Maître en question. Tous sont affairés sur leurs claviers alors qui?
Je me rends d’un pas nerveux dans les toilettes. J’enlève mes jeans et arrache presque mon string de rage.

Je renfile mes jeans et la sensation de plus avoir de culotte est bizarre. J’espère que je ne vais pas me mettre à mouiller et tâcher mon pantalon. Comment en suis-je arrivée là ?
Le string en boule dans ma main, je jette un coup d’œil dans le couloir.
Personne ; Je m’engouffre dans les toilettes des hommes, dépose rapidement mon string sur le premier lavabo venu et m’enfuie le plus vite possible. Ouf personne ne m’a vu.
Je me rassoie devant le PC en espérant que quelqu'un aille aller chercher ma culotte. Je pourrais ainsi voir qui était ce salopard.
A peine devant mon écran un autre message s’inscrit.
Maitre R 10h30
< Bravo, il y en a un qui va bien se marrer et qui va peut-être en faire profiter les autres.>
Maryaline 10h31
<Salaud!>
Maitre R 10h31
<Tu commences à m'échauffer les oreilles la salope. Je vais encore être patient mais c'est la dernière fois. Bon, je n’ai pas que çà à foutre. Tu te connectes chez toi ce soir à 21h et sois là ! Sinon gare, les représailles pourraient être terribles pour toi. Tu allumeras ta webcam !>
Malgré ma colère, ma honte, mon désespoir, je devais composer avec cet obsédé pour tenter de contrôler la situation scabreuse dans laquelle je me retrouvais.
Maryaline 10h34
<Je n'ai pas de webcam. Mais je serais la Maitre.>
Maitre R 10h35
<Tu as intérêt d’en avoir une ce soir. Tu en achèteras une en route sinon tu auras droit à une humiliation cuisante ! On ne va pas s'ennuyer avec une vicieuse comme toi?>
Le dernier message me fait froid dans le dos.
Seraient-ils plusieurs ?
Ingénue, je réponds :
Maryaline 10h36
<Je ne sais pas Maitre.>
Maitre R 10h37
<Nous verrons cela ce soir. Pour l'instant j'ai du boulot.>
La connexion se coupât. Aussitôt, je surveille encore les allés et venu des hommes mais comment deviner qui es-ce. Je retourne à la toilette et discrètement en passant devant celles des hommes, j’entrouvre la porte et m’aperçois que mon string n’est plus là. L'après-midi est très longue. Je suis en proie à une crainte et une anxiété montante.
A 16h30, je me rends dans un magasin qui est sur ma route et j’acheter la fameuse webcam. Je ne voulais pas faire intervenir Monsieur Vidal pour l’installation de cette cam. Arrivée chez moi, j’ouvre mon courrier et, encore une surprise. Dans une enveloppe sans adresse se trouve des photos. Les mêmes que celles que j’avais eu ce matin sur mon écran.

Ainsi le vicelard savait où j’habitais. Ce n’était pas rassurant. Fébrile, j’installe la caméra.
Puis pour tenter de me détendre, je me déshabille et file sous une bonne douche.

Après ma douche je me mets devant mon PC pour bosser mes courts. L'heure du rendez-vous était arrivée.
Prise par mes courts, je n’avais pas vue l’heure passer. J’étais restée en petite nuisette et nue dessous.

Il est 21 h précise quand le petit signal retentit.
Maitre R 21h00
<Bonsoir Salope!>
Ma colère remonte. J’hésite un instant avant de répondre mais je me calme et me lance décidée à jouer son jeu.
Maryaline 21h02
<Bonsoir Maitre.>
Maitre R 21h03
<Je constate que tu es dans de meilleures dispositions que tout à l'heure.>
Maryaline 21h04
<Si on veut Maitre. Que voulez-vous?>
Maitre R 21h05
<Comme nous sommes appelés à beaucoup se voir, dans un premier temps, j'exige que tu ne porte que des jupes ou des robes pour te rendre à la fac et rien dessous.>
Maryaline 21h06
<Je n'en ai pas beaucoup.>
Maitre R 21h06
<Tu te débrouilles. J'en ai rien à foutre. Moi je donne les ordres. Toi, tu exécutes. Ce n’est pas compliqué pour une bondasse limitée comme toi ?>
Le connard, comment vais-je réussir à le coincer me demandais-je ?
Maryaline 21h08
<Bien Maitre. Si tel est votre désir espèce de vicelard.>
En moi-même, je me dis, tu ne perds rien pour attendre mon salaud.
Maitre R 21h09
<Tu ne vas pas recommencer? Tu ne voudrais pas avoir une exposition de photos demain en te levant dans ton hall d'immeuble ?>
Maryaline 21h10
<Puisque je vous ai dit que je mettrais une jupe que vous faut-il de plus ?>
Maitre R 21h11
<On verra bien. Pour l'instant je vois que tu n'es pas très obéissante. Alors pour la peine tu vas te mettre à poil.>
Je suis déjà presque nue mais heureusement la webcam n’est pas encore allumée. Je ne me dis pas de soucis, je suis chez moi. Je peux faire et être comme je veux. Je reste en nuisette. Je souffle un grand coup.
En moi-même j’avais peur de ses menaces pour ne pas m'exécuter.
Maitre R 21h12
<Avant de te foutre à poil, allume la webcam salope.>
Je reste sur ses mots figée. La main tremblante, j’allume cette caméra témoin de ma déchéance.
Je deviens presque résignée. Mais je n’ai pas ôté le seul voile qui dissimule ma nudité.
Maitre R 21h13
<A poil chienne ! Pour te punir encore de ton insolence, tu vas te caresser maintenant et ne fait pas semblant.>

Bien qu'exaspérée par ce maniaque, je commence à me caresser. Au bout d’un moment, alors que malgré moi mon corps s’éveillait au plaisir de cette caresse, mon tortionnaire laisse tomber un commentaire salace.

Maitre R 21h25
<On dirait que cela te plait de te branler devant moi. Hein Salope!>
Maryaline 21h26
<Je n'ai pas vraiment le choix non?>
Maitre R 21h27
<C'est vrai ma salope. Mais chaude comme tu es, je sens qu’on va bien s'amuser.>
Maryaline 21h28
<Ne croyez pas que je vais céder à tous vos caprices.>
Maitre R 21h28
<T'as oublié (MAITRE). Pour mes caprices on verra bien. Pour ton incartade punition. Demain pas de sous vêtement sous ta jupe. Je vérifierais.>
Et brusquement il coupe la connexion.
Je suis soulagée mais frustrée en même temps. A quel jeu joue-t-il ce fumier.
Les caresses que je me suis prodiguées mon chauffé et je ne peux m’empêcher de calmer ce feu en moi en continuant ma masturbation et me finissant dans un orgasme assez violent qui me laisse épuisée.

Je repense à sa dernière phrase (Je vais vérifier demain si tu ne portes rien sous ta jupe)S'il vérifiait mon obéissance, il serait obligé de se montrer et alors je saurais à qui j’ai à faire. Je vais me coucher troublée par ce qui m’arrive. Ma nuit est agitée.  Je me lève épuisée. Je prends une bonne douche.

Le moment est venu de m’habiller. J’hésite et choisi une robe pas trop courte. Je l’enfile et peut-être par défis, je ne sais trop, je mets des dessous sexy. De toute façon s'il se dévoilait, je pourrais l'affronter.
Arrivée à la fac, j’’allume mon PC. Je ressens un choc quand je vois mes fesses en gros plan.
Juste un message laconique.
Maitre R 08h30
<Connecte toi à 10h00 salope.>
J’efface cet infâme rendez-vous et toise les gens déjà arrivés. Mais ils sont trop nombreux pour en soupçonner un.  A 10 h je me connecte un nœud au ventre.
Maitre R 10h00
<Lèves ta jupe et écartes les jambes.>
Maryaline 10h01
<Pas question ! Il y a trop de monde. Venez la lever vous-même>
Maitre R 10h02
<Sous ton bureau ils ne verront rien.>
Pour moi c’est peut-être l’occasion de reprendre en main la situation. Les bureaux étaient à l'Américaine.
J’eu soudain l’idée de regarder sous mon bureau. En me penchant, j’aperçu une webcam.
Il avait pensé à tout. Comme par maladresse, je donne un coup de pied dedans.
Maintenant t’es piégé mon salop, me dis-je.

Maitre R 10h04
<Salope !!! Tu crois qu’en pétant la cam tu vas t’en tirer comme çà ? J’ai bien que tu n’avais pas obéie et que t’as une culotte. Comme punition tu vas l’enlever maintenant.>
Maryaline 10h05
<Vous êtes complétement fou mon pauvre. Si vous en avez venez me l’enlever vous-même.>
Je tente la provoque pour qu’il se dévoile.
Maitre R 10h06
<Toi tu commences à me courir.>
Aussitôt un diaporama où on me voyait dans toutes les positions les plus hard s’affiche sur l’écran.

Je suis horrifiée et effondrée.
Maitre R 10h07
<Alors la pute ? T’enlèves ta culotte ?>
Je suis coincée.
Maryaline 10h08
<Non je vous en prie je le fais Maitre.>
Je suis anéantie et me tortillant le plus discrètement possible Je me contorsionne en surveillant les autres étudiants.
Maitre R 10h11
<Tu vois quand tu veux. Tu fais bien la chienne en chaleur. Poses la sur ton bureau et en évidence.>

Maryaline 10h12
<je ne peux pas faire ça si quelqu'un vient.>
Maitre R 10h13
<Je m'en fous de tes états d'âme. Tu n'as qu'à être plus obéissante.>
Maryaline 10h14
<Je le serai. Je vous jure mais pas cela.>
Je suis en pleure de honte et rage.
Maitre R 10h15
<Bon mais tu as un autre gage de ta bonne foi.>
Maryaline 10h16
<Oui Maitre. Tout ce que vous voudrez.>
Maitre R 10h17
<Bon à 11h30 aux archives. Allée centrale. Tu te mets à poil, à genoux et tu te branles.>
Tout en pleurnichant de tomber dans une telle déchéance je réponds obéissante.
Maryaline 10h19
<Bien Maître. Mais si quelqu'un vient?>
Maitre R 10h20
<Tu n'aurais vraiment pas de chance ou c'est peut-être moi qui l'enverrait. Personne ne va jamais aux archives. A part toi to day. Lol.>
Maryaline 10h22
<A vos ordres Maître. Mais après vous me laisserait tranquille ?>
Maitre R 10h23
-<Cà, c'est quand je le déciderais. Mais je m'amuse trop bien avec toi pour arrêter maintenant. Au fait ma petite chienne, n’oublie pas notre rendez-vous quotidien à 21h chez toi devant ton écran et à poil bien sûr.>
J’étais écroulée et carrément prise de panique. Bizarrement alors que des photos étaient apparues sur l’écran, personne n’avait de réaction. En fait je devais être la seule à les recevoir et il me faisait croire que tous les voyaient.
Cela me rassurât un peu. A l'heure dite, je suis aux archives.
Je me mets nue et très angoissée je me mets à me caresser le clito, les seins et ma chatte s’humidifie.
C’est fou comme mon corps réagi à la moindre sollicitation. J’oublie où je suis et me met à prendre du plaisir à m’en faire jouir.

Je suis frustrée car mon bourreau est absent. J’ai honte de cette jouissance et je me rends compte que je commençais à prendre plaisir aux petits jeux de ce Maitre.

21h00
Je me connecte nue et cam allumé.

Maitre R 21h00
« Félicitation Maryaline. Tu es devenue une bonne chienne obéissante. J’ai pu apprécier à sa juste valeur ta prestation aux archives. Maintenant j’ai film de plus sur toi salope.>
J’e suis presque amusée d’apprendre cette supercherie. La connexion fût courte.
Il me demande juste d’être totalement nue sous ma robe le lendemain...

 

Fellation au ciné:

Mon copain et moi avons choisi d'aller au ciné aujourd'hui, nous sommes jeudi et nos cours sont terminés, nous sommes en août. Les salles de ciné me donnent des idées coquines que je ne sais expliquer.

Mon copain à 23 ans et moi 22.

Nous partons donc pour la séance de 10h30 en espérant bien entendu que pendant ces vacances, les salles ne seront pas bondées.

 

Arrivé au ciné, nous choisissons un petit film, le seul ou il n'y avait personne faisant la queue. Le film commence, nous sommes seul dans la salle, ca me fait déjà fantasmer et puis deux filles d'une vingtaine d'années entrent dans la salle pour venir s'installer deux rangs devant nous. Quelle merde ! 

Le film a commencé il y a de là une bonne quinzaine de minutes et je décide de jouer un peu avec mon copain, j'approche ma main de son short et lui caresse sa cuisse poilue. Je sais qu'il aime la sensation de mes mains douces sur ses poils. Puis je remonte jusqu'à son entre-jambes, il bande déjà le coquin ! Jetant un coup d'oeil devant nous, tout va bien les deux filles papotent devant ce film minable. Je dézippe son short, une belle bosse apparait dans le boxer de mon copain, je me glisse dessous et laisse sortir une belle queue bien raide. Mon copain est relativement bien équipé une fois bandé, au repos sa queue n'est pas très grosse mais en érection elle avoisine facilement les 19 cm.

Je commence à la caresser du bout des doigts, titillant son gland gonflé de sang. Puis j'approche enfin mes lèvres pour l'embrasser puis insère le tout dans ma bouche.

Quel bonheur, son sexe est chaud et doux, il est complètement excité et commence à faire de petits gémissements. J'arrête et le regarde puis lui confie à l'oreille de faire moins de bruit.

Je me jette de nouveau sur sa bite, ses gémissements reprennent et je sens que ça devrait bientôt venir, mon copain se raidit un peu, il sert fortement les dossiers du fauteuil. De mon côté j'ai la culotte trempée par tant d'émotions, je suis en nage de part l'exitation mais aussi de peur que ces deux filles ne se retournent.

Soudain sa queue se contracte et il jouit dans ma bouche, une première giclée (délicieuse) puis deux autres suivent. J'adore sucer mon copain et il adore cela aussi. 
Je termine le ménage, léchant les abords pour ne pas en mettre partout, puis mon copain se rhabille. 
Le film se termine... Les lumières se rallument.

A la sortie, les deux filles passent devant nous, l'une d'elle nous regarde avec un grand sourire plein de malice...

Je me tourne vers mon copain et nous éclatons de rire


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