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une femme plusieurs hommes

 

Sommaire:

 

 

 

Au toilette des hommes:

 

Je suis maintenant une femme de 29ans saine et équilibrée, mais j'ai eu des actes bizarres durant ma jeunesse.
Un soir d'été, j'avais alors un peu moins de 16 ans, revenant de chez une copine qui m'avait invitée à passer l'après midi, je traversai le souterrain de la gare d'Arras pour prendre mon train. Une envie pressante me prend et je me dirige vers les toilettes. Malheureusement fermées, je décide de me risquer chez les hommes. Je jette un œil et n'aperçois personne, j'entre donc et essaye de trouver une cabine propre. Après quelques essais je m'approche des urinoirs où deux hommes sont en trin d'exhiber leurs sexes et apparemment de se toucher. Grosse surprise, je repars immédiatement et sort des toilettes pour hommes. J'étais à la fois effrayée et très curieuse, et après quelques moments je retourne dans les lieux et constate que les deux hommes occupent cette fois la dernière cabine, le plus vieux (cinquantaine) assis sur la cuvette et masturbant le plus jeune (petite trentaine) énergiquement, qui me fais signe de m'approcher.
J'hésite longuement mais trop excitée, je suis son conseil, prudemment bien sûr. Après un moment à les observer avec envie, car c'était pour moi la première fois que je voyais de tels engins (je n'avais vu qu'une fois celui de mon grand frère de 17ans en observant par le trou de serrure de sa chambre, et il n'était pas en érection!), le plus vieux, et le mieux monté des deux de loin, m'a attiré à lui et m'a fait m'assoir sur ses genoux, ce qu j'ai accepté un peu malgré moi, face à lui j'ai senti une sensation de désir intense et j'ai du mouiller un peu ma petite culotte. Il a alors commencé à caresser la toile de mon jean dans l'entrejambe et là, j'étais sûre de l'avoir mouillée... Ce faisant il a pris ma main et l'a posée sur son sexe énorme en la serrant et la faisant aller et venir, ce que je faisais avec un plaisir incroyable. Pendant ce temps il continuait à me caresser et à essayer d'ouvrir le zip de mon pantalon tout en léchant le sexe dur du plus jeune qui lui, caressait mes tous petits seins sous mon chemisier partiellement ouvert. Je ne savais plus ou j'étais ni ce que je faisais, mais quel excitation. Le vieux ayant réussi à glisser le zip, je lui ai demandé d'arrêter, ce qu'il a accepté, mais il a complètement ouvert mon chemisier et a commencer à sucer mes tétons alors que l'autre approchait son sexe de ma bouche en l'agitant furieusement, il m'a fait peur et je me suis relevée alors que le vieux continuait de me toucher et me retenait. Il a remis ma main sur son sexe et j'ai continué à le branler pour recevoir une giclée de sperme chaud sur mon bras gauche, ce qui m'a fait m'écarter pour de bon, mais j'ai quand même eu le temps de voir le plus jeune éjaculer vers moi, en me remerciant de ce moment passé avec eux. Depuis j'ai eu d'autre expériences bizarres mais jamais je n'ai oublié celle-là, car finalement j'y ai pris énormément de plaisir en dehors du problème d'essuyage du bras sans papier ni serviette périodique. Je continue d'ailleurs à visiter de temps en temps les toilettes hommes, qui sait...

 

 

 

Baisée devant mon mari:

Ce soir c'est la fête. Nous fêtons nos vingt ans de mariage, vingt ans de vie commune très agréable et sans nuage. Les enfants sont partis chez leurs amis et mon mari m'offre le restaurant. Je suis allée faire quelques achats, une mini jupe en cuir rouge, un body transparent en dentelles ainsi qu'un string ridiculement petit,  un soutien gorge pigeonnant qui fait  gonfler mes seins et cache difficilement leurs pointes, ainsi que des bas résilles. Le grand jeu quoi ! Vingt ans c'est quelque chose et mon mari est adorable.       

Le seul point qui nous distingue vraiment est qu'il aime tout ce qui touche au sexe alors que je suis moi-même un peu coincée sur le sujet mais j'ai décidé pour notre anniversaire de lui faire plaisir.
Je suis BCBG, « Une petite bourgeoise bon ton, bien comme il faut » comme me le souligne parfois ironiquement mon mari. Je suis plutôt jolie, pas très grande, svelte, des seins encore fermes et bien proportionnés, un fessier plutôt coquin, un sexe bien lisse et rond, des jambes galbées et un visage d'ange, c'est ce qu'on me dit en tout cas.

Nous sommes partis assez tôt et sommes bien trop en avance pour le restaurant, mon époux qui déteste arriver en retard, prend souvent des marges trop importantes. C'est plutôt l'inverse pour moi.
Après avoir roulé un petit bout de temps sur des routes de campagne, temps pendant lequel il n'a cessé de me caresser amoureusement les cuisses et l'entre cuisses, mon compagnon aperçoit un petit bar, il ralentit et arrête notre voiture sur le parking situé en face du bistrot. Il m'attrape par les épaules et m'embrasse langoureusement.
Je suis assez fière de mon mari. Malgré une surcharge pondérale, il est beau, il possède de plus une intelligence au dessus de la moyenne, il est drôle et est toujours attentionné à mon égard et celui de nos enfants.
Il n'est pas de jour où il ne m'embrasse et ne me dise des mots doux.
C'est vraiment le compagnon idéal. De mon côté, j'avoue avoir un caractère un peu lunatique mais j'essaie de m'améliorer. Quoiqu'il en soit, j'adore mon mari et je me dis fréquemment que je devrais le lui prouver plus souvent.                  

« Je t'aime » me dit-il.
« Moi aussi comme au premier jour »
« Nous sommes en avance, je t'offre l'apéritif ici » reprit-il.
Il m'embrasse de nouveau et en relevant mon body, sort mes seins de mon soutien gorge.
Il les caresse délicatement en s'attardant sur les pointes qui ne tardent pas à s'ériger et durcir.
Puis il continue ses investigations en  promenant sa main sur mon sexe qui continue de s'humidifier tout doucement. Il relève mes jambes, m'enlève le string et pose avec amour ses lèvres sur le mont de vénus pendant que ses mains se baladent sur mes fesses et titille mon anus avec un doigt. Il joue un peu avec mon clitoris de quelques coup de langues puis se relève brusquement, me met une petite claque sur les fesses et me dit :
« Reste comme ça! Allons voir ce petit bar, nous avons le temps et le resto n'est plus très loin, nous finirons cette discussion après le dîner. » Dit-il avec un large sourire coquin en mettant mon slip dans la boite à gant.
Il m'embrasse à nouveau et sort de la voiture.

Je remets de l'ordre dans ma tenue vestimentaire, sors de la voiture et vois ce qui devait être le patron du bar s'éloigner en hâte de la fenêtre. A priori il n'avait rien raté du spectacle.
Peut être à tort, je ne dis rien à mon mari qui n'avait pas l'air d'avoir remarqué le voyeur d'autant qu'il n'aime pas trop ce genre de situation. Le bonhomme n'avait peut être pas tout vu et n'importe comment, nous n'avions pas poussé la chose trop loin. Et puis comme j'avais décidé ce soir d'être coquine, et que sincèrement, j'étais déjà bien excitée des attouchements de mon amour, cela me donnait ma première expérience d'exhibitionniste bien que ce fut involontaire.
Cela me choquait d'ailleurs, beaucoup moins que j'aurais pu le penser.
« Bonsoir m'sieu-dames » nous lance t'il en matant ma poitrine généreuse à peine cachée par le soutien-gorge sous le chemisier transparent, que j'exhibe volontairement, forte de ma première expérience d'exib et de mon petit minou encore tout mouillé.

« Bienvenue chez « ROBERT », installez-vous, ce n'est pas la place qui manque »
Le patron est seul avec ses deux dobermans, c'est un gros bonhomme jovial presque chauve qui nous félicite après que mon mari lui ait expliqué le pourquoi de notre présence. Je le sens très heureux et guilleret et il donne l'impression de vouloir que tout le monde partage notre bonheur.
Nous nous  installons, commandons nos boissons, trinquons à notre santé et commençons à siroter nos verres tout en discutant de choses et d'autres et plus particulièrement de ma tenue sexy que mon mari trouve tout à fait à son goût.
« J'aimerai bien que tu t'habilles toujours comme ça » me dit-il.
« On verra » répondis-je en lui attrapant la main au creux de la mienne.
La soirée s'annonçait bien et je me sentais d'humeur charmante. J'étais vraiment heureuse et prête à tout, pour que mon époux le soit aussi.

J'aurai préféré rester seule avec mon mari pour discuter tranquillement mais peu de temps après que nous nous soyons installés, un groupe d'hommes arrive, perturbant ainsi notre intimité.
Ils s'installent bruyamment à coté de nous, nous saluent, commandent plusieurs bouteilles d'alcool, discutent avec le patron qu'ils semblent connaître puis composent leurs cocktails eux même dans un joyeux brouhaha.
Mon mari, déçu lui aussi par cette intrusion, interpelle le patron et commande une seconde tournée avant de partir, j'en profite pour tirer sur ma jupe qui décidément vraiment très courte, découvre mes cuisses a u dessus des bas et presque jusqu'au sexe. Cela attire visiblement le regard du petit groupe d'à côté. Que l'on voit mes cuisses ou la naissance de mes fesses passe et m'excite même un peu, pour le sexe c'est autre chose. De plus, je leurs trouve un air pas très catholique malgré qu'ils soient rieurs et chahuteurs.  

Voyant que je les observe, l'un d'eux se lève, se dirige vers notre table et nous interpelle.
« J'espère que nous ne vous dérangeons pas trop » nous dit-il en regardant furtivement ma poitrine.
Il me sourit et nous précise qu'ils sont là pour enterrer la vie de garçon de l'un d'eux et s'excuse du bruit occasionné.
Nous lui répondons cordialement qu'il n'y a aucun problème, que nous n'avons pas le monopole de ce petit bar et que nous-même sommes ici pour notre anniversaire de mariage, nous mentionnons  que nous leur laisserons la place libre rapidement pour aller au restaurant. 
« Cela sera bientôt au tour du futur marié de compter les années de vie commune » nous dit l'un du groupe et il nous propose gentiment de trinquer avec eux.
Sans attendre mon avis mon époux accepte et nous levons tous nos verres au futur marié et à nous même. Nous entamons une discussion courtoise avec ces hommes qui, somme toute, paraissent plutôt sympathiques. Constatant nos verres vides, ils nous proposent de goûter à leur mixture. Sans attendre notre réponse le même homme qui s'était déplacé la première fois, se lève à nouveau et remplit nos verres.
Bien que fort en alcool leur cocktail est bon et nous  commençons à philosopher sur le mariage, ses joies et ses contraintes.
Le temps passe et les verres se vident et se remplissent, mon mari regarde sa montre et me fait signe de la tête qu'il va être l'heure d'y aller.

Constatant que nous nous préparons à partir, ils insistent pour nous offrir une dernière tournée et joignant le geste à la parole, nous proposent de réunir nos tables.
Nous souhaitions être tranquilles mais la troupe est joyeuse et nous avons envie de passer une bonne soirée, alors un peu d'animation avant le dîner est la bienvenue et le restaurant attendra bien un peu.
Mon mari semble ravi, la soirée commence bien,  il raconte ses dernières petites histoires assez salaces, et écoutons les leurs pendant qu'ils nous resservent au fur et à mesure que nous vidons nos verres. Nous n'avons pas l'habitude de boire autant et commençons à avoir la tête qui tourne, Je me sens pour ma part sur un petit nuage, euphorique !
Je remarque à plusieurs occasions que des regards se portent sur mes seins et mes cuisses que je croise et décroise maintenant volontairement, dévoilant sans pudeur mon petit sexe épilé j'ai envie de continuer l'exhib commencée sur le parking et d'exciter ces mâles avant de partir. Je garde même les jambes bien écartées afin que mes admirateurs puissent contempler sans encombre mon entrejambes


« Nous allons vous laisser maintenant » leur dit mon mari qui n'a pas l'air d'aller très bien non plus.
« Attends  cinq minutes » lui dis-je, « je vais me refaire une beauté ». A vrai dire une petite envie m'oblige à avoir recours aux toilettes avant de partir.
Je me lève, tire à peine sur ma jupe arrivée aux fesses, embrasse tendrement mon époux d'un baiser torride en me penchant bien en avant afin que chacun puisse profiter de mon arrière train, traverse en titubant l'arrière salle, m'agrippe aux tables et chaise pour ne pas tomber  et trouve les sanitaires.

Le patron du bar est en train de se laver les mains dans le lavabo.
« Vous vous trompez de WC » dit-il en m'indiquant ceux réservés aux femmes
« Oh excusez-moi, je suis un peu pompette et je commence voir trouble » dis-je en riant.
« Ce n'est pas bien grave mais les toilettes femmes ont une petite poubelle pour mettre ce que vous savez et surtout les toilettes hommes sont des WC turcs »
Je passe à côté de lui et il en profite pour me bloquer.
« Vous as t'on déjà dit que vous êtes superbe » Me dit il.
Je suis flattée et remercie l'homme de ces gentils compliments. Sous prétexte de me poser une bise sur la joue, il m'attrape par la taille et me rapproche de lui.
Il couvre mes joues de petits bisous, exactement comme le fait d'habitude mon mari. Petit à petit, ses baisers se rapprochent de mes lèvres pour continuer sur celles-ci. Les baisers se font de plus en plus pressants.
J'ai fermé les yeux et me suis appuyée sur le mur de crainte de perdre mon équilibre plutôt mis à mal par l'alcool.
Il enfonce d'autorité sa langue dans ma bouche et va chercher ma langue qui lui répond et se mélange avec la sienne.
Il passe une main sous la jupe et l'autre sur les seins. Il malaxe longuement  mes fesses avant de caresser ma fente et avant d'introduire son doigt entre les lèvres qu'il a doucement écartée afin de titiller le clitoris. Sentant le désir monter en moi je m'échappe de son étreinte, entre dans les WC et ferme la porte à clef.
« Les hommes sont vraiment des coquins » me dis-je en souriant et bizarrement pas plus choquée que cela par le comportement cavalier du patron. Je m'assieds ou plutôt tombe maladroitement sur la cuvette des waters et fait mon petit besoin. à côté, sur le sol.
« Hou lala, je suis vraiment pompette » dis-je 
Je profite malgré tout de ce moment d'intimité pour me remettre un peu de rouge à lèvres et réajuster mes seins dans les balconnets qui ont bien du mal à accomplir leur mission d'autant que le patron du bar les a copieusement pelotés. Ceci explique aussi les yeux fixés sur ma poitrine durant tout l'apéritif. Mais vu mon état, moi qui suis plutôt timide et réservée d'habitude, souris avec une pointe de fierté à l'attention que l'on me porte. Je ressors d'autorité un sein du soutien gorge et sort dans la partie commune pour trouver une serpillière pour essuyer par terre et aussi me laver les mains.
Le patron est toujours là.

« Je ne vous ai pas choquée ?» me dit il.
« Non, non mais j'ai fait des petites bêtises » lui dis-je en montrant le plancher autour du bidet.
« Auriez vous quelque chose pour essuyer ? »
« Prenez du papier essuie-mains, il ne faut pas laisser cet endroit dans cet état » me répondit-il sèchement.
Et me voilà à quatre pattes en train d'essuyer ma maladresse.                         

Prétextant m'aider le patron se met à coté de moi, s'accroupit  puis passe à nouveau sa main par derrière jusqu'à la fente de mon sexe qu'il caresse. Je me laisse faire et il y introduit à nouveau quelques doigts et joue avec mon clitoris qui continue de s'ériger.
Je sens mon sexe redevenir humide et j'écarte les jambes machinalement tout en finissant d'éponger le sol.
La seconde main écarte les lèvres de mon sexe pendant que la première laisse mon clitoris, il est à genoux derrière moi. Je sens sa virilité se frotter contre la raie de mon petit cul.
C'est lorsque son gland tente d'investir ma matrice génitale que je réalise tout à coup ce que je m'apprête à faire. Malgré mon état alcoolisé, je me relève d'un bond pour sortir des toilettes. Le patron me rattrape in extrémis et referme la porte salvatrice avant que je n'ai eue le temps de m'échapper.
Il me retourne de force, me prend par les cheveux et me bloque, les seins contre le lavabo. Il passe sa main entre mes cuisses qu'il écarte et positionne son gland à l'entrée de ma fente et introduit sa verge entre les lèvres  de mon sexe. L'homme m'attrape la taille à deux mains et m'empale de toute la longueur de son pieu pendant que je crie. Je sens son membre investir et il commence à me violer avec vigueur. Résignée, j'ai cessé de crier et laisse mon involontaire amant me baiser.
Il va et vient dans mon ventre et je tends maintenant ma croupe pour qu'il m'enfouisse sa grosse queue au plus profond de mon intimité. Il resserre mes cuisses afin de mieux sentir ma chatte se refermer sur son sexe et après quelques minutes, dans un dernier soubresaut, il décharge son foutre à l'assaut de mes ovaires. Je recule encore un peu afin de bien sentir sa chaude semence dans mon vagin.
« Mais qu'est-ce que j'ai fait ! »  Me dis-je
Soulagé, il me lâche et je sors des toilettes.
En sortant, le cul à l'air, trempée comme une chienne, du sperme dégoulinant de mon sexe sur mes cuisses, je m'aperçois que cinq des hommes ont quitté la table commune, ils se sont attablés et discutent dans cette arrière salle toujours autour de plusieurs bouteilles d'alcool, je vois de même mon mari de dos qui parle et continue de boire avec les deux autres de la troupe. Je réajuste ma jupette, essuie tant bien que mal le foutre qui me coule dessus et me dirige le plus rapidement possible ce qui est un euphémisme vu mon état, vers ma table, toujours en titubant et en me tenant, c'est alors que l'un des cinq hommes m'interpelle joyeusement et me demande de venir boire un dernier petit verre avec eux avant de rejoindre mon mari et partir au restaurant afin de donner quelques conseils féminins avertis au futur marié.
Devinant mon hésitation et sans attendre ma réponse le plus costaud de la bande m'attrape rapidement par le bras et me demande de m'asseoir. Forte de l'expérience des WC, je refuse mais la main ferme qui me maintient, mon équilibre précaire et mon esprit embrouillé ont raison de mes réticences. Les autres chaises étant toutes retournées sur les tables ce galant homme m'installe d'autorité et sans plus de commentaire, sur sa jambe droite en me tenant par la taille.
« Cela ne vous gêne pas j'espère » finit-il par me dire. Il plaisante un peu, me sert à boire, détend l'atmosphère et se présente en me faisant un large sourire.
« Moi c'est Denis »
« Moi c'est Annie » répondis-je, négligeant totalement l'épisode qui vient de m'arriver. Bien que ma tête tourne de plus en plus, j'arrive à parler à peu prés correctement, enfin, c'est mon avis, avec ces inconnus
Nous discutons des femmes en général, surtout de moi,  et abordons les conseils au futur marié notamment sur la fidélité qui ne doit jamais trahie en me donnant en exemple avec fierté et conspuant les époux infidèles, toujours en sirotant le cocktail et en oubliant promptement la brève et  récente aventure des toilettes
« Mon verre doit être magique, je n'arrête pas de boire et il est toujours aussi rempli » dis-je en m'esclaffant.
J'ai de plus en plus chaud mais me sens bien avec toujours la vue sur mon mari de dos. Je suis bien calée, les deux cuisses écartées autour du genou (qui n'arrête pas de bouger) avec la main droite de mon chevalier servant qui a lâché la taille pour la fesse droite (qu'il caresse doucement) afin que je ne glisse pas. Je sens des petits frissons me parcourir  le corps   



De voir mon époux me rassure et je me redis que je l'aime vraiment.
« Vous avez une poitrine superbe » me dit le plus jeune en face de moi.
Je baisse la tête et me souviens que mon sein droit est sorti du balconnet  et darde fièrement sa pointe sous l'étoffe transparente de mon body. Je rougis un peu et entreprends de remettre le téton récalcitrant à sa place, mais avant que j'aie pu mettre la main sur ma poitrine pour mener à bien la remise en place, Denis me précède, passe la sienne sous le body et attrape  la mamelle.
« Laissez je vais faire » dit-il.
Je suis de plus en plus gênée et mes joues virent à l'écarlate «  Euh. beuh . ». Je bafouille et attrape vainement le bras de Denis qui a sorti le sein complètement, le soupèse, le caresse délicatement et titille la pointe. Absolument pas perturbé, il me complimente sur ma poitrine, sort le second nichon qui subit le même traitement.

« Ne soyez pas timide, vous avez des seins magnifiques, laissez les respirer, on voyait déjà presque tout avant, alors un peu plus ! »
Peu convaincue par l'argumentation, je me redresse d'un coup mais ma tête me tourne de plus en plus et Denis me rattrape in extremis m'évitant de tomber, il me prend la taille à deux mains et me remet en position stable sur sa jambe.
« Pour les seins, cela restera notre petit secret » me murmure t'il à l'oreille en y plaçant un petit bisou et en mordillant le lobe tout en continuant de me peloter par dessus l'étoffe. Je suis déconcertée, et ne sachant plus vraiment que dire ou faire, répond en bégayant «  Bon d'ac.d'accord, mais c'est tout » et je reprend mon verre.
« Ne craignez rien votre mari est là, nous l'avons prévenu que nous vous dirions au revoir avant que vous ne partiez, il est d'accord ! »
Denis me cale de nouveau avec sa main sur la fesse droite et sa main gauche sur mes seins. Je sens sa main qui me caresse de nouveau la fesse mais sous ma jupe, il l'a relevée lorsqu'il m'attrapée et a dévoilé ainsi, mon intimité et les autres hommes regarde mon minou avec insistance je sens encore la douce chaleur envahir mon bas ventre

« N'est-ce pas qu'elle est belle » dit-il à ses amis
« C'est sûr » répondent en cour ses camarades.
« Je dois y aller maintenant, on doit partir au restaurant »
« C'est dommage » me dit Denis » on est bien ensemble.
La main gauche de Denis lâche ma poitrine pour venir pétrir mon sexe trempé, j'écarte machinalement les cuisses afin de lui faciliter la tache. Il passe lentement son doigt entre les deux lèvres mouillées et caresse le clitoris déjà sensibilisé par les doigts du patron, mes yeux se ferment et je me laisse aller et appuie mon dos sur son torse.

Une main vient à nouveau caresser un téton, j'entrouvre les yeux et vois le plus jeune de la troupe à coté de moi, il relève le body et pétrit ma poitrine à deux mains. Denis m'embrasse à pleine bouche,  un autre larron s'agenouille devant moi dit :
« Elle est toute épilée cette petite salope, j'adore ça ! »
Denis écarte mon sexe et laisse apparaître mes chairs roses et humides facilitant le passage de la langue de l'homme installé entre mes cuisses qui commence à me brouter le minou avec vigueur.  et me malaxe les fesses, la langue explore l'entrée de mon intimité complètement trempée et joue aussi avec mon clitoris et mon anus. Mes seins, pendant ce temps, passent dans toutes les mains.
Sentant ma volonté vaciller, je tente une nouvelle fois de me lever un peu pour tirer ma jupe sur mes cuisses et stopper cet enchaînement que je ne voulais pas. En vain les mains qui m'enserrent les cuisses, les fesses, les seins ne me laissent aucune chance sans présumer de ma capacité à tenir debout seule et ma folle envie de me faire pénétrer. Je regarde dans la direction de mon mari pour chercher de l'aide mais il a l'air de s'être endormi sur la table.
« Non, s'il vous plait laissez-moi ».
Ces paroles à peine terminée, le brouteur de minou se retire, ma foufoune est trempée, Denis me soulève un peu ajuste son sexe avec une main sur l'entrée du mien, Je sens le gland écarter les lèvres de ma chatte. Je l'implore d'arrêter mais en même temps j'écarte les cuisses, pour qu'il me laboure les entrailles, puis il me relâche et m'enfile d'un seul coup, je sens son gros membre chaud progresser en écartant les parois de mon vagin et envahir ce qui n'avait appartenu qu'à mon mari et un peu au patron du bar. Je lâche un râle de plaisir.

J'écarte les jambes au maximum et me laisse aller à la copulation, j'attrape la bouche de Denis pour sentir sa langue contre la mienne et mélanger notre salive. Denis me possède totalement, son pieu  s'est enfoncé jusqu 'aux testicules. Je me trémousse le derrière pour mieux sentir la pénétration.
Les autres enlèvent leur pantalon et s'approchent. On m'attrape par les cheveux et un autre sexe de bon calibre force ma bouche. Je le suce avec vigueur.
D'autres verges entourent ma bouche et je suce tout ce que je peux, enfournant parfois deux bites en même temps. Denis s'applique à me faire des suçons dans le coup et un autre sur la poitrine. J'ai envie qu'ils me défoncent comme une pute, je veux être une vraie salope et j'ai envie que mon mari me voit me faire violer.
Malgré moi, je sens le désir monter de plus en plus et continue à sucer et branler plusieurs bites avec passion pendant que Denis me lime comme un malade et pendant que les autres me caressent tout le corps. Luc, je crois que c'est son prénom, va et vient lentement, je me délecte de sa grosse queue qui envahit ma cavité buccale, ma langue joue avec son méat et son prépuce  puis il accélère et éjacule dans ma bouche, j'avale toute sa purée avec délectation lui suçant la dernière goutte jusqu'à la retombée du sexe.
« T'es vraiment une grosse pute sous tes airs de bourgeoise » me dit Luc pendant qu'un autre prend sa place. Je sens à l'explosion de chaleur qui envahit mon ventre que Denis vient de jouir à son tour j'écarte les cuisses au maximum et lève légèrement les jambes afin de sentir au mieux l'homme qui est en train de me souiller. Je suis inondée de foutre et j'en veux encore. Deux autres m'attrapent, m'enlèvent body et soutien gorge, me mettent sur le ventre sur la table me lubrifie l'anus avec leur salive, ils commencent à forcer l'entrée avec la langue puis avec leurs doigts. L'un d'eux se présente derrière moi et ajuste son sexe. Je relève et tend ma croupe tant j'ai hâte qu'il m'enfile. Il  passe ses pouces entre mes fesses qu'il écarte et commence sa lente progression dans mon trou du cul. Chaque centimètre enfoncé dans  le fondement me procure douleur et jouissance mais une fois la verge totalement enfouie dans mes intestins et après quelques allez retours, la douleur s'estompe pour ne laisser qu'un immense plaisir encore jamais ressenti jusqu'à ce jour. Ensuite c'est un tourbillon de bonheur, ils m'enculent à tour de rôle en me pelotant les seins, c'est la première fois que cela m'arrive ; Mon mari a toujours voulu me posséder par derrière mais j'ai toujours refusé. Qu'est ce que j'aimerai qu'il puisse me voir prendre autant de plaisir.

Tous viennent tour à tour, remplir mon petit trou. On me retourne à nouveau et mes trois orifices sont pris en même temps. Jamais je n'ai joui autant. Je suis remplie de foutre et bizarrement je m'imagine comme une dinde farcie .au jus d'homme.
Une fois que tous ont profité de moi, on m'attrape, me retourne de nouveau et m'attache à la table sur laquelle dort à moitié mon mari, face à lui. Il à l'air complètement groggy, les yeux hagards, il nous regarde mais ne réagit pas. On m'installe les fesses en l'air et l'on m'introduit un légume plutôt volumineux dans la chatte.
« Chéri » dis-je à mon époux
« J'suis pas bien » répondit-il les yeux vitreux.
On m'enfonce ensuite le même légume dans la bouche et je me mets à sucer.

Après plusieurs allers-retours du concombre, le patron du bar que j'ai planté aux toilettes et que je ne voyais plus arrive et me dit :
« Ecoute poulette ton mari ne va pas très bien, ce qui n'est pas anormal avec les hypnotiques que nous avons mis dans sa boisson. Nous allons le ramener chez lui et nous nous occuperons  bien de toi. Pendant que tu t'éclatais comme une bête j'ai pris un bon nombre de photos, tu auras beaucoup de mal à faire croire à qui que ce soit que tu n'étais pas consentante. Alors on va continuer à s'amuser puis on te ramènera chez toi, mais tu as encore du temps devant toi. En plus de fermer ta gueule et tu viendras une fois par semaine vider nos couilles »
Il me balance deux bonnes claques en pleine figure et je me mets à pleurer. Pas très longtemps car le patron s'empare d'une bouteille de bière l'ouvre et me l'enfonce dans l'anus déjà dilaté.

Sous la poussée anale, l'objet déjà enfoncé dans mon vagin est expulsé ; Drôle de sensation que me procure cette bière froide qui envahit mes intestins. Il s'applique à de long va et vient, j'écarte de nouveau les jambes au maximum, au début pour limiter la souffrance, ensuite pour qu'il puisse l'enfoncer complètement dans le cul, à chaque aller et retour la bière gicle, puis il alterne avec mon sexe, jette la bouteille et me sodomise à son tour pendant que les autres réinvestissent ma bouche et me voila repartie avec un désir fou que je ne peux réprimer.                                            

Bien que toujours saoule, l'effet de l'alcool se dissipe un peu et je mesure un peu mieux la réalité de la situation. Les hommes me laissent un peu et vont se resservir quelques cocktails. Une bonne demi-heure se passe avant que la joyeuse troupe ne s'intéresse de nouveau à moi. Maintenant j'ai peur, j'ai affreusement honte et n'ose rien dire. Je pense à mon mari étalé sur la table et que j'ai trahi de la façon la plus odieuse, je pense à la jouissance que j'ai eu et me sens coupable.
On recommence à me caresser délicatement l'entre jambes et les seins ; Broute minou repasse à l'action et me lèche alternativement minou et anus. Je sens malgré moi le désir monter à nouveau, mes cuisses s'écartent et mon sexe béant est prêt à accueillir de nouveau.  On me détache, me met au sol à quatre pattes et le patron du bar arrive avec ses deux dobermans. Il ordonne à l'un de ses chiens de se coucher devant moi et me dit :
« Suce salope, t'es juste bonne à soulager mes chiens ».
Devant mes faibles protestations je reçois une nouvelle paire de claques. Ecourée, c'est en larmes que je m'exécute.

Le sexe moyen du chien commence à gonfler dans ma bouche pour devenir d'une taille plus que respectable. Le patron me besogne par derrière pendant ce temps, je sens la jouissance monter, la verge du chien est devenue énorme et rouge, je m'active de plus en plus sur la bite et c'est avec bonheur que j'avale la purée de « Médor » qui gémit de bonheur, je le maintiens le plus longtemps en bouche possible en espérant en vain de lui redonner vigueur. Puis c'est au tour du second chien de venir remplir mon anatomie, à la place de son maître qui vient de se répandre dans mes entrailles. Le chien s'active bestialement et je l'aide dans son mouvement en rythmant ma croupe à ses assauts et c'est avec lui que j'explose d'un plaisir encore inconnu à ce jour. Le chien se retire et s'applique à me lécher longuement le sexe et l'anus qui dégoulinent.  

Je constate que l'on ne cesse de me prendre en photo.
Les festivités terminées, les deux compères qui n'ont pas participé aux festivités m'attrapent sans ménagement et m'entraînent nue à l'exception de mes bas, dans leur voiture. Quelques kilomètres plus loin et  nous arrivons sur un parking réputé pour son activité sexuelle durant la nuit. Pendant tout le parcours celui qui était monté à l'arrière du véhicule avec moi a maintenu la pression sexuelle en me caressant sans jamais me faire jouir et c'est excitée comme une chienne en chaleur que je suis offerte comme une putain.

Moyennant quelques Euros la passe, je me fais reprendre par tous les trous. Petits, grands, gros, maigres, beaux, laids, j'ai eu le droit à tout, même un collègue de bureau vicelard à souhait qui m'a prise par devant et par derrière avec la satisfaction de me donner un nouvel orgasme. Il me pelotait déjà les fesses dés qu'il le pouvait au bureau et ne s'en privera plus désormais. La cerise sur le gâteau : Deux clochards me saute en même temps à titre gracieux.
Suite à cela les deux hommes me raccompagnent chez moi. Arrivés, ils vont voir si mon mari, que l'on a effectivement raccompagné, dort toujours. Dans notre lit, pas très en forme dans un semi sommeil à moitié shooté, à moitié conscient, il nous regarde en disant des choses incompréhensibles. Il se fait déposer gentiment par terre.
« Boum ! » et les deux hommes investissent notre lit, ils m'attrapent et me violent à leur tour, m'embrassant à pleine bouche, me pétrissant sexe et seins, me pénétrant encore et encore devant mon homme qui nous regarde l'air hébété. Ils  m'obligent à me coucher sur lui, en faisant en même temps une fellation à l'un de mes tortionnaires pendant que l'autre continue à prendre des photos, Ils m'enculent à tour de rôle et pour finir en m'urinent dans la bouche pendant que je crie de jouissance.
« Bon Anniversaire de mariage chérie » me disent ils.
« T'es une baiseuse de première », « A l'avenir, évite de te faire sucer le nougat devant les bars, ça t'évitera des ennuis », « Pour ton mari, t'inquiètes pas, demain il aura la gueule de bois mais ne se rappellera pas de tout, débrouilles-toi pour t'inventer une histoire »
Et ils disparurent.
Tout c'est passé comme ils me l'avaient dit, mon mari ne se rappelle plus de ce qui c'est vraiment passé après le troisième verre, hormis un  vilain cauchemar dans lequel je me faisais violer devant lui sans qu'il puisse intervenir, mais ce n'était heureusement qu'un mauvais rêve argumente t'il !
Je me rends régulièrement au bar « chez ROBERT «   ou je me fais défoncer tout aussi régulièrement, bouche, anus et sexe avec de nouvelles variantes : lesbiennes, fisting, hommes de couleurs, gang bang organisés, pipes aux clients sous la table et bien d'autres asservissements.     

A chaque fois je récupère une photo.
« Quand tu auras récupéré toutes les photos tu seras libre poulette » me dit le patron, « A moins que tu n'aime ça »
Quant à mon collègue de travail, il expérimente avec moi tout ce que sa femme n'accepte pas. Je ne compte plus les fois qu'il me prend dans les toilettes de l'entreprise parfois avec d'autres collègues qu'il a mis au courant. Il ne se passe plus un jour sans qu'on me touche les fesses sous ma jupe, même une collègue lesbienne profite de la situation.
Ne pouvant ne me confier ni à mon mari ni à la police, je suis allé voir un « psy » Je me suis confié à lui, lui ai narré mon aventure telle que je viens de le faire. Il m'a écoutée, et m'a déclaré froidement qu'il n'avait jamais entendu d'histoire aussi bandante.
Il se rend maintenant régulièrement au bar « CHEZ ROBERT » et me baise à chaque occasion.
Mon mari n'est au courant de rien, je l'aime toujours autant et lui aussi même s'il se plaint de temps en temps de ma moindre disponibilité sexuelle.

 

 

 

 

Le viol d'Isabelle:

Maintenant qu’Isabelle se retrouvait coincée entre les deux hommes, elle ne pouvait que penser à ce qui l’avait amenée à se retrouver violer par deux cambrioleurs, sur son propre lit.
Prise en sandwich, après avoir vu ses vêtements arrachés alors qu’elle rangeait le linge dans l’armoire, elle savait que son viol d’aujourd’hui avait pour origine celui d’il y a une dizaine d’années dans un parking souterrain de Paris.
En effet, agente commerciale dans le bâtiment, elle gagnait sa voiture lorsqu’un homme l’avait poussée contre le mur et couchée au sol, pénétrée à plusieurs reprises alors qu’elle criait en vain au secours. Elle avait été prise en levrette puis son viol évoluant, elle avait fini sur son violeur qui lui donnait de grands coups de rein ; position quelque peu inhabituelle pour un viol et qui avait amené, malgré la douleur psychologique de ce rapport, à jouir en secret, encore que son violeur l’avait apparemment deviné.
Et Isabelle, éperdument amoureuse de Xavier s’était ouverte lors d’une nuit chaude et agitée. Elle avait compris par la suite que son homme avait excité par son récit et aujourd’hui, elle en voyait les conséquences.

Habitant seule en dehors de Montauban, dans une grande maison isolée, Xavier n’avait de cesse de lui répéter de fermer la porte d’entrée à clé sous peine un jour de se retrouver dans la position de chienne prise en sandwich.
Lorsque les deux hommes cagoulés étaient entrés dans sa chambre, Isabelle, terrorisée n’avait pu que crier. En vain, Olivia sa fille étant absente de la chambre voisine.

Les deux hommes l’avaient ceinturé et sanglotant, Isabelle avait vu leurs mains se promener sur son corps svelte et s’arrêter à ses petits seins en poire. Là, elle avait compris qu’elle allait passer un drôle de moment. Elle les avait suppliés de la laisser mais la poussant sur le lit, l’un des deux cambrioleurs avait fermé la porte de la chambre et commencé à se déshabiller comme son collègue. Isabelle s’était redressée du lit, elle hurlait mais quatre mains l’y repoussèrent et pendant qu’un lui tenait les bras tirés en arrière, l’autre lui arrachait ses vêtements, riant de son méfait à venir. 
-Salope !, déclara-t-il en lui malaxant ses petits seins, on va bien s’amuser.
Sur ce, il se jeta sur Isabelle, lui écarta les cuisses pour la pénétrer. Isabelle sentit sa bite forcer !Elle criait.
-Non ! Arrêtez ! Arrêtez !
Mais cela ne faisait qu’exciter les deux pervers. Isabelle sentit le feu à sa chatte avec ce va-et-vient ponctué de râles et d’hommages grossiers à son statut de pute prise complaisamment. Cependant, la bite de l’autre agresseur se promenait, humide, sur son visage et finit par aller dans sa bouche.  Isabelle sentit au bout de quelques minutes d’aller-retour, sa bouche se remplir. Elle hoqueta pour cracher entre deux sanglots la semence qui dégoulinait, tiède et écœurante.

Lorsque le violeur de sa chatte lui mit la bite à la bouche à son tour pendant que l’autre le remplaçait avantageusement, Isabelle reconnut ce pénis qu’elle suçait tant. Et elle comprit !

Xavier la violait, désireux de voir comment elle se comportait. Isabelle sentit ses nerfs se relâcher, rassurée et avala sans broncher la queue turgescente. Elle aimait son homme et continua à faire comme si de rien n’était.
Après s’être vidé à son tour, Xavier retourna Isabelle et glissa la bite de son collègue dans sa chatte, Isabelle étant prise, face à son violeur, comme lors de son viol initial.
Elle frissonna à l’idée de revivre cet instant dans le parking qui l’avait traumatisée et pourtant faite jouir en adoptant cette position mais Xavier qui déguisait sa voix, lui dit :
-Une belle salope comme toi, ça finit bien comme ça, non ?
Et là, elle sentit sa bite se glisser dans son cul et remplir le peu d’espace disponible. Elle hurla pour exciter son homme.
-Pitié ! Non, pas çààààààààà !!!!!!!
-Haaaaa ! Que c’est bon, salope !, déclara Xavier pendant que la saisissant par la taille, il lui imprimait un mouvement d’avant en arrière.
Xavier la maintenait par sa masse plaquée, en partie relevée, contre son complice d’en dessous, assez pour voir ses petits seins se balancer.
-Mords-lui les seins à cette garce, intima Xavier, elle adore cela !

Isabelle sentit ses petits seins gobés alors que les deux bites la fourraient. Un orgasme se mit à monter en elle, entretenu par les insultes lancées par ses deux violeurs.
-Il ne manquerait plus que ma fille rentre, songea-t-elle, pour voir sa mère forcée ainsi.
Les deux trous débordèrent de sperme alors que les hommes hurlaient leurs jouissances. Aussitôt après, ils s’échangèrent la place. Isabelle poussait de petits cris excitants qui se voulaient des sanglots. Elle remarqua le caméscope miniature posé sur la table de nuit. Son viol était filmé et elle était l’héroïne principale. Isabelle se donna alors à fond essayant de s’échapper à la moindre occasion, criant, hurlant et sanglotant de temps à autre. Son viol dura toute la nuit, les deux hommes partant au matin, la laissant épuisée et recouverte de sperme.
Isabelle sentit la douceur de sa couette en plumes et s’y réfugia pour récupérer de cette folle nuit. Décidément, ses viols avaient vraiment que du bon !  

 

 

 

Un père et ses fils pervers:

Je vais vous raconter ma vraie première expérience sexuelle qui s'est passée lorsque j'avais 18ans.
Je suis une fille brune aux cheveux longs, à la poitrine généreuse (85C) et aux tétons très sensibles que j'adore me faire sucer. Un jour, je décide d'aller sur un chat pour trouver une personne qui aimerait me rencontrer pour se donner du plaisir mutuellement.
Un homme de 30ans mon aînée et divorcé vient m'aborder de suite et je lui explique ce que je recherche, il a l'air intéressé et me demande s'il peut faire participer ses deux fils jumeaux de mon âge. Je ne vois pas d'inconvénient à cela mais je pose tout de même mes barrières qui sont : pas de pénétrations car je suis vierge. Il me dit que ses fils aussi donc ça ne pose pas de problème.

Le jour J je me rend donc chez ces hommes, toute excitée. Je porte une petite robe d'été blanche sans soutien-gorge et avec une petite culotte blanche dessous. J'adore sentir le tissu de mes vêtement effleurer mes tétons qui durcissent très vite et me font mouiller immédiatement. C'est le père qui m'ouvre la porte et je suis étonnée de voir que c'est un très bel homme pour son âge. A peine entrée, il me scrute de haut en bas avec envie et m'attrape par la taille pour me rouler une pelle que je n’oublierai jamais! En même temps il me malaxe les fesses et passe une main dans ma culotte pour me caresser la chatte, je ne dis rien je savoure sa langue et ma mouille coule déjà bien sur ses doigts.
Il porte un short donc je ne tarde pas à sentir son sexe durcir et déformé son short, il a l'air gros et la bite d'un homme me fait encore un peu peur je m'écarte alors un peu de son étreinte. Je constate alors que ses deux fils nous regarde un peu gênés.
Je rougis à mon tour, et c'est là que le père me dit qu'ils ont imaginés un petit scénario, c'est à dire, que je vais m'allonger sur la table de la cuisine, ses fils vont chacun s'occuper de mes seins comme je l'avais demandé et lui me fera un cunni car il est plus expérimenté qu'eux. Il me dit que forcément ils vont devoir éjaculer donc il faudra que je les suce ensuite.

Je ne discute pas et les suit dans la cuisine, le père me soulève du sol, j'enroule mes jambes autour de sa taille pour ne pas tomber et il me fait asseoir sur la table, encore une fois il me roule une pelle d'enfer et me fait tomber mes bretelles pour voir mes seins, là il me les empoigne et avec ses pouces il tripote mes tétons. Sans le vouloir, je pousse un petit cri de plaisir, étonné il me sourit et me dit:
"tu sais ma petite chérie tu es très mignonne je vais te donner du plaisir comme t'en a jamais eu"
Je ne sais pas trop quoi penser de cette parole je ne dis donc rien je souris seulement.
"allonges toi !!" j'obéis, il m'enlève ma petite culotte "thomas, bastien, vous pouvez y aller, chauffez la bien, je reviens et toi écartes tes jambes ma puce"
Les deux garçons s'approchent de moi, m'attrape chacun un sein dans une main et commence à téter, c'est si bon de se faire téter les deux seins en même temps et par deux garçons ma respiration s'accélère (étant pucelle il m'en fallait pas beaucoup pour m'exciter) je ressens tellement de choses quand on me touche les tétons j'ai des frissons partout... L'un des deux commence à prendre confiance et de son autre main me titille le clitoris, ma cyprine coule de plus en plus, j'ai déjà bien trempé la table, et j'y pense, ma robe que j'ai gardé à ma taille doit être bien mouillée aussi.
Le père réapparaît avec ma culotte dans la main et je vois que sa bite est sortie de son short mais il ne bande pas. Les deux garçons voyant leur père ainsi font de même et sortent leurs sexes bien bandés eux en revanche de leurs pantalons. Celui qui s'appelle bastien commence à frotter sa queue sur mon sein et l'autre monte sur la table pour me faire sucer. J'avale alors la bite offerte en faisant des va-et-vient lentement au début et plus rapide petit à petit, il doit faire un effort pour ne pas déjà gicler mais ce puceau n'arrive pas à se retenir et m'éjacule une quantité impressionnante de sperme dans la bouche tout en poussant un cri sans retenu, je dois avaler deux fois pour tout avaler. Déçu mais les bourses plus légères il reprend mon téton en bouche.
Le père, qui me caressait et me doigtait depuis qu'il est revenu, s'agenouille maintenant pour se retrouver la tête entre mes jambes et commence à lécher, aspirer, doigter ma petite chatte de pucelle. Là j'en peux plus, à mon tour de ne plus pouvoir me retenir, je jouis fortement en poussant un long soupir et un long jet de mouille coule sur le visage du père. Toute transpirante et aux anges je laisse tomber mes jambes mais le père ne l'entend pas ainsi, il me lève de la table, pousse sur ma tête pour me faire agenouiller, m'agrippe les cheveux et amène ma bouche sur sa bite. Non seulement il bande mais j'ai le temps de remarquer que sa queue est pas grande mais grosse et je peine un peu à la faire rentrer dans ma bouche. Le garçon qui n'a pas joui se branle devant mon visage et j'espère juste qu'il ne gicle pas sur moi car après je dois quand même rentrer jusqu'à chez moi et déjà que ma robe doit être dans un sale état!

"vas-y ma puce suce bien allez fais moi plaisir accélère ma petite chérie putain j'aime baiser ta petite bouche de gamine"
"avoue que t'aime ça aussi, mes couilles tapent ton menton t'aime ça hein petite cochonne" il a la voix plus rauque que tout à l'heure... Mais je sais pas s'il s'attend à ce que je lui réponde je peux pas avec son gros chibre dans la bouche!

Il me pousse carrément la tête maintenant pour que je lui mange la bite jusqu'au fond, et là il s'arrête pendant qu'elle est à l'entrée de ma gorge, je sens qu'elle grossit encore me déformant complètement le visage, et il déverse tout son jus dans mon estomac. J'ai failli m'étouffer mais il se sort à temps et reprenant mes esprits, je remarque que le garçon qui se branlait à effectivement éjaculer dans mon cou et sur mes cheveux... Je suis souillée mais je m'en fiche je suis trop comblée par tout ce sperme sur et dans moi.

Le père me relève et me rend ma culotte et avant de la remettre je vois qu'elle est remplie de sperme, je comprend donc ce que le père était parti faire avant de me lécher et pourquoi il ne bandait plus en revenant. Il me remet aussi le haut de ma robe, j'ai dû mal à réfléchir et à me rendre compte de ce qu'il s'est passé mais on me met tout de même à la porte. Je vous dit pas le regard des gens que j'ai croisé en rentrant chez moi...

Plus tard, après cette aventure, nous continuons à nous écrire et nous exciter sur la webcam. Et par la suite on est allé beaucoup plus loin, nous nous sommes revus tous les quatre, ils m'ont dépucelé, extravertie, aujourd'hui je suis une grosse cochonne et je ne manque pas de partenaires toujours plus nombreux!!

 

 

 

Offrande:

Pourquoi ?

Je veux la donner.

Je ne sais pas ce qui se passe. Je ne sais quel vice me pousse, ni quel désir me taraude si cruellement. Qui pourra me dire ?

Pourtant je l’aime. Je veux l’offrir.

Pourtant je veille sur elle et j’y tiens vraiment. Je veux qu’elle s’offre.

Il m’arrive même d’être jaloux !

Mais en rêve, elle m’a trompé plus d’une fois et cela me plaît. Cela m’excite, ça me fait bander et même… jouir.

Je lui ai dit et elle a aimé. Ça l’a excitée et même… fait jouir.

Je lui ai raconté dans le détail la vision terrible qui m’assaillait régulièrement.

Nous étions assis face à face au salon et je lui confiais la torture que m’infligeait un esprit fertile. Elle m’écoutait attentivement, surprise de cette
confession presque coupable.

Je lui racontais comment nous nous retrouvions, seul couple, dans une soirée qui se déroulait dans une demeure au fond d’un bois. Je lui disais combien les regards des hommes présents n’exprimaient que du désir. Un désir sexuel. Des fauves devant une antilope ! Quant à moi, j’étais comme invisible. J’étais là, mais personne ne me remarquait. Les hommes osaient tous les mots, tous les regards alors que j’étais là.

Je lui dis que cette situation m’irritait. Elle rit à gorge déployée aux propos d’un éphèbe blond dont la chemise blanche ouverte, sous une veste de smoking noire, laissait voir un torse lisse.

Je lui répétai mon irritation. Elle me tourna le dos et une main se posa sur ses reins. J’entendis son rire. Les hommes l’entouraient, me repoussant loin d’elle.

Je voulus l’attraper par l’épaule, mes doigts effleurèrent à peine sa peau. Une main fit glisser la bretelle de sa longue robe de soirée.

Je voulus fondre vers elle, repousser l’intrus, mais j’en fus incapable. Je me sentis flotter. J’avais la fièvre. Une bouche se posa dans son cou. Elle aime ça, je le sais ! Elle laissa sa tête tomber en arrière, offrant sa gorge.

La nuée de mâles me la cachait. J’entendis son rire sonore, et des « oh », des « ah » de contentement. La grappe bougea.

Là, sur le parquet ciré. Sa robe !

Je vis à son regard, que cette image l’avait émue. Elle sourit à l’idée de se retrouver nue au milieu d’un groupe.

Elle était entourée de cette nuée. Entre les dos des costumes sombres, je voyais son corps nu, perché sur des hauts talons. Ses belles fesses ondulaient, une main les flatta.

Je lui dis combien cette vision me faisait bander. Oui, j’étais excité.
Paralysé mais bandé !

La musique s’éleva. Une valse ! Le cercle s’écarta et je la vis, collée à un brun ténébreux, se mettre à danser. Le cercle de mâles fermait la piste de danse. L’homme, une main posée au creux de ses reins, l’attirait vers lui, collant ses seins contre son torse nu. À chaque rotation, la main descendait. Sur la fesse. Il lui murmurait des choses, elle riait. Elle s’écarta de lui à la fin de la danse, ses tétons étaient durs, pointés.

Un homme lui tendit une coupe de champagne. Il ne portait plus rien. Elle le remercia d’un regard appuyé et contempla le corps d’athlète. Des pectoraux puissants, un ventre sculpté.

Un pubis lisse. Une queue raide, proportionnée, un gland bien renflé.

Elle aima ma description de l’organe car elle ferma les yeux et me dit de continuer. Elle avait passé une main, sous sa jupe, entre ses cuisses, et de mon fauteuil, je vis qu’elle massait doucement son entrejambe.

L’homme lui prit la coupe vide et la jeta loin. Il l’enlaça et au son d’une nouvelle valse, ils se lancèrent dans une ronde infernale. L’homme plaquait son bas-ventre et cette queue contre elle. Elle le regardait avec envie. Elle ne faisait rien pour échapper aux attouchements de cette virilité tendue. La valse s’acheva et les corps se séparèrent. L’homme bandait encore plus.

Alors qu’un autre cavalier la retournait pour l’enlacer, le danseur nu, se plaqua contre elle, contre son dos. Il embrassa son épaule. Je vis les deux mains venir se poser sur ses seins généreux aux tétons encore saisis de plaisir. Le sexe triomphant se plaqua contre les fesses.

Elle laissa sa tête retomber contre l’épaule de son dernier cavalier. Le nouveau venu observa l’étreinte, avec un sourire de carnassier, une lueur
vicieuse dans les yeux.

Sous la jupe, les doigts écartèrent le triangle de dentelle. Stimulé par le récit et par le plaisir qu’elle semblait y prendre, je défis ma braguette et
extirpait difficilement ma hampe raidie.

Le danseur regarda les seins que pétrissaient les mains. Il regarda la bouche entrouverte, les yeux brillants. Il s’approcha. Sentant ce contact, elle lança ses mains vers la fermeture du pantalon de smoking et, fiévreusement, la défit. Quand sa main disparut dans le pantalon, je voulus m’élancer. J’étais sans force et ce que je voyais me captivait. Vice et morale se livraient une bataille féroce. Le vice semblait avoir l’avantage car ma queue tendue était sensible au frottement de mon vêtement. Je me sentais excité.

Elle ressortit sa main tenant une nouvelle hampe. Elle l’attira contre son ventre. Les deux hommes se pressaient contre elle. L’homme face à elle se débarrassa de ses derniers vêtements. Le trio, ivre de désir, se déplaça sans se désunir vers le buffet. Ils la couvraient de baisers passionnés, la palpaient, elle se laissait faire, elle aimait ça. Elle me regarda et me sourit pendant que les deux hommes la couchaient sur la nappe blanche. Sa tête pendait dans le vide.

Son autre main passa sous son corsage et je la vis, sous le tissu, se saisir d’un sein. Les yeux toujours clos, elle avait un sourire qui me donnait envie de tout lui révéler. Elle écarta largement les cuisses et me dit de poursuivre.

L’un des danseurs se mit debout en face d’elle. Sans ménagement, il écarta ses cuisses. L’autre, allongé à côté d’elle, le sexe tendu sur son ventre, lui caressait les seins en lui murmurant des mots à l’oreille. Elle ondulait sur la nappe et ne fit rien pour refermer le compas de ses jambes. Les convives, alléchés par le plat, formèrent un nouveau cercle coupé par la table. À sa tête, je vis surgir des pantalons des sexes tendus pour un hommage à son corps. À quelques centimètres de son visage, les hommes distingués exhibaient leurs virilités triomphantes et conquérantes. Elle les regardait. L’homme aspira un téton, elle se cambra. Le second se pencha pour poser sa langue en haut de sa
fente dévastée par le désir. Je vis parfaitement combien son corps aimait la situation. Sa source trempait son sexe. Sa main libre appuya sur la
tête.

Elle glissa un doigt en elle et se mordit la lèvre. Elle eut un spasme. Elle voyait tout. Elle s’y voyait. Je massais doucement mon sexe dont le gland luisait.

Un gland se posa contre sa joue. Je vis parfaitement son mouvement. Elle tourna la tête, bouche ouverte pour attraper cette queue sans visage. Ce n’était qu’une queue parmi tant d’autres qui se tendait vers elle. Elle l’avala à moitié. À genoux devant son ventre, les mains soudées à ses hanches, l’homme donnait des coups de langue entre ses lèvres détendues, qui avaient renoncé à la fermer. Ses bras se lancèrent dans la grappe de corps et elle se saisit des queues qu’elle trouva.

L’homme couché sur la table lui léchait les seins, aspirait ses tétons. Sa main retenait une cuisse pour l’ouvrir totalement. La bite allait et venait dans sa bouche. Ses deux mains masturbaient deux autres sexes. Je l’entendais gémir, je la voyais offerte, agitée de spasmes de plaisir.

L’homme agenouillé se releva. Il approcha son gland de son sexe. Il le posa entre les lèvres et tout doucement, avança. Je ne sais comment, je vis en gros plan, le fruit rouge ouvrir la chatte trempée et disparaître, se faire happer. La hampe disparut à la suite. Son cri fut étouffé par une nouvelle queue qui prit possession de sa bouche. Elle suçait avec passion. L’homme qui la baisait était planté tout au fond de son ventre. Alors, il commença à aller et venir en elle.

Elle dut sucer avec talent car soudain, je vis un jet de semence atterrir sur ses seins.

À l’évocation de cette éjaculation, elle glissa un deuxième doigt en elle. Elle ouvrit fiévreusement son corsage pour me dévoiler le sein dont elle pinçait le téton. Je lui dis que j’aimais la voir jouir, s’offrir comme une chienne. Elle eut un sursaut. Allait-elle jouir ?

Allais-je jouir aussi ?

La queue jouisseuse fut vite remplacée par une autre. L’homme donnait des coups de reins de plus en plus violents, regardant son sexe perforer le ventre offert. Et soudain, il se cambra toujours planté en elle, j’assistai à son orgasme. Il était en train de se répandre dans le ventre aimé. Il souillait de son plaisir, le corps de ma femme et j’aimais ça. Je voulais voir ! J’en voulais encore ! Encore un, vite ! Mes vœux vicieux furent exaucés car un nouvel amant vint prendre possession de son sexe. L’homme, au départ allongé sur la table, était maintenant à genoux. Aux premières loges, il assistait à l’orgie. Il se caressait. C’était ma place, j’aurais dû être là. Ivre d’un désir sauvage, je franchis le cordon d’invités et me retrouvais à sa place.

En suçant une nouvelle queue, elle plongea son regard dans le mien. Elle me vit caresser mon sexe, trahissant ainsi mon excitation.

Je regardai longuement la bite glisser en elle puis reportai mon attention sur sa langue qui lapait un gland turgescent et coulant.

Un jet de semence jaillit et tapissa ses lèvres. Gardant ses yeux fixés sur moi, elle passa sa langue sur ses lèvres et avala le plaisir d’un inconnu.
J’entendis un grognement. L’homme qui la baisait était sorti du ventre et faisait coulisser sa hampe entre les lèvres gluantes. Il jouit abondamment sur son ventre.

Elle commençait à onduler dans le fauteuil. Je savais que l’évocation de ces amants multiples, sans visage la rendait folle de désir. Mes doigts s’étaient enroulés autour de ma queue et la massait sur toute la longueur. J’étais en feu !

— Je veux te voir baiser, dis-je plus fort.

— Oui, je le veux aussi, murmura-t-elle.

Son poignet cassé entre ses cuisses témoignait de la profondeur de sa caresse. L’autre main avait abandonné le sein et le majeur tournait sur le
clitoris. Elle allait jouir de mes mots.

Je jouis de son aveu ! Je me répandis en flots abondants de semence qui glissa sur mes doigts crispés sur mon gland.

Elle gémit et resta immobile, pâmée dans un orgasme énorme.

— Encore… me souffla-t-elle.

 

 

Vacances Corse:

 

Je suis arrivée quelque peu fatigué samedi soir à Annecy chez des amis. Je reste chez eux jusqu'à Jeudi avant de prendre le bateau pour Ajaccio.

Ils m'ont accueillis à bras ouverts et ont invités un couple  de leurs amis dont un joli mec célibataire.

Mes amis Alain et Michèle sont un couple de la trentaine très coquin et il faut dire que nous nous sommes bien amusés déjà ensemble. Leurs amis Bernard et Jacqueline, lui plus vieux semble-t-il, portent la quarantaine largement. Quant au célibataire Alex, c’est beau grand et élégant mec qui me fait craquer au premier regard. Quoi qu'il en soit, ils me donnent ma chambre et me disent de me mettre à l'aise et de prendre une douche avant de les rejoindre au salon pour l'apéro.

Je déballe donc mes affaires et je vais prendre ma douche sans prendre la précaution de fermer la porte de la salle de bain. Je chantonne sous la douche tout en me savonnant et je me détends de ma longue route.  Je n’avais pas remarqué qu’Alex m'observait sans bruit. Me retournant, je sursaute en le voyant et essaye de dissimuler maladroitement mon intimité.

Lui, tout sourire de me voir ainsi gênée:

- Ne te soucis pas de moi continue de te savonner. Je peux même t'aider.

Sans attendre ma réponse, joignant le geste à la parole, il se met nu, entre dans la douche et se collant à moi, il se met à me savonner en insistant évidemment aux bons endroits.

Je reste figée ne sachant comment réagir. Les caresses sont agréables et je suis troublée. Je ne sais, si je dois m'offusquer ou me laisser faire quitte à passer pour une fille facile. Le sentir dure dans mon dos me fait défaillir. Presque instinctivement, je lui saisis sa queue bien dure et épaisse et commence à le masturber. Il en profite pour rentrer ses doigts dans mon minou trempé me faisant lâcher un soupir.

Je n'y tiens plus, je me retourne, m'agenouille et entreprend une fellation gourmande qu'il accompagne en me tenant la tête.

Là il se met à me traiter de bonne suceuse, de salope et autres noms qui me font un effet d'enfer. Nous étions totalement pris dans nos ébats et ne nous étions pas aperçus que les autres intrigués par notre absence prolongée nous observaient avec bonheur. Il se lâcha rapidement dans ma bouche et je le nettoyais avec délectation mais sans avoir jouie.

Là j'entendis des rires:

- He bien je vois que vous avez fait connaissance. Tu ne perds pas de temps Maryaline.

Alain voulu me sécher et me dis:

- Ne te rhabille pas, je pense que cette tenue te conviendra mieux pour la fin de la soirée.

Arrivée dans le salon, nous entamâmes une gigantesque partouze.

Je fût prise partout les trous. Je suçais des clitos, des bites; une orgie totale vraiment extra où j'ai jouie comme une damnée.

Après une bonne douche réparatrice,  je suis allée me coucher et me suis endormie comme une masse en me disant que mes cinq jours à Annecy commençaient fort.

 

 

Vacances corse 2:

Après le petit déjeuné, Alain a prévu une ballade dans le vieux Annecy.
Cette vieille ville pleine de charme avec ce lac magique et ces montagnes qui le surplombent m’enchante.
Michèle et Jacqueline se trainent à la maison et Alex dort encore. 
C’est avec Alain et Bernard que je pars en balade.
Avant de partir, Alain me glisse à l’oreille :
« J’espère que tu n’a rien mis sous ta robe ! »
Je rougie et je lui bredouille :
« Heu j’ai un string et un soutif »
Il me regarde d’un air faussement contrarié accompagné d’une tape aux fesses :
« Enlève-moi çà tout de suite coquine ! »
Sans mot dire je m’exécute devant lui et Bernard qui n’en perd pas une miette.
Nous voilà parti moi nue sous ma robe légère avec ces deux mecs aux hormones en ébullitions de ce temps radieux et chaud.
Nous déambulons dans les ruelles de la vieille ville et de temps à autres Bernard ou Alain glisse une main furtive sous ma robe.
Tout  ceci me met en émoi et je mouille comme pas possible.
Dans une minuscule ruelle, alors que nous passons près d’une porte cochère ouverte, Alain me pousse et promptement me retrousse sort sa queue et m’embroche sans un mot. 
Bernard nous regarde tout en faisant le gué.
Je suis si excitée que cette situation originale et ses coups de boutoirs me font jouir.
Alain se lâche rapidement dans ma chatte me laissant les jambes flageolante par cet assaut.
Toujours sans un mot Bernard prend place en m’appuyant sur les épaules, il me met à genoux en me présentant sa queue devant la bouche.
Alain a pris le relais au gué.
Je me mets à le sucer avec tout l’art que je peux y mettre. J’arrive ainsi à le faire jouir et c’est un bonheur en l’entendant geindre de plaisir de sentir de long jet chaud m’inonder la gorge. J’avale tout avec bonheur et lui nettoyé çà queue.
Les jambes encore en coton, nous reprenons notre promenade. 
Je suis gênée car je sens le sperme d’Alain couler de ma chatte. 
J’ai le goût du sperme de Bernard dans la bouche.
Alain nous propose :
« Si on se payait une bière ? En plus notre jeune salope pourra se rincer la gorge et se sécher la chatte »
A ces mots crus, je rougie.
Mais J’étais bien contente de cette initiative surtout que le sperme commence à me couler sur les cuisses.
Après cette pause nous rentrons rejoindre les filles qui nous attendent pour le repas du midi.

 

 

 Vacances Corse 3:

Mes frasques à Annecy continue avec cette bande de vicieux. Après ne bonne raclette préparée par les filles, nous sommes allée faire un tour de bateau sur le lac. Un lieu vraiment enchanteur et propice à l'évasion et aux fantasmes. Arrivés au milieu du lac, malgré une eau encore fraîche, nous nous sommes baignés. En fait elle était assez froide et nous ne sommes pas restés longtemps dans l'eau. Frigorifiés nous sommes remontés sur le bateau et nous nous sommes frictionné mutuellement avec les serviettes. Ce qui devait arriver arrivant évidemment avec de tels pervers. Les maillots sont vîtes tombés et les mains et les langues ont remplacé les serviettes.

Bernard  me dit:

"Je t'ai pas encore pris le cul ma petite cochonne"

Il me met à 4 pattes et commence tout en me titillant le clito à me cracher sur le petit trou et à me faire un merveilleux cunilingus.

Pendant ce temps Jacqueline suçait Alain.

 Michèle qui se caressait la chatte me la présenta devant la bouche.

Je ne pût m'empêcher de la dévorer goulument, mordillant sont clito dressé, fourrant ma langue dans son con gluant de mouille. J'étais tellement excite et prise par mon gouinage de chatte que je me suis pas rendue compte que la grosse queue de Bernard commençait à forcer mon cul. C'est quand il a poussé pour me pénétrer que j'ai poussé un cri. Même bien préparée il était gros le salop.

"Tient prend çà dans ton cul de salope! Tu la sens bien ma grosse queue putain ?"

Ces mots bien qu'injurieux me faisaient défaillir.

"Ouiiii Bernard oui je la sens bien"

Michèle se plaça en 69 et me fît un cuni magistral alors que Bernard me labourait le cul maintenant avec ardeur. Je plongeais bouche et langue dans la chatte de Michèle. Alain prenait devant mes yeux Jacqueline en levrette. Sur le bateau ce n'était que gémissement de plaisir et cris d'extase.

Alain se lâcha le premier sur le dos de Jacqueline. Mais comme elle n'avait pas encore jouie, il se mit à lui bouffer la chatte.

 Au moment où elle hurlât son orgasme, Bernard se retirât de mon cul et se vidât dans la bouche Michèle qui eut en même temps sa jouissance entraînant la mienne d'un hurlement de chienne blessée. Nous nous sommes tous écroulés avec des sourires béats de contentement.

Après nous être nettoyé et rhabillé nous sommes rentrés et avons pris une douche commune en nous savonnant mutuellement mais juste sensuellement. Nous avons terminé cette soirée au restaurant sur la libellule sur le lac.

Plus qu'une journée à Annecy avant réenfourcher la moto pour descendre à Toulon prendre le bateau pour la Corse où d'autres aventures m'attendent certainement sur l'ile de beauté.

 

 

Les collègues de mon mari:

Proche de la quarantaine, moi 38 ans et mon mari Pierre 39, j'aime sentir le regard des autres hommes se porter sur moi. Je suis un peu exhibitionniste et mon mari aime me montrer. Ce petit penchant réciproque provoque parfois quelques aventures.

Un soir en rentrant du travail, Pierre m'annonce que nous sommes invités le samedi soir chez des collègues à lui, Daniel et Caroline, qui travaillent dans le service commercial. Généralement, je n'aime pas ce type de soirée où je ne connais personne et que lorsque la conversation déborde immanquablement sur le travail, je n'ai plus qu'à écouter et rester dans mon coin. Néanmoins, cette fois là, j'ai accepté. Pierre m'avait déjà parlé d'eux et cela faisait plusieurs fois, qu'il m'avait dit qu'on devrait passer une soirée ensemble lorsque nous serions sans les enfants. Je savais, parce qu'il me l'avait avoué, que Pierre trouvait Caroline très mignonne et sexy, mais je ne savais pas qu'il avait montré des photos de moi à Daniel et que je ne l'avais pas laissé indifférent. Pierre m'avait seulement dit qu'il souhaitait que je mette une tenue très sexy.

Le samedi, peu avant de partir, je vois les yeux de Pierre briller lorsqu'il me découvre en veste noire, satinée, sur une minijupe rouge très courte et très moulante. Par le décolleté de ma veste, on pouvait facilement deviner que je ne portais pas de soutien gorge, mais un chemisier en tulle transparent noir. Comme à son habitude très coquine, il m'embrasse dans le cou tout en faisant glisser sa main sur le bas de mes reins, pour sentir au travers de ma minijupe mes bas noir et mon string.

- Hum... que tu es ravissante, ce soir Cécile ! 
- C'est pour que tu n'es pas que des regards pour Caroline, vu ce que tu m'as avoué !

Nous arrivons assez rapidement chez eux. Ils habitent une belle maison, au fond d'un parc. Daniel et Caroline sont là, à nous attendre sur le perron, ayant entendu notre voiture arriver. C'est un bel homme entre 35 et 40 ans, d'allure sportive. Je remarque immédiatement son pantalon en cuir noir qui le moule parfaitement. Caroline doit avoir à peine 30 ans. Elle est en effet très mignonne et très sexy. Elle porte une mini robe en dentelle noire, moulante et suffisamment transparente pour laisser deviner ses bas et son string noir. Elle aussi avait décidé de ne pas mettre de soutien gorge.

- Entrez, faites comme chez vous, mettez vous a l'aise. Tu es très ravissante Cécile, je dirais même excitante.

Le commentaire de Daniel m'a fait un peu rougir, mais le tutoiement utilisé à mon égard me mettait en confiance et me prouvait que j'étais d'ors et déjà acceptée.

- Oh merci Daniel ! C'est toujours agréable les compliments d'un homme.

Nous nous installons au salon pour prendre un apéritif. Je suis assise à cote de Pierre sur une banquette profonde, les jambes croisées. Daniel et Caroline sont en face dans des fauteuils. La conversion s'engage, comme je m'y attendais, sur leur travail. Mais tous les trois me racontent à tour de rôle des anecdotes, relatives à la société et à leurs collègues, et non comme je le craignais des discutions sérieuses et rébarbatives sur les affaires en cours. Les anecdotes racontées deviennent de plus en plus coquines et notre bavardage commence délicieusement à me troubler et même à m'exciter. Puis la conversation s'engage sur la différence de tenue portée par le personnel féminin suivant les services de la société. Daniel explique alors qu'il trouve l'habillement des femmes du service commercial beaucoup plus agréable à regarder et prends alors Caroline pour exemple :

- Moi j'aime quand Caroline s'habille très sexy, les cuisses dévoilées par sa minijupe, les fesses bien moulées. Ca m'excite beaucoup de voir le regard des clients se porter sur elle. Et je pense que ce type de tenue excite aussi Pierre, vu tes vêtements sexy, Cécile. D'ailleurs bravo, tu es vraiment très attirante - Oh Daniel ! Tu vas me faire rougir.

L'ambiance et le champagne qui a toujours tendance à me faire de l'effet, font que la remarque de Daniel transforme mon trouble en un émoi véritable. Ressentant mon état d'excitation, Pierre lui précise alors qu'il n'a encore rien vu. Il me fait retirer ma veste, et Daniel découvre mon chemisier noir qui ne cache rien de mes seins tendus d'excitation, les pointes dressées sous le tulle transparent.

- Houa ! Super Cécile, et pas de soutien gorge, j'adore. Si Pierre n'était pas la, je te sauterai dessus, la tout de suite.

Ce dernier commentaire a lancé en moi comme une poussée d'adrénaline. Je sentais qu'il suffisait d'un rien pour que cette soirée bascule vers une rencontre que je qualifierai de plus intime. Et comme poussée par une pulsion incontrôlable, je lui précise :

- Pierre aime que j'aie les seins libres et... provoquant. Et moi j'aime ton pantalon. Le cuir, son toucher, son odeur, ça m'excite les sens.

Je lui ai alors avoué que depuis le début de la soirée, je ne pouvais m'empêcher de le regarder discrètement lui et plus particulièrement son pantalon. Et que depuis dix minutes, je n'arrivai pas a détacher mes yeux de son entrejambe où je voyais le cuir se gonfler au niveau de sa braguette. Caroline, prenant la balle au bond, me précise alors que c'est un cuir très souple et vu que Daniel ne porte pas de slip, il se déforme complètement quand il est excité et que c'est ce qui se passe en ce moment vu l'effet que je dois lui faire.

L'atmosphère devient extrêmement électrique, Pierre et Daniel commencent à bander comme des taureaux. On voit les pointes des seins de Caroline traverser la dentelle de sa mini robe moulante et moi j'ai la chatte qui s'humidifie. Il suffirait d'un geste, pour que tout bascule.

Caroline étant penchée pour nous resservir, Daniel lui demande si elle est excitée et il tend sa main vers elle. Et en la remontant sous sa robe, il lui caresse l'intérieur des cuisses et les fesses. Pierre me fait alors remarquer que Caroline se laisse faire et même écarte plus les jambes pour faciliter la progression de la main de Daniel. Et tout en commentant la scène qui se déroule sous nos yeux, il pose alors une main sur ma cuisse et remonte ma minijupe jusqu'en haut de la limite de mes bas, sous le regard, intéressé, de Daniel.

- Dis Pierre, elle a vraiment de jolies cuisses Cécile. Caroline ! Relève un peu plus ta robe et montre les tiennes à Pierre et Cécile.

Pierre très excité aussi, m'embrasse dans le cou et me demande si je trouve Caroline sexy. Complètement allumée, je réponds que oui. Caroline s'approche et se met debout devant moi. Son ventre est juste sous mes yeux et je ne peux pas détacher mon regard, de son string rentrant dans sa fente complètement trempée. Daniel se lève et, par derrière, retrousse sa mini robe jusqu'aux hanches. Il lui caresse ses fesses et glisse la main le long de sa raie, accentuant la pénétration du string dans sa chatte. Je sens alors confusément ce qu'ils veulent. Pierre pour m'encourager me retrousse ma minijupe et pose sa main sur mon string. Les pointes de mes seins me font mal tellement elles sont dressées de désir. Elles tendent à l'extrême mon chemisier en tulle.

Timidement d'abord, puis plus franchement je pose une main sur le string de Caroline. Je la caresse au travers puis, je l'écarte pour atteindre son clitoris et enfoncer deux doigts dans sa chatte trempée. Caroline gémit sous mes caresses. Mais comme dans un jeu pervers, Daniel rappelle Caroline pour qu'elle s'assoie à côté de lui sur l'accoudoir du fauteuil. Je comprends alors que Pierre et lui, maîtres du jeu, voulaient que l'excitation monte de plus en plus jusqu'à ce que nous ne puissions plus se contrôler et que nous laissions derrière nous tous nos tabous. Pierre m'écarte alors complètement les cuisses pour que je m'offre totalement au regard de Daniel. Mon string ne pouvait cacher l'état plus qu'avancé de mon excitation et de mes envies.

- Qu'il est joli ce string, Cécile, mais je suis sur, au vu de son humidité, qu'en dessous c'est encore plus beau

Pendant que Daniel parlait, Caroline lui caressait la bite au travers de son pantalon tout en regardant Pierre d'un regard gourmand. Ne pouvant plus tenir, je glisse ma main entre mes cuisses et tout en écartant mon string, je me mets à me caresser franchement le clitoris. Et je crois qu'involontairement, j'ai lancé le signal que tout le monde attendait. Immédiatement, Caroline se lève et vient se mettre à genoux devant Pierre. Elle lui ouvre sa braguette et enfourne la queue de mon mari dans sa bouche gourmande. Daniel, lui, vient se mettre debout devant moi. Mon regard est braqué sur son entrejambe, son pantalon de cuir qui m'excite. Je pose la main sur sa braguette, je la vois gonfler et durcir sous mes caresses. Elle grossit. J'approche mon visage pour mieux sentir le cuir, je lui lèche la bite au travers de son pantalon, je la devine très grosse, énorme. Oh sa bite m'affole ! J'ouvre alors la fermeture éclair et elle jaillit sous mes yeux. Je la prends en bouche, je la suce, je lui caresse les couilles, oui c'est bon.

Caroline pendant ce temps, s'est empalée sur Pierre, elle hurle de plaisir. De les voir et les entendre, je deviens folle de désir. J'ai besoin moi aussi d'une belle grosse queue entre mes cuisses. J'implore Daniel de me prendre.

- Oh oui... Daniel ! Prends-moi, oui, j'ai la chatte en feu. - Hum... oui Cécile ! Retourne-toi, présente-moi ton cul. Ce cul que je rêve de baiser, depuis que Pierre m'a montré des photos de toi. Tends le vers moi - Oui... Daniel oui... Oh tu me défonces ! Oui c'est bon, oui... Je vais jouir...

Et une jouissance extrême déferla en moi, quant à l'unisson de nos cris, Daniel gicla en moi et que je vis le sperme de Pierre se répandre sur les fesses de Caroline prise à plat ventre sur la table du salon.

Comme prévu, ceci ne fut que l'apéritif. Après avoir repris des forces en mangeant, la soirée continua...

En rentrant chez nous, Pierre m'avoua que tous les trois, ils avaient prémédité ça depuis plusieurs semaines. En effet, Pierre avait très envie de coucher avec Caroline qui n'arrêtait pas depuis longtemps de l'aguicher. Mais ne voulant pas le faire dans mon dos et par soucis d'égalité, il voulait en même temps m'offrir à Daniel.

Et maintenant, je suis moins opposée à ce que Pierre me fasse rencontrer certains de ces collègues de travail...  

Six hommes:

Je sais de lui qu'il aime dominer, qu'il aime le bondage et la pluralité. Ces trois ingrédients me conviennent, j'accepte le rendez-vous qu'il me donne dans un bar. Il est vingt trois heures quand nous nous retrouvons dans un petit café discret non loin de chez lui. Quand j'entre dans l'établissement, deux hommes sont accoudés au bar et deux autres attablés jouent aux cartes. Un cinquième, le tenancier s'affaire derrière son comptoir. Tous les regards se tournent vers moi. C'est l'été, je porte une jupe courte, un simple bustier et des escarpins à talons hauts. Dans le fond du bar, j’aperçois un homme qui me fait signe de venir le rejoindre. Je m'avance tête baissée et toujours sous les regards. Arrivée à sa hauteur, le plaisir qu'il va prendre à me dominer toute la soirée se lit sur son visage et d'emblée, il me signifie que ma façon timorée de traverser le café ne lui convient pas.

"Recommence, retourne à la porte d'entrée et vient me rejoindre en balançant ton cul, en relevant la tête et la poitrine. Regarde chaque homme que tu vas croiser dans les yeux, passe ta langue sur tes lèvres, soit provocante, soit bandante."

Je lui obéis et sur le chemin qui me ramène au point de départ, j'hésite entre fuir ou rester. Le ton est donné, je devine ce que la soirée me réserve. La main sur la poignée de la porte je me surprends à faire demi tour et retraverse la salle lentement en me redressant, en regardant chaque homme dans les yeux la langue voyageant tantôt sur ma lèvre supérieure, tantôt sur ma lèvre inférieure. Mes seins pointes et mon état se devine à travers ma blouse. Je cambre mon dos pour mettre mon derrière que je balance allègrement en évidence. Je les devine excités, je les espère en érection.

 

Revenue à la hauteur de l'homme avec qui j'ai rendez-vous, il m'invite à m’assoir à ses côtés et me félicite pour ma deuxième entrée. " C'est très bien, continue à m'obéir comme ça toute la soirée et tu seras une bonne petite chienne" Au moment où je veux lui répondre, il me coupe la parole et me signifie que les seuls mots que je serai autorisée à dire à partir de ce moment seront sexuels, que les seuls sons que j'émettrai seront le fruit de ma jouissance. Je suis à la fois terrifiée et très excitée.
C'est alors que j’aperçois le patron du bar descendre le volet et pendre l'écriteau "Fermé" sur sa porte. Me voilà seule, dans un petit café en compagnie de six hommes que je ne connais pas.
Mon compagnon se lève et m'ordonne de le suivre à l'arrière du café dans une petite pièce où se trouve un vieux divan, dont les coussins du dossier sont inexistants et laissent apparaître des barreaux de bois, et une table. Il m'ordonne de m’assoir sur les trois coussins restant et m'attache les mains avec des cordelettes qu'il sort de sa poche. Toujours en silence, il descend le haut de mon bustier sous mes seins devenus encore plus durs.

"Soulève ton cul, cette jupe me gène, ensuite écarte bien les jambes."

Il recule alors la table et muni de deux cordes plus longues y attache mes pieds toujours chaussés de mes escarpins. La paire de ciseaux qu'il sort alors d'un tiroir me fait frissonner de la tête aux pieds. Je décèle dans son regard une grande jouissance face à ma terreur.

"Venez mes amis, elle est prête".


Les cinq hommes impatients de découvrir le spectacle entrent les uns après les autres dans ce réduit où l'air commence à manquer. Ils s'alignent face à moi, deux d'entre eux ont déjà la main dans leur pantalon et se caressent. Mon bourreau prend alors la paire de ciseaux, se rapproche de moi, tire sur la ficelle de mon string, l'entaille à gauche puis à droite, tire vers l'avant et me libère complètement du petit bout de tissus qui cachait encore ma chatte déjà très humide. " Je déclare la séance de baise ouverte. Cette bouche, ces mains, ces seins, cette chatte et ce cul sont à vous... Sont à nous ". Il se penche alors vers moi et me dit

" Tu vas jouir petite salope comme tu n'as jamais jouis ! Six belles queues rien que pour toi ! Demande nous de te baiser, supplie nous, tout de suite. "

Les mots sortent facilement de ma bouche,

" S'il vous plaît, baisez moi, je veux vos queues partout, je les veux toutes en même temps, dans mes mains, dans ma bouche, sur mes seins, dans ma chatte, dans mon cul, faites moi jouir, faites moi hurler, baisez moi fort, baisez moi bien, je suis toute à vous."


A peine ai-je fini de les supplier que toutes les queues sont sorties de leur slip, toutes plus belles les unes que les autres, toutes plus raides les unes que les autres.

"Regarde ce que tu provoques petite nympho, ouvre bien la bouche."


Et c'est les bras et les jambes écartelés que je reçois tour à tour ces queues dans ma bouche. Les va-et-vient profonds me donnent parfois des haut le coeur et mes mâchoires sont douloureuses mais j'aime ce goût en bouche et voir ces hommes se tortiller de plaisir m'excite encore plus. On libère mes mains pour que je puisse à la fois sucer et branler. Je soulève le derrière pour signifier que ma chatte est prête et aimerais qu'on la caresse, qu'on la lèche, qu'on la pénètre. "Non chérie, ta chatte attendra, c'est ta pénitence. Tu vas d'abord nous faire tous jouir, ensuite si tu as bien accompli ta tâche on s'occupera d'elle". Et c'est parfois deux queues dans la bouche que je continue à les sucer et à les branler les uns après les autres. La pluie de sperme ne tarde pas à abattre sur mon visage et mes seins et c'est dans cette petite pièce qui sent de plus en plus le sexe que résonne le cri orgasmique de mes six mâles. 
Ils retournent tous dans le café, le sexe à l'air, me laissant seule le corps dégoulinant de sperme les jambes toujours écartées. L'un d'eux reviens toujours nu quelques minutes plus tard m'apporter un verre d'eau et un grand verre de vin.

"Prends des forces, tu vas en avoir besoin !" Et avant de retourner rejoindre ses copains, passe sa main sur ma chatte mouillée. " On reviens vite te baiser belle salope, tu as les mains libres, caresse toi pour accueillir nos queues".

Je devine chez lui une nouvelle érection et avant qu'il n'ai quitté la pièce, j'ai déjà les doigt sur mon sexe prêt à les recevoir. Après un quart d'heure d'attente, de masturbation et de désirs, la porte s'ouvre... Ils reviennent précédés de mon bourreau sexuel. 
Il reprend la paire de ciseaux, défait les liens qui entravent encore mes pieds, m'ordonne de me lever et de me coucher sur la table devant laquelle il installe une chaise où ses copains vont pouvoir tour à tour s’assoir et lécher ma chatte. C'est donc langues après langues, doigts après doigts que je jouis à maintes reprises jusqu'à ce que je sente la première queue, celle du meneur, s’introduire en moi violement. Ses coups secs font se reculer la table et redoubler mes cris de jouissance.

"Allez y les gars, elle est bonne, elle est chaude et bien mouillée, défoncez là !"

Et pendant que je sens défiler les queues dans mon vagin qui m'arrachent des cris de plaisir à chaque nouvelle pénétration, d'autres se présentent à ma bouche et à mes mains. 
Sans ménagement, le maître de cérémonie me prend et me retourne, le ventre sur la table, les fesses à leur merci. Encore une fois, c'est lui qui mène la danse... 
"Regardez ce beau cul et ce beau petit trou que je vais vous préparer !

Et pendant que tous autour de moi se masturbent, il lubrifie mon anus, y introduit facilement un premier doigt puis un second et en peu de temps arrive à la dilatation souhaitée pour y introduire sa queue. Ses va-et-vient se font de plus en plus rapides et de plus en plus profonds, j'arrive à atteindre mon sexe de ma main, me caresse et jouis doublement. Il ne veut pas jouir tout de suite et se retire pour à nouveau faire honneur à ses amis. Je suis en feu, je hurle de plaisir encore et encore ! Tous veulent enculer la petite salope.
Deux hommes me soulèvent et m'amène comme en offrande au patron qui est retourné s’assoir dans le divan.

"Viens petite chienne, empale toi sur moi tu voulais des queues partout, tes désirs vont êtres exaucés".

Et alors que commence mes va-et-vient sur cette queue qui, je le sens, ne va pas tarder à exploser, d'autres viennent tour à tour s'enfoncer dans mon derrière, dans ma bouche, se présentent à mes mains. Je suis pénétrée, enculée, je suce, je branle... Mes seins sont caressés, malaxés. On me recouche le dos sur la table pour à nouveau recevoir une seconde pluie de sperme dans un orgasme collectif.
Je suis au sommet de l'extase et c'est encore imprégnée de toutes ces queues pour moi seule que je rentre chez moi où je reçois un sms me disant : " Je te déclare ma petite chienne attitrée, tu es très bonne et mon cercle d'amis se fera un immense plaisir de te recevoir à nouveau dans son arrière boutique". Je ne tarderai pas à retourner prendre un verre dans ce café, la tête haute en balançant mon derrière...


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