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Gay

Sommaire:

 

 

Auto-stop:

Je reviens de la côte normande, direction Paris. Je conduis mon coupé-cabriolet Peugeot 204. Il est tard. Il fait encore chaud par cette nuit du mois d’août et mon toit est ouvert. Je roule tranquillement, la tête au vent, un peu triste à l’idée de reprendre le travail demain.
Soudain je vois dans mes phares un auto-stoppeur qui fait de grands signes. Je ralentis et le dépasse. Il s’agit d’un jeune homme, grand, brun, torse nu et en short, muni d’un sac à dos. Il est seul et me voyant ralentir, il court dans ma direction. Je ne sais pas pourquoi je m’arrête, car d’habitude je suis méfiant, surtout la nuit et je passe mon chemin.
Il est à ma portière droite, un peu essoufflé, se penche et me demande : « Vous allez à Paris ? » Il a une figure avenante, des épaules larges, un torse glabre et musclé, des mains longues et fines. Je lui réponds spontanément « Oui, montez ». Il ne se fait pas prier, jette son sac à dos à l’arrière et d’un bond souple pardessus la portière, s’assoit à mes côtés. « Merci Monsieur » me dit-il avec un grand sourire charmeur, dégageant des dents blanches et bien rangées, « cela fait une bonne heure que j’attends et j’ai vu passer beaucoup de voitures qui m’ont ignoré ».
Je repars et en passant mes vitesses, je vois ses cuisses poilues, tout près de ma main droite. Cela éveille en moi d’étranges sensations, que d’ordinaire je m’efforce de refouler au plus vite. Cette fois je ne peux m’empêcher de fixer ces jambes et ce torse nu, tout en bavardant. Mon passager s’appelle Aurélien et il a 23 ans. Il est étudiant en droit et reviens de vacances, car il a un examen de rattrapage en septembre et doit réviser. Cela tombe à pic, car je suis avocat et je donne un enseignement pratique à la Faculté de droit. Nous parlons études, examens, avenir. Il est très détendu, les jambes écartées, le genoux gauche touchant presque mon levier de vitesses, la tête en arrière. Je suis de plus en plus troublé.
Dans un virage, en voulant rétrograder, ma main droite heurte son genoux nu. Le contact de cette peau me fait tressaillir et vite je retire ma main. Décidément ce garçon m’attire. Je suis pourtant hétérosexuel et ce n’est pas à 38 ans que je vais changer mes goûts. Mais Aurélien a senti mon trouble et compris ma réaction car soudain sa main gauche se pose sur ma main droite, l’attire doucement vers lui et la pose sur sa cuisse, tout en la maintenant fermement.
Je suis bouleversé, ma main tremble et je sens mon sexe se tendre dans mon slip. Que m’arrive-t-il ? Est-ce que mon passager serait homosexuel ? Me fait-il des avances ? J’en perds l’usage de la parole et je conduis un moment en silence, dans cette position étrange, le cœur battant la chamade, la chaleur aux couilles. Mon voisin, qui tient toujours ma main sur sa cuisse, la fait remonter lentement vers son entre jambe et me souffle « Allez-y. Vous avez été chic de me prendre avec vous.Je peux vous payer en nature ». Je parviens à libérer ma main en lui disant d’une voix étranglée : « mais je ne suis pas homo, vous savez ». Heureusement que dans la nuit ma rougeur subite ne pouvait être vue. 
« Moi je suis gay » me réplique Aurélien, « et fier de l’être ». Il ajoute encore, l’air étonné en me regardant et en me posant son bras gauche sur les épaules : « Vous n’avez jamais couché avec un garçon ? Beau comme vous êtes, les candidats ne doivent pourtant pas vous manquer dans les amphi. » .« Bien sûr que non » répondis-je à voix basse, « non seulement je n’ai jamais couché avec un homme, mais je n’ai jamais touché un homme, sinon pour lui serrer la main. » C’est alors que sa main droite se porta sur ma braguette et Aurélien senti au travers du tissu que ma verge était en érection. « Pourtant vous en avez envie, comme moi en ce moment » me dit-il en me posant un rapide baiser sur la joue.
Dans mon émotion, je donnais un coup de frein brutal. « Attention » s’exclama-t-il, « vous allez nous envoyer dans le décors. ». Laissant alors mes épaules, je le vis du coin de l’œil défaire sa ceinture de sécurité, desserrer sa ceinture, déboutonner son short, et d’un geste rapide, en se soulevant sur son siège, faire descendre celui-ci jusque sur ses pieds. Il ne portait pas de sous-vêtement et son sexe à demi bandé, sur un pubis bien garni de poils noirs, m’apparut, ainsi qu’un ventre bien plat et musclé. Je détournais les yeux à la hâte, mais sa voix retentit à nouveau, pleine de promesses ; « Vous pouvez regarder et même toucher. Allez-y, n’ayez crainte, nous sommes seuls et il fait nuit ».
Je n’en pouvais plus. Je ne me contrôlais plus. Un chemin apparu à ce moment dans mes phares, sur la droite et brusquement je m’y engageais et arrêtais ma voiture sous un îlot d’arbres. Je détachais à mon tour ma ceinture et me penchant vers mon voisin, je lui pris le sexe à pleines mains. Quelle jouissance de tenir ce membre viril entre mes doigts, tout chaud et palpitant, avec cette peau si douce, ces poils si souples, cette odeur de sueur mâle qui s’en dégageait ! Et ce corps masculin, musclé et gracile à la fois, posé sur mon siège de voiture, entièrement nu et offert à mes désirs les plus secrets, tout cela me rendait fou.
Aussi lorsque Aurélien entreprit de me déshabiller, je n’opposais aucune résistance. Il commença par déboutonner ma chemise, me la retira et la posa sur le siège arrière. Puis il défit ma ceinture de cuir, descendit la fermeture éclair de ma braguette et fit glisser mon pantalon vers mes genoux, découvrant mon slip blanc sous lequel ma verge présentait une barre épaisse et dure. J’étais entièrement passif, haletant, attendant fiévreusement qu’il me mette nu, sans me soucier du lieu et des personnes qui pourraient nous surprendre. Enfin ses deux mains saisirent la ceinture élastique de mon slip et la tirèrent vers le bas, dégageant mon gland, puis ma verge, puis mes bourses. Je poussais un long soupir, comme si j’étais libéré d’un grand poids, le sexe à l’air, en pleine campagne, par une nuit de pleine lune, à côté d’un jeune mec nu et entreprenant.
Se pliant en deux, Aurélien porta ses lèvres sur mon gland et passa sa langue sur le méat, puis il enserra ma verge entre ses lèvres et me la suça avidement, en salivant abondamment.Une onde de plaisir intense monta le long de mon membre, puis s’empara de mon ventre, puis de ma poitrine, avant d’envahir le cerveau. Je n’étais plus que désir, que plaisir, cramponné des deux mains à la tête de cet inconnu, puis lui caressant le dos, les reins et enfin ses fesses légèrement duveteuses.
Cessant soudain cette fellation merveilleuse, Aurélien me dit : « tu aimes mes fesses. Alors viens, descendons de voiture ». Il se redressait, dégageait ses pieds de son short, ouvrait la portière et sortait de la voiture.Son corps était magnifique, debout, au clair de lune. Sans réfléchir, comme attiré par un aimant, j’enlevais complètement mon pantalon et mon slip, les jetant à l’arrière et je le rejoignais. Nous étions tous les deux debout, l’un en face de l’autre, nos sexes également dressés, dans la clarté blafarde de la lune et subitement nous nous sommes étreints, nous pétrissant réciproquement les fesses et nous donnant un long baiser sur la bouche, continué par une pénétration de nos langues.
Je sentais mon sexe pressé contre le sien et une douce chaleur m’envahissait peu à peu. Alors qu’Aurélien s’écartait un peu de moi et commençait à masturber délicatement nos deux sexes accolés, la lueur de phares et un bruit de moteur vint nous prévenir de l’arrivée d’un véhicule sur notre chemin. « Vite, dans ma voiture » criais-je, affolé, en me jetant littéralement sur mon siège et en mettant le moteur en route. Aurélien me rejoignit d’un bond et je démarrais, tout en manoeuvrant le toit de la Peugeot, pour le refermer. Il était temps ! Encore un peu et nous étions surpris dans le plus simple appareil, en pleine nature.
Alors que j’essayais de distancer l’autre voiture, Aurélien entreprenait de me branler, me faisant rapidement bander de nouveau. Crispé sur le volant, je murmurais : « Arrête. Tu es fou. » Dans un éclat de rire, il me répondit : »Non, je ne suis pas fou, excité seulement et j’ai envie de te posséder ». Sur ces mots, il se courba vers mon ventre et se remit à me sucer le sexe avec une sorte d’avidité. Je sentais la jouissance monter en moi mais à cet instant la voiture qui nous suivait et nous avait presque rejoint, fit des éclats de phares. Mon bel auto stoppeur se redressa et me dit d’accélérer pour les semer.
Pendant 10 minutes, nous avons tressauté sur ce mauvais chemin, toujours suivis, avant de déboucher à nouveau sur une route. Au hasard, je m’y engageais vers la gauche. Nous fûmes soulagés de voir que notre suiveur prenait la destination inverse. Je ralentissais et, caressant de la main droite la cuisse, le ventre et le sexe de mon voisin, je lui proposais de passer la nuit ensemble dans un motel que je connaissais dans la région. « Tu as toujours envie d’essayer avec un garçon » me répondit-il avec un grand sourire et en passant son bras autour de mon cou, « c’est d’accord, car tu me plais et je suis très échauffé par ces moments passés en ta compagnie ».
M’arrêtant sur le bas-côté, je lui disais alors : « Je crois qu’il vaut mieux se rhabiller avant de regagner des voies plus fréquentées ». Je récupérais mon pantalon à l’arrière de la voiture, descendais de celle-ci et l’enfilais à cru sur ma peau nue, avec un petit frisson de plaisir. Aurélien, resté sur son siège , remettait son short et passait un tricot tiré de son sac, puis me tendait ma chemise. Je la revêtais et reprenais le volant. Un quart d’heure plus tard, nous étions au motel et j’obtenais une chambre. Je garais ma voiture devant celle-ci, nous en descendions et prenions possession de notre logis. Rideaux fermés, porte verrouillée, Aurélien venait se coller à moi pour me faire une pelle profonde et humide. Je tremblais de désir et un peu de crainte de ce qui allait se passer.
Me lâchant, Aurélien se mit à se déshabiller, ce qui fut vite fait compte tenu du peu de pièces de vêtement qu’il portait. A poil devant moi, il me dit d’une voix ferme et autoritaire : « déshabille toi maintenant ». Je m’exécutais rapidement et me trouvas bientôt nu, le sexe en émoi, livré à ce jeune homme à la beauté envoûtante.
« Si on prenait un bain ? Par cette chaleur, cela nous fera du bien. Qu’en penses-tu ? »
Ensorcelé par cette voix sensuelle et hypnotisé par ce corps d’homme exposé devant mes yeux, je ne me maîtise plus. Je vois son sexe à la peau sombre se balancer entre ses jambes, sous une épaisse toison pubienne charbonneuse, avec des bourses couvertes de poils noirs et une verge longue au prépuce étroit. Je veux le toucher, le caresser, le sucer. Je voudrais le sentir me pénétrer au plus profond de mon intimité. Je bande comme un âne, le gland gonflé, violacé, suintant déjà. Je n’ai plus aucune volonté et je m’abandonne aux évènements et surtout à la voix d’Aurélien. « Bien sûr. Allons-y. »
Peu après je suis dans la baignoire, assis, les jambes écartées, dans l’eau tiède jusqu’au nombril. Aurélien me rejoint, s’asseyant entre mes jambes, les jambes repliées derrière mes fesses. Nos sexes se touchent, tous deux pointant vers le plafond. Nous nous embrassons longuement, nous caressons les épaules, le dos et les cuisses, puis les verges. C’est délicieux. Puis Aurélien prend en main nos deux bites et commence une lente masturbation. Je gémis tout en haletant.
Savamment il cesse enfin ce mouvement de va et vient, lâche nos verges, se relève, me tend une savonnette et me demande de le laver. Enfin je peux reprendre en mes mains son sexe si désiré, le savonner, le frictionner, puis passer aux fesses rondes et fermes, aux cuisses longues et musclées, aux mollets bien marqués et durs, pour enfin remonter vers le dos, la poitrine, les tétons, le cou. Une mousse blanche et légère recouvre bientôt son corps brun et dessiné. Mes mains glissent sur sa peau et je le sens tout cambré, la tête renversée en arrière, le souffle court. Je lui demande alors de ma savonner à son tour, ce qu’il fait avec douceur et une parfaite connaissance des zones érogènes du corps masculin. Je tremble de tous mes membres sous le passage de ses mains et lorsque celles-ci s’attaquent à mes attributs virils, je sens brusquement la sève monter. Heureusement il s’interrompt, très attentif à mes réactions. Nous nous plongeons dans l’eau pour nous rincer et nous nous projetons de l’eau à grands claques dans le bain.
Sortis de la baignoire, prenant deux serviettes blanches, nous nous séchons réciproquement, avant de rejoindre, toujours nus, le lit à deux places qui garnit la chambre. Aurélien m’enlace alors et nous tombons ensemble sur le drap. Il s’empare de mon corps, le fait vibrer de partout par ses succions et ses caresses, puis m’introduit un doigt dans l’anus et le fait tourner à l’intérieur. C’est pour moi une sensation inédite, ce qui me fait crier « prends moi ! » Il me retourne sur le ventre, m’écarte les fesses de ses deux mains, me lèche le cul, introduit sa langue. Je n’en puis plus et je le supplie « Viens en moi, viens. » 
Je sens qu’il crache dans ma raie et me lubrifie l’anus avec sa salive. Puis je sens le poids de son corps qui se couche sur moi, sa verge durcie qui se presse contre mes fesses, son gland qui pousse sur ma rondelle et subitement une douleur assez vive qui me fait pousser un cri. Son membre force le sphincter, pénètre en moi, s’enfonce lentement et je ressens une grande chaleur dans mon ventre. Avec délicatesse il me ramone l’intérieur, puis son rythme s’accélère, sa verge entrant et ressortant de mon cul. Je hurle de plaisir et je sens la jouissance monter crescendo. Soudain il éjacule en moi, en jets puissants et brûlants et je décharge simultanément sur le drap, avant de m’écrouler, comblé.
Nous sommes tous les deux étendus sur le dos, côte à côte, le sexe au repos, tâché de sperme. Je me sens léger, libéré, heureux. J’ai enfin couché avec un garçon et cela m’a plu. Mais j’ai aussi un peu honte de m’être comporté comme une femelle entre les mains de cet étudiant qui aurait pu être mon élève et qui s’est révélé être mon maître. Je le regarde à la dérobée, prêt à s’endormir après l’amour, le visage calme et repus, les muscles détendus, le ventre plat, une jambe allongée sur le drap, l’autre repliée à la verticale et ce sexe qui me fascine, assoupit et lové dans la masse sombre des poils du pubis. Je sens ma verge se redresser et durcir à nouveau, le désir revenir vigoureusement, mes couilles se tendre et une envie intense de le posséder monte à mon cerveau.
Sans plus réfléchir je me jetais sur lui, l’écrasant de mon poids, le retournais comme une crêpe et m’emparais de ses fesses blanches au bas de ce dos brun. Surpris, il tentait de se débattre, mais j’étais bien plus fort que lui et je le maîtrisais sans peine, lui disant d’une voix sifflante : « Laisse toi faire. Je veux te posséder, comme tu m’as possédé. Je veux sentir mon membre au plus profond de toi. » Je le sentis se détendre, consentant et je glissais un doigt, puis deux dans son anus. Ils pénétraient facilement dans ce conduit chaud et humide qui réagissait par des contractions. Manifestement Aurélien avait déjà été sodomisé plusieurs fois et le passage était ouvert. Sans plus tarder, je collais mon gland gonflé sur sa rondelle, poussais et il entrait comme dans du beurre, suivi de toute ma verge. Je laissais échapper un cri de triomphe et pénétrais mon partenaire à fond. Après un mouvement rapide de va et vient, de plus en plus violent, je sentais la jouissance m’envahir et dans un râle de plaisir mon sperme jaillissait dans le ventre d’Aurélien en un jet puissant, tandis que ce dernier se raidissait. Epuisés, contentés, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
Je me réveillais de bon matin et contemplais avec étonnement ce jeune corps masculin étendu sur le ventre, à mes côtés. Je me levais sans bruit, allais prendre une douche et lorsque je revenais dans la chambre, je vis qu’il était réveillé et me regardait avec admiration. « Tu sais que tu es très beau » me dit-il « et drôlement vigoureux pour ton âge ». M’asseyant à côté de lui, je lui caressais les cheveux en disant « Toi aussi tu es beau. J’ai passé une nuit merveilleuse avec toi et tu m’as fait découvrir les plaisirs de l’amour entre hommes. Merci.»
Après nous être habillés, nous sommes allés prendre un copieux petit déjeuner. Puis nous sommes repartis. A l’entrée de Paris, j’ai demandé à Aurélien où je devais le déposer. Il m’a répondu qu’il n’avait pas de préférence car il allait voir si des camarades pouvaient l’héberger d’ici la rentrée universitaire. Je lui proposais alors de venir chez moi où je pourrais l’aider à préparer son examen de rattrapage. A ma grande joie, il accepta immédiatement.
C’est ainsi que nous avons passé un mois à travailler le jour et à baiser la nuit. Je ne me lassais pas de son corps, ni lui du mien. Il a réussi son examen et poursuivi ses études. Nous nous revoyons de temps en temps pour de chauds ébats. J’assume désormais mon état de bisexuel, découvert grâce à lui et je me partage entre amis et amies, souvent choisis dans le milieu étudiant.

 

 

La douche :

La vérité, c'est que cet été a changé ma vie. Mon homosexualité ? Non, le sexe tout court. Chaque fois que je croisais un mec de mon âge, blond, je pensais à Chris et je me mettais à bander. Entre le camping où les belges et hollandais abondaient, et la plage, bonjour les hormones. Il y avait des nudistes aussi de temps en temps, mais en général c'étaient des vieux. Il y a bien eu celui qui marchait vers la mer comme si de rien n'était alors qu'il bandait comme un bouc ! Bien foutu, musclé, la trentaine, les gosses autour de nous se marraient, les adultes faisaient semblant de ne rien voir. J'ai attendu que ma bite dégonfle et j'ai rejoins Chris pour tout lui raconter, l'eau à la bouche...
C est parti, ses vacances finies. Au bout de 2 jours je n'en pouvais plus. Non seulement je me mettais à bander en croisant un jeune blond, mais j'avais beaucoup de mal à me calmer. J'ai dû me branler un certain nombre de fois. Et ce qui devait arriver arriva.
J'allais prendre ma douche un soir assez tard, en short et serviette sur l'épaule. Je mettais maintenant des slips pour contenir ce sexe indiscipliné. En traversant le camping vers les douches les plus proches, je croisais un minet de mon âge, petit modèle mais plutôt musclé, qui lui revenait des douches en caleçon. Ni une ni deux, me voilà gêné pour marcher. Le minet est passé et il n'y a pas grand monde à cette heure ? Erreur, voilà 2 hollandais plus blonds que blonds qui arrivent en racontant je ne sais quoi -ça a l'air drôle- ils ont des gueules d'anges, grands et presque maigres en fait, mais l'un a un mini slip de bain qui ne cache rien et l'autre un short moulant... c'est pas possible, juste avant ma douche ! Mon sexe pointe bien en avant, oui les douches c'est par là, me voici arrivé.
Il n'y a personne, je me mets à poils et gagne la douche collective pour hommes. Et oui, c'est un camping cheap. Les douches individuelles sont à supplément, je suis donc face au mur le plus loin de l'entrée constatant que finalement je ne bande pas à fond...
Malheureusement en me douchant, vous savez ce que c'est, je repense aux trois mecs que j'ai croisé en venant, et à Chris qui est parti. En me savonnant l'entrejambe, je suis bien obligé de constater que maintenant ma bite est gonflée à bloc. Comme il n'y personne, peut-être que...
Soudain j'entends une autre douche démarrer. Le mec s'est mis sur le même mur que moi. Il a pu tout voir s'il voulait. Du coin de l'oeil je ne peux pas manquer ses cheveux blonds. Me voilà scotché. Un grand mec, blond, une vingtaine d'années, très bronzé, de type germanique : belle mâchoire carrée, un peu poilu mais c'est tout blond, sportif. Son corps est très beau, l'eau ruisselle et fait briller ses muscles. Il a une petite toison bien dense et toute blonde au bas-ventre. Son sexe est court, large et repose sur deux grosses boules aux poils invisibles. Il me tourne le dos à présent. Il a ces fesses idéales, étroites, rondes, aux joues en creux, auxquelles se rattachent des cuisses longues et musclées, et qui lancent un dos cambré par deux fossettes... Il tourne encore, maintenant dos au mur, la tête en arrière pour se rincer les cheveux. Son sexe est à l'horizontale, le gland à moitié décalotté, il s'est largement allongé. Il continue à tourner, vers moi cette fois. Son sexe gonfle encore. Son gland s'élargit et se décalotte entièrement. Sa queue est dressée à 45?, légèrement arquée vers le ventre. Sa main descend sur son ventre et l'empoigne.
Ses yeux bleus me sourient. Il commence à se branler doucement. Ma queue est si raide que j'ai l'impression qu'elle m'appelle pour que je fasse quelque chose. Je me mets à me branler en rythme avec Daniel, face à face à 3 douches de distance. Insensiblement nous nous rapprochons l'un de l'autre. Les douches se sont arrêtées et j'entends nos respirations profondes. Arrivé près de moi, il tend son autre main sans arrêter de se branler et me caresse le torse, le ventre, la glisse entre mes cuisses et écarte mes couilles. Il me domine d'une tête. Sa queue est grosse vue de près. Je le caresse comme il l'a fait. Sa peau est douce et chaude, ses couilles sont lourdes. Il prend ma bite dans sa main et caresse nos deux queues. Puis je saisis sa queue à mon tour. Elle est si raide dans ma main ! Et il est si grand qu'elle pointe presque entre mes pectoraux. Surtout que j'ai du mal à tenir droit avec sa main qui me branle, je suis trop excité.
Quand il lâche ma queue pour me caresser à nouveau le torse, puis les épaules avant de passer une main dans mes cheveux, je ne peux pas le suivre. Ma main reste sur son sexe, rejointe par mon autre main. Je le branle doucement à moins que ce ne soit lui qui se branle dans mes mains en se déhanchant. Il m'embrasse dans le cou, puis le haut du dos en m'attirant contre lui. Ma tête repose sur ses pecs pendant que ses mains descendent sur mon dos. Ma joue se frotte contre un de ses seins dressés, D est penché par dessus moi et me saisit les hanches de ses grandes mains, m'empêchant de bouger quand il recule un peu. Je dois lâcher sa queue pour me rattraper à sa taille. Mon visage heurte ses abdos durs comme du bois. Je suis en position instable, mes mains mon visage glissent sur son corps mouillé, et il appuie sur mes hanches : je me retrouve à genoux, les mains sur ses cuisses, le nez dans sa toison, la bouche sur sa couille gauche, la plus basse, son gourdin contre ma joue gauche. Je ne vois plus rien, mais quelles sensations, quelle odeur de jeune mâle !
Je suis fou. Je le lèche, l'embrasse. Les couilles, la base de sa queue, le haut de ses cuisses. Il donne des petits coups de reins. Ma bouche remonte le long de sa bite. Je lèche son gland, j'embrasse son gland. Mes lèvres sont serrées. D soupire, gémit. Il pose sa main sur ma tête et appuie doucement. J'aime sentir la pression d'un gros gland sur ma bouche. Il écarte mes lèvres qui l'enveloppent. Ma langue l'accueille et l'invite à aller plus loin. Mes lèvres sont à présent scellées sur le corps de sa verge et descendent le long de ce mat bien dur. Lorsque sa queue heurte l'entrée de ma gorge, D hésite un instant, puis il ressort doucement et commence en fait un va et vient entre mes lèvres goulues, dans ma bouche avide.
Mes mains parcourent ses hanches, sa croupe, ses fesses, ses abdos, ses cuisses qui se contractent en rythme avec ses grognements. Je n'ose pas branler ma queue qui crie à l'aide tant je suis sûr de jouir vite avec sa massue qui à chaque va et vient touche l'entrée de ma gorge, me faisant gémir doucement, étouffé par sa grosse bite. Il se penche par dessus moi et vient me caresser les fesses. Il les malaxe, puis les écarte. Je sens un doigt glisser dans ma raie. Ce doigt humide s'arrête sur ma rosette, la caresse, la masse doucement en mouvements circulaires, puis un autre doigt le remplace, couvert de salive chaude, qui pointe, qui s'enfonce d'une phalange. Mon gémissement est plus long. Son doigt continue sa pression et m'ouvre le cul en s'accrochant dans mes chairs. Il bouge, tourne. Je me détends bientôt. Un doigt plus gros le remplace, le pouce sans doute se plante en moi, puis à nouveau son doigt le plus long.
Soudain sa queue sort de ma bouche. Il s'allonge sur le dos, et toujours le doigt dans mon cul me fait venir au dessus de lui. Mes couilles se posent sur sa bouche qui s'ouvre et sa langue remonte vers mon anus doigté. Je gobe à nouveau son manche qui me manquait déjà. C'est à moi de m'activer sur sa queue pendant qu'il m'écarte le cul de deux doigts à présent. Oui c'est la première fois qu'un mec s'occupe de mon petit trou. A part moi en fait car j'ai déjà pris l'habitude de me doigter, de l'écarter avec une bougie ou des manches d'outils de différentes tailles. Aussi avec tous ces préliminaires, les trois jours sans sexe depuis le départ de C, sa salive, lorsqu'il tente trois doigts, je sens une petite douleur éphémère, et me laisse pénétrer, enivré, fouillé par ces doigts qui s'agitent, laissant échapper sa queue de ma bouche pour mieux gémir de plaisir.
Sans un mot (ou plutôt avec des mots que je ne comprends pas) il me fait savoir qu'il veut que je m'empale sur sa queue qu'il tient dressée. Je m'accroupis au dessus de lui, lui faisant face. Je la guide en passant une main dans mon dos. Son gland est gros. Il appuie sur mon anus. D écarte mes fesses, j'ai l'impression que c'est mon cul qui entre en moi sous la pression... Je recommence. Cette fois, mon cul s'écarte, et je sens son gland glisser en moi. Je suis ouvert comme jamais. Je pousse un gémissement profond et me déconcentre : je m'effondre sur son pieu qui rentre brusquement des deux tiers. D m'attrape les hanches et m'enfonce encore plus sur son manche. Je sens ses couilles sur mon cul. Je passe mes doigts entre mes fesses pour vérifier. Mon autre main saisit ma queue que je branle frénétiquement. Ca me fait mal, je crie. D se tétanise. Mon cri de douleur s'achève en cri de jouissance et mon foutre gicle sur D, passant au dessus de sa tête, à ras de son front puis sur son nez, son cou avant que les cinquième, sixième, septième giclées n'aspergent son torse viril.
D essaie de me maintenir en place pour commencer des va et vient, mais j'ai trop mal, je me penche en avant et échappe à sa queue encore plus raide à la vue de ma jouissance. Je tombe sur le sol à côté de D, qui ne me quitte pas des yeux, fou d'excitation. A genoux entre mes cuisses, il se branle à toute vitesse, baisant ses propres mains, mon foutre dégoulinant sur son visage et son torse. Il a du mal à venir en fait. J'ai dû jouir trop vite, mais je n'y peux rien, c'était la première fois qu'un mec m'enculait et j'étais trop excité de toute façon.
Tout à coup il m'attrape les jambes et me bascule en arrière. Putain qu'est-ce qu'il fait. Il rugit des trucs incompréhensibles. Il est beau à me dominer de ses 2m et tous ses muscles mais il me fout la trouille. Je sens sa queue pointue qui glisse sur ma rondelle. Raté. Il la prend d'une main, et merde, c'est bon il est heureux sa colonne énorme s'enfonce dans mon cul à peine dépucelé. Je ne sais pas si j'ai mal ou si c'est bon. Elle me paraît encore plus grosse, plus dure. Il se mets à pousser des rugissements de lion, de tigre ou de je ne sais quel animal en rut. Et la tête en arrière les yeux convulsés, je crois qu'il jouit à peine arrivé au fond de mon trou.
Puis il m'écrase de tout ses muscles en reprenant sa respiration et en m'engluant à mon tour de mon sperme. Sa queue se retire en débandant.
Maintenant je sais, j'ai mal.
Faudra remettre ça, mais pas avec lui.  

WC public:

Tout commence par un jour banal de la semaine. Je me promenais dans un centre commercial et comme à chaque fois où je me rends dans ce genre d'endroit je me débrouille même si je suis accompagné, d'aller me rincer l'oeil dans les W.C.
Fort heureusement pour moi j'étais seul !! Je rentre donc dans ces W.C et je jette un ptit coup d'oeil bref aux urinoirs, dommage pour moi il n'y a personne je me dis comme d'habitude c'est pas grave je reviendrais un autre jour.
Mais j'avais quand même envie de faire un petit besoin alors je sors ma queue de mon pantalon (je porte rarement des sous vêtements) et je commence à pisser.
La porte s'ouvre et un jeune d'une vingtaine d'année rentre. Je ne porte pas plus que ça attention à lui mais il se mets a coté de moi et sort lui aussi sa queue et commence à pisser.
Je regarde furtivement et sa queue et franchement, elle était magnifique bien grosse et longue pour une queue au repos. Mais bon vu que je n'avais pas trop le temps et que le mec ne me faisait pas de signe provocateur je décidais de partir.

Juste en face de ce W.C il y a un arrêt de bus. Je me mets donc à cet arrêt pour attendre mon bus mais vu l'heure il va falloir que je patiente. Je flippe grave d'avoir rater le précèdent car il fais un froid de canard !!

Au bout de 5 bonnes minutes je cherche dans mon sac mon paquet de clope et je m'en allume une. Je fume tranquille quand soudain une 205 bleu s'arrête à coté de moi. La vitre passager ce baisse et une voie jeune me demande si je n'ai pas une cigarette à le dépanner. Je lui répond bien sur bougez pas je cherche dans mon sac.
Quand je me baisse pour lui donner la cigarette ma surprise fut énorme !! C’était le mec des chiottes. Dans son élan il me demande si je vais loin et selon si c'est dans sa direction il me dépose. La je dois dire que je me dégonfle et je lui dit c'est sympa de votre part mais j'attend le bus. Il insiste en me donnant les bons arguments le vent et le froid et il ajoute si tu n'ai pas consentant je ne te ferais rien.

Mon coeur se mit à battre de plus en plus fort et je montai dans la voiture. Il faut dire que même si j'avais l'appréhension ce mec m’excitait grave. Il commença à rouler et me posa des questions banales. Je pris le taureau par les cornes et je posai ma main directe sur son paquet qui était gros et dur comme du béton !

Il lâcha un grand haaaaaa de satisfaction et me dit enfin ce que je voulais. Il s'arrêta en catastrophe sur la fin du parking du centre et arrêta le moteur. Il me dit :

"Actif ou passif"
Je répond passif
Tu aime sucer ?
C'est ce que je préfère

Il baissa son pantalon jusqu'au genoux et me dévoila une superbe queue d'ailleurs en réel c'est la première que je vois aussi grosse et belle.

Il enfila un préso et me dit quand tu veux elle est à toi.

Je me penche sur ce gros morceau et l'enfile difficilement dans ma bouche et je commence à le sucer du mieux que je peux tout en le branlant.

Il commence à caresser mon entre jambe et je bande grave! Il me sort ma queue et commence à la branler.

Je continue moi de mon coté à le sucer de plus en plus vite et il me dit si tu continue a ce rythme je vais pas tenir bien longtemps mais je m'en foutais de ce qu'il pouvait dire je continuais a le sucer je voulais a tout pris voir sa semence éclaboussé partout.

Au bout de 10 bonne minutes il se mis a hurler un grand je vais venir la je retire sa queue de ma bouche gourmande et j’ôtai le plus rapidement possible le préservatif pour le voir enfin cracher sa semence bien grasse sur son tee-shirt par plusieurs jet !

Franchement j'étais fier de moi mais lui non car il ne m'avait pas fait monter au septième ciel du coup il me finis à la main et j'éjaculais de beau jet sur le tableau de bord de la voiture.

Après 5 minutes de répit je descendis de la voiture en lui touchant une dernière fois sa belle queue et je lui donnais RDV pour le lendemain. 

Mais mon boulot ne me permis pas de me libérer et je n’ai pas pu y aller. Franchement je suis dégoûté car je ne l'ai plus jamais revu jusqu'a aujourd'hui... Mais je garde un très bon souvenir.


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