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Lesbienne

Sommaire:

 

 

 

 

 

Première fois:

Quel plaisir de se remémorer ma première nuit avec une autre femme...
C'était il y a 2 ans, en Juillet. Nous étions, Raphael et moi, parti en vacance dans le sud de la France, dans une maison qui appartient à l'oncle de Raphaël.
Nous profitions largement de la piscine, et la haie qui bordait la propriété nous permettait de nous baigner dans notre plus simple appareil...
D'un naturel plutôt social, nous remarquâmes assez rapidement que les voisins avaient des enfants d'à peu près notre âge. Nous invitâmes Alicia (18 ans) et Lucie (16 ans) à passer leur après midi chez "nous" pour profiter de la piscine. La leur n'étant pas terminer.
Alicia et Lucie se ressemblaient comme deux gouttes d'eau. Plutôt grandes, brunes, les yeux vert pour Alicia, bleu pour Lucie. Et un corps parfait...
La première fois que je vis les deux soeurs en maillot de bain je fus à la fois ravie et anxieuse... ravie de la beauté de ces deux jeunes filles à l'allure slave de leurs ancêtres (elles étaient d'origines polonaises) et anxieuse car jalouse (et peur de voir Raphael tomber sous le charme...)
Imaginez un peu Alicia sortant de la piscine... l'eau ruisselante sur sa peau bronzé par le soleil du midi, sa poitrine ronde et ferme maintenu par un triangle bleu ciel et ses fesses rebondies à peine caché par un slip tellement échancré que cela frisait l'indécence ( mais sans vulgarité) Et enfin multipliez l'effet par deux en pensant à sa soeur, le même gabarit et une poitrine légèrement plus imposante (Lucie faisait du 90C là où sa soeur portait fièrement un 85C fabuleux)
Bref... Un soir où nous nous ennuyions Raphael et moi, nous invitâmes Lucie et Alicia à sortir en ville, boire un verre ou deux... A peine arrivés sur place, Lucie nous laissa pour rejoindre un groupe d'amis, nous laissant tous les trois. Nous décidâmes d'aller dans la boite de nuit du coin pour continuer notre soirée.
Sur la musique techno que passait le DJ, nous dansions sans regarder le temps qui passait.... A vrai dire je regardait plutôt Alicia, enfin ses jambes... Sa mini jupe en jean et ses talons haut donnaient à ses jambes une impression de longueur et de finesse d'une extrême sensualité... Et son décolleté ne laissait pas indifférent le "public" ni mon homme, à voir son regard qui plongeait régulièrement vers la poitrine d'Alicia. Nous dansions donc tous les trois, nous nous effleurions, parfois même nos corps se rapprochaient jusqu'à un contact charnel d'une sensualité troublante. Lorsque le DJ passa un morceau plus calme, un morceau à danser à deux, je pris peur que Raphael choisisse Alicia pour partager cette danse... Je pris donc les devant en enlaçant Alicia pour danser ce "slow" avec elle... Je n'avais plus dansé avec une fille depuis le collège et dans mes souvenirs la distance ne permettait pas grand chose... Avec Alicia ce fut différent. Je ne sais plus si c'est elle ou moi mais dès le début nos corps furent si proche que je pouvais sentir sa poitrine contre la mienne, et même son sexe contre le miens... Une chaleur m'envahit. Mes mains légèrement moites se promenait sur le dos nu ruisselant de sueur d'Alicia, les siennes se promenait sur le haut de mes fesses. Sans un mot je posais ma tête sur l'épaule de ma compagne et à la fin du morceau je l'embrassais sur la joue, à la limite de la bouche...
La soirée en boite devaient s'achever sur cette danse sensuelle et nous invitâmes Alicia à passer à la maison pour boire un dernier verre...
Assises sur le canapé, écoutant un cd de Ben harper, un joint dans la main et attendant son verre, Alicia me reparla de ce moment que nous avions passé sur la piste de danse. Je rougis bêtement en prenant le joint qu'elle me tendait et ....
Alicia agrippa et me fit venir à elle. Je tombais sur elle dans un fou rire. Elle rit de même, un rire cristallin et légèrement érotique... J'approchais de ses lèvres et y déposa un baiser chaste...
Raphael revint à ce moment avec une bouteille de whisky et trois verres, nous coupant net dans notre élan...
Après avoir bu la moitié de la bouteille et fumé notre troisième joint, nous nous sentions plus échaudés et Raphael se montra particulièrement entreprenant. Assis entre Alicia et moi, il profitait de sa position. Il m'embrassa avec la sensualité que je lui connais. Puis il se tourna vers Alicia qu'il embrassa d'un baiser chaste qui, n'ayant pas réagi, devint légèrement plus fougueux. Il ne laissa Alicia que lorsque je l'en obligeais en prenant sa place... Le premier contact de nos langue me fit l'effet d'un choc électrique... Quelle douceur, quelle sensualité, quelle chaleur dans le baiser d'une autre femme.... Je passais par dessus Raphael et me trouva à califourchon sur Alicia... Nos mains caressaient nos corps à travers nos vêtements... Raphael se sentait délaissé, il alla se préparer un joint qu'il allait fumer dehors.
Je pris Alicia par la main et l'emmenais dans la chambre... je ne voulais pas que Raphael assiste à ce qui allait suivre.
Arrivée dans la chambre je fis glisser la petite robe que je portais et me présentais en sous-vêtement devant Alicia. Sa main s'approcha de mon ventre qu'elle caressa lentement avant de s'agenouiller devant moi pour embrasser mon nombril. De ses mains elle caressait mes fesses. Elle remonta sa main gauche qui alla dégrafer mon soutien gorge qui glissa, laissant apparaître ma poitrine et mes tétons durci par l'excitation. Sa langue remonta de mon nombril à la base de mes seins, en dessina le contour puis s'attarda sur mes tétons. Elle se releva enfin et délicatement je défis le noeud qui retenait son dos nu... Le vêtement glissa par terre dévoilant la poitrine et le fins tétons de mon amante... Je fis le trajet inverse qu'elle avait emprunté... Commençant par ses tétons je finis par son nombril et descendait même un peu plus bas. Je fis glisser la fermeture éclair de sa jupe qui tomba sur ses chevilles. A travers son shorty j'embrassais le sexe d'Alicia. C'était la première fois que ma bouche approchait un sexe féminin, que mon nez humait l'odeur du sexe d'une autre femme... Je n'en éprouvais aucune gène... J'ôtais le dernier "rempart" et observais le sexe épilé d'Alicia... J'y déposais un baiser chaste (si tant est qu'il puisse y avoir des baisers chastes à cet endroit...), me relevais et invitais Alicia à s'allonger sur le lit. Là, devant le corps nu de cette magnifique amante, alors que j'observais comment sa main caressait son sexe, j'ôtai mes derniers vêtements et m'allongeais sur le corps de mon amie. Le premier contact entre nos deux sexes nous provoqua à toute les deux un intense plaisir assez proche de la jouissance.
Pendant près d'une heure, nos langues se sont mélangées, nos corps frottés l'un à l'autre... Nos mains découvraient le corps de l'autre, nos doigts s'invitaient parfois là où naît le plaisir... Et le plaisir, et la jouissance vint par ces caresses, par ces contacts. Un plaisir intense et sensuel... un plaisir pur et doux... un plaisir qu'il me tardait de ressentir à nouveau...

 

Hotesse de l'air:

Vol air France à destination de Bucarest,  au départ de Roissy Charles de Gaule, billet classe affaire.
Je suis en retard, le temps de poser ma valise sur le transporteur et je cours vers le hall d’embarquement, une hôtesse m’attend à la porte.
Jolie brunette cheveux au carrés qui me fait un grand sourire et me conduit à ma place, j’ai un peu honte car tous les passagers sont installés et me dévisagent.
Vous savez comment décolle un avion alors pas la peine de raconter le décollage.
Il y a environ 20 minutes que nous sommes en vol quand, la charmante hôtesse, passe pour demander qui veut une revue, je la remercie car j’ai du travail, mon ordinateur portable dans mon attaché-case, et un monticule de trucs à faire pendant le voyage.
Il est vrai que le vol ne dure pas longtemps, en moyenne trois heures et les airs France sont les plus rapides et sans escale et j’aime le confort d’air France.
Atterrissage à Bucarest, on doit venir me prendre à l’aéroport, personne, c’est un vrai problème car je ne sais pas à quel hôtel on a réservé pour moi, ce sont les locos qui se sont occupés de ça, je ne suis là que pour deux jours et je ne sais même pas ou je dois aller.
Tel portable je téléphone au bureau, j’attends la réponse une heure, le temps qu’ils contactent ici pour savoir ou on en est.
Réponse: la personne qui devait venir me prendre à eu un accident sur la route, je dois prendre un taxi et j’ai une chambre à l’intercontinental.
Super la poisse jusqu’au bout, bon on ne s’énerve pas ma chérie, on y va dans le calme et la bonne humeur.
Je suis dans ma chambre et la première chose que je fais c’est de prendre une douche et de me changer.
Je ne sais pas si je vous l’ai dit mais je suis rousse et les rousses ont la faculté de vite ne plus sentir la fraîcheur.
    Un chemisier blanc, mon petit tailleur rose Chanel tout mimi, jupe ultra courte et serrée sur mes fesses, un chemisier blanc en soie diaphane, un joli soutien gorge en dentelle rose, juste pour cacher mon petit 85 b sous le chemisier qui lui ne cache rien, un porte jarretelle rose, des bas roses, qui sur ma peau blanche font l’effet d’un tue l’homme  et un tout petit string rose, en dentelle qui ne cache rien car on voit ma vulve épilée au travers, une paire de talons hauts de la couleur du tailleur et me voilà habillée pour, mon rendez vous.
J’ai 26 ans et il n’y a que trois mois que mon divorce vient d’être prononcé, c’est vous dire que je ne cherche pas à tomber sur un macho de service mais j’aime être bien habillée et plaire, j’aime les regards sur mon petit cul bien rond.
J’appelle pour savoir si je dois prendre un taxi ou attendre que l’on vienne me chercher et la surprise mon rendez-vous est annulé, je suis libre jusqu'à demain 14 h.
Je l’avais dit! La poisse. Que faire dans une ville ou l’on ne connaît rien ni personne?
Le hall de l’hôtel, je visite un peu et je vais faire un tour au bar.
- Vous êtes perdue?
Cette voix? Je la connais, c’est la voix de  l’hôtesse si charmante et si jolie!
- Un peu oui, pour tout dire mon rendez-vous est annulé et je n’ai rien à faire!
- J’allais faire les boutiques, voulez-vous vous joindre à moi? Je connais bien Bucarest!
- Avec plaisir, j’avais peur de m’ennuyer à mourir, merci c’est très gentil!
- Je sais ce que c’est, je suis souvent seule en escale et si l’on ne connaît personne, l’ennui gagne vite!
Nous voilà donc partie toutes les deux en taxi, je vous assure que la traversé du hall de l’hôtel a été suivie par des dizaines d’yeux coquins.
Il faut imaginer, un  bonbon rose de 26 ans, rousse et mignonne et un bonbon bleu ciel, brune du même âge et encore plus mignonne, qui traversent, bras dessus bras dessous, en riant et jacassant comme des pies, le hall de l’Intercontinental de Bucarest, ça réchauffe une atmosphère.
La ville les boutiques, quelques emplettes, je n’ai besoin de rien mais j’adore acheter et bien souvent des trucs que quand je  regarde après, je me demande pourquoi j’ai achetée ça mais bon, on ne se refait pas.
Nous passons une fin d’après midi agréable et retournons à l’hôtel il est 19 h, on se donne nos numéros de chambres et elle me demande si on dîne ensemble et qu’après elle connaît un truc sympa ou on pourra finir la soirée.
Rendez-vous pris dans sa chambre à 20h30 ça ne me laisse que le temps d’un bain et de me préparer pour la fin de soirée.
20h40 je suis devant sa porte, robe moulante noire, une veste en cachemire noire, pas de soutien gorge, porte jarretelle noir en dentelle fine, qui ne se voit pas sous la robe moulante, bas gris et sandales talons hauts  et un tout petit string noir qui est si petit qu’il a tendance à s’introduire entre mes lèvres intimes et me gène énormément, un mini sac à main en cuir noir, je suis mignonne à croquer mes longs cheveux roux, tombent jusqu’au milieu du dos en boucles.
Elle vient m’ouvrir et on éclate de rire, elle porte à quelque chose prêt la même tenue que moi si ce n’est que sa robe est rouge sang, avec sa couleur de brune, j’ai envie de la mordre.
Elle n’a pas de bas et porte au pied des talons haut nus pieds, attachés aux chevilles.
Le repas, salade verte, grillades et un verre d’eau et prit en trente minutes, nous voilà dans une petite boite ou l’on joue de la musique douce, l’ambiance est feutrée, lumière tamisé et de petites tables  entoure une piste ou danse des couples, il est tôt et n’y a pas grand monde.
Principalement des femmes d’ailleurs, pour tout dire pas un seul homme en vue.
Je lui en fait la remarque et pour toute réponse, elle sourit de son joli sourire charmeur.
Je ne suis pas très maligne mais je comprends ou l’on est et lui décoche mon sourire je t’aime moi non plus, qui en dit long sur le fait que si elle insiste, je la mange toute crue sur la table.
Mon string me fait mal car j’ai mouillé un peu dans le taxi de l’avoir la près de moi, son parfum Chanel et sa chaleur m’ont un peu émoustillée.
Je regarde à gauche je regarde à droite car je viens de me souvenir d’un truc que l’on m’a fait à moi et pourquoi pas le lui faire, ça marche ou ça marche pas mais je n’ai pas le temps de la dragué dans la douceur, je quitte mon string le plus discrètement possible, en le faisant glisser petit bout par petit bout le long de mes grandes jambes et quand il est dans ma main, je le dépose devant elle, juste à coté de son verre.
Elle regarde le string, sourit et me regarde dans les yeux en le portant à son nez, le plies dans sa main et se penche à mon oreille.
- Moi aussi je mouille mais je n’ai pas de string, je suis nue dessous!
Elle prend ma main et la glisse entre ses jambes qu’elle a écartées, sa minette est épilée et toute dégoulinante, je n’ai aucun mal à y passer deux doigts dedans et les porte à ma bouche.
- Tu veux danser?
- Je voudrais te dévorer!
Si on danse, on va se faire draguer, il y a déjà pas mal de filles qui nous regardent et pour partir ce sera galère, je lui prends la main et l’entraîne vers la sortie.
Le chauffeur de taxi a bien faillit nous tuer, il nous regardait, nous embrasser et nous caresser, dans son rétroviseur et n’a pas vu un feu mais ça ne nous a pas calmé, j’avais déjà joui en arrivant à l’hôtel sous ses doigts expert et elle aussi, j’avais ma main recouverte de sa mouille et le chauffeur une barre de fer dans le pantalon, je suis sure qu’il n’a pas du faire une autre course, sans se masturber.
Elle m’a quitté ma robe dans l’ascenseur et c’est nue que je suis arrivée dans sa chambre, pas le temps d’aller au lit, elle me pousse sur le fauteuil et plonge sa tête dans ma minette, que c’est bon une langue de femme, elle m’aspire le clitoris et ses doigts me font gémir, je ne sais pas combien il y en a, je suis tellement mouillée qu’ils rentrent comme dans du beurre.
J’en veux aussi et la couche à même la moquette, sa robe ne tient pas dix secondes, elle à une vue imprenable sur mon intimité et moi je suis la bouche sur la sienne, trois doigts dedans, mon pouce sur sa rosette que je viens lécher.
C’était la première fois que je voyais une femme jouir avec autant de cris et de gémissements, heureusement les hôtels de luxe sont insonorisés.
Ses seins durs me faisaient jouir rien que de les lui manger, cette fille est une vorace, elle m’aspirait mon clitoris et mes lèvres pour avaler mon jus, me poussant deux doigts dans mon petit trou, elle avait de la mouille sur toute sa figure et je prenais plaisir à la lécher, nous avons fait l’amour ainsi comme deux folles, parterre, sur le lit, dans la salle de bain dans les toilettes, nous étions insatiables.
Elle partait le lendemain à midi, pour Paris, moi je devais rester pour mon rendez-vous, nous avons échangées nos portables.
De retour à Paris j’ai essayée de la contacter mais impossible, je tombais sur sa messagerie.
Ce n’est que quinze jour plus tard que j’ai reçu un coup de fil un soir.
Nous sommes restées ensemble six mois, puis son travail et le mien nous ont petit à petit séparées, Une tranche de vie venait de finir.  

 

Ma belle-soeur:

Ils m’ont laissée seule à la maison pour aller voir je ne sais quel match. Au fond, j’en suis contente : je suis libre de faire ce que je veux. Je ressors mon bouquin préféré pour le lire encore une fois dans mon fauteuil. S’il n’est pas à mettre entre toutes les mains, je m’en repais. Les aventures extraconjugales de l’héroïne me font rêver. Ce n’est pas tellement qu’elle cocufie son mari ; ce sont plutôt ses manières de faire l’amour.
Je fais à peu de chose près comme elle, sauf que je suis d’une fidélité absolue. Bien sûr, j’ai envie de jouir : quand on lit ce genre de livre, on sait d’avance qu’il est à lire de la main gauche, ce que je fais. Je me donne du plaisir plusieurs fois. Ce soir, j’aurai encore envie : mon époux me comblera, comme toujours.
Heureusement que j’ai fini de me masturber : quelqu’un sonne à la porte. Je me remets rapidement en maudissant l’importun qui vient me déranger juste à l’instant où je me préparais à récupérer.
Surprise : ma belle-sœur Line arrive. Que diable me vaut sa visite un samedi après midi ? Bavarde comme elle est, je ne vais pas tarder à le savoir.
Cette sœur de mon mari est bizarre pour moi : un jour, elle est charmante et, le lendemain, grincheuse. C’est dommage ; c’est une belle femme, grande, élégante mais trop souvent emmerdeuse. Je me demande comment elle a pu trouver un mari !
Deux bises pour nous dire bonjour. Aujourd’hui, elle est de bonne humeur ; elle plaisante même un peu :
– Tu es seule ? Tu vas en profiter pour tromper ton mari !
– Bien sûr : je ne pense qu’à ça.
– Si tu veux, je te tiendrai compagnie pour jouir comme tu dois aimer.
– J’aime bien jouir : je viens de le faire.
Elle regarde le livre que j’ai posé sur la table basse.
– Tu as de saines lectures ; je ne tiens pas plus de cinq minutes pour jouir en le lisant.
Elle commence à lire un passage particulièrement olé olé. Entendre de sa bouche l’histoire qui vient de m’exciter me donne encore envie de recommencer.
– Tu sais, je vais aller aux toilettes pour me branler.
– Reste ici ; je t’accompagnerai.
Line s’assoit, et commence à lire à haute voix pour que j’en profite. Elle défait son pantalon, ouvre sa culotte en me montrant sa chatte. Ses jambes sont écartées, sa main est sur sa figue. Elle ne tarde pas à caresser son bouton. De temps en temps, elle se doigte pour reprendre la caresse. Elle ne fait pas semblant de se faire reluire !
Arrive le moment où elle serre ses cuisses sur sa main, la tête en arrière en gémissant comme si elle avait mal. La voir jouir me donne envie. Heureusement que je n’avais pas remis mon string : je n’ai qu’à passer ma main sous ma jupe pour retrouver mon bonheur.
Bien sûr, elle me regarde quand je commence à me branler. Line vient près de moi, me fait sortir ma main pour prendre sa place. Sa masturbation m’excite encore plus. Je me laisse faire, c’est si bon... Et puis elle soulève la jupe, s’agenouille devant moi et me fait écarter les jambes pour que sa tête monte vers mes trésors. Je sens sa langue sur l’intérieur de mes cuisses.
Brusquement, je la sens sur ma chatte. Line doit avoir l’habitude de baiser des filles. Elle sait trouver rapidement mon bouton, qu’elle lèche habilement. Je frémis ; je sens mon ventre se creuser sous le plaisir montant. Je me laisse aller à un orgasme presque aussi bon que ceux que me donne mon mari, mon chéri que je trompe en partie au moins avec sa sœur.
Je ne veux pas qu’elle arrête : je tiens sa tête contre mon sexe. Je ne savais pas que c’était si bon. Mon ventre se creuse de plaisir, j’ai même envie qu’elle me doigte, mais pas n’importe où : dans le cul.
– Encule-moi, s’il te plaît.
– Je vais te mettre deux doigts ; pour un début, ça devrait te suffire.
Elle remet sa langue sur le fourreau. Je sens enfin ses doigts venir caresser mon rectum. Elle a une façon de me sodomiser qui me fait jouir rapidement. Elle laisse ses doigts dans mon ventre. La vache, que c’est bon ! Pour faire bonne mesure, elle entre sa langue dans mon lieu de plaisir. Je ne sais pas ce qu’elle me fait dans le vagin ; je me laisse aller au plaisir qu’elle me donne. Quand je jouis encore une fois, elle se relève pour me demander de lui rendre ce qu’elle m’a fait.
J’ai honte de la lécher, de lécher son con mouillé. J’ai peur de sucer son jus. Et pourtant, je suis bien obligée quand Line est nue, les jambes ouvertes, me donnant toute sa chatte. Je feinte au début en la caressant seulement avec les doigts. Je regarde comment ça fait, un sexe féminin quand ça jouit. Je vois les contractions du sexe et du cul. Maintenant, de voir ça, j’ai envie de la lécher. Ma langue enfin entre en action. Je ne sais pas trop comment faire, mais comme c’est inné, je trouve vite les lieux à visiter. Je suce son bouton pour qu’il entre dans ma bouche. Je le lèche largement.
Elle gémit avant de jouir encore. Elle ouvre ses cuisses encore plus largement. Ma langue plonge dans son vagin. Je suis inondée de cyprine ; finalement, c’est bon. Je n’hésite plus à lui faire ce que je crois que les filles se font entre elles.
À un moment, Line préfère que nous soyons réunies pour jouir ensemble. Je la couche sur le lit, dans la chambre où nous sommes allées. Je suis sur le dos, elle est sur moi, sa tête entre mes cuisses, sa langue à nouveau sur ma chatte. Elle me donne sa chatte à sucer. J’en ai envie… Ma langue n’hésite pas : je lèche à nouveau son sexe. J’en rajoute un peu en lui enfilant deux doigts dans le cul. Je me venge presque d’elle.
Je l’entends gémir sourdement. Je ne suis pas en reste. J’enlève mes doigts de son anus pour les remplacer par ma langue ; j’en mets presque la moitié. Elle me laisse faire en jouissant. Brusquement, je m’aperçois qu’elle a joui énormément, comme moi d’ailleurs. Le plaisir que je viens d’éprouver était plus fort que celui que me donne mon mari lorsqu’il me baise. Bien sûr, je n’ai pas de queue dans le ventre : rien que des doigts ou une langue. Cela n’explique pas tout. C’est sans doute parce que c’est une autre femme qui me baise et que je baise. Je suis tombée en bas de l’échelle hétérosexuelle. Me voilà devenue bisexuelle : je ne le regrette pas.
Nous voici encore changeant de position : le 69 est très agréable ; alors, pourquoi changer ? Elle veut que nous jouissions uniquement avec nos sexes. L’exercice est difficile : se mettre con contre con est moins facile qu’il ne paraît. Bien sûr, nous y arrivons, mais avec peine. Mais Line a d’autres tours dans son sac ; elle est totalement amorale !
– Viens, je fais te faire jouir comme jamais en te mettant ma main dans la chatte.
Jouir, chatte : deux mots qui m’électrisent. Je suis d’avance d’accord. J’ouvre le plus possibles mes jambes : elle entre deux doigts dans le sexe largement offert. Son doigtage est excellent ; elle entre petit à petit toute sa main, y compris le poignet. Elle fait aller et venir sa main dans mon vagin. Je crois m’évanouir de plaisir : je ne peux même pas dire combien de fois j’ai joui !
J’essaie maladroitement de lui rendre ce qu’elle vient de me faire connaître. J’arrive, après plusieurs essais infructueux, à mettre ma main. J’arrive aussi à la faire jouir.
Nous sommes totalement hors-jeu.
Je n’en parlerai pas à mon chéri : il voudrait nous voir ensemble. Je ne veux pas qu’il baise sa sœur. 

 

 

Au jacuzzi:

Pendant les dernières vacances, je suis allée avec ma copine dans un club de remise en forme. Ils avaient des jacuzzis que l'on pouvait reserver pour une heure. Nous étions en fin d'après-midi, et nous avons décidé d'en prendre un. C'état un peu cher, mais nous avions toutes les deux envie d'un bon bain chaud. L'hôtesse d'acceuil nous a conduit dans une petite pièce, dans le coin de laquelle trônait le jacuzzi, d'environ 2x2m. Les murs étaient tout en lambris, dans le style nordique. L'hôtesse nous a brièvement expliqué le fonctionnement, puis elle est repartie accueillir de nouveaux clients. Nous avons refermé la porte derrière elle, puis nous avons fait couler de l'eau bien chaude, en ajoutant un peu de sels de bain. Il y avait une radio encastrée dans le mur, et je l'ai mise en marche. Je suis tombée sur une station de jazz, ce qui me convenait parfaitement. J'écoute rarement du jazz, mais je l'apprécie beaucoup comme musique d'ambiance.

Pendant ce temps, ma copine avait retiré son pantalon ainsi que son pull, et elle était en train de retirer sa chemise. Elle ne portait pas de soutien-gorge, et je pouvais voir ses seins nus et acceuillants. Vêtue de sa simple culotte, elle s'approcha de moi et commença à me deshabiller à mon tour. Elle me retira d'abord mon pull, que je portais à même la peau, n'ayant moi non plus pas mis de soutien-gorge. J'étais donc seins nus devant elle, et tandis qu'elle s'apprêtait à me retirer mon jean, je lui pris les mains et les posa sur mes seins. Je savais qu'elle aimait me caresser les seins, et elle ne se le fit pas prier, pendant que je faisais glisser mes mains sur se hanches, pour arriver sur sa culotte. Je glissais mes mains à l'intérieur pour les poser sur ses fesses, qu'elle avait bien ferme. Je fis descendre cette culotte sur le haut de ses cuisses, juste assez pour découvrir son sexe fourni. Elle me retira mon jean, voulant à son tour profiter de mon corps. Pas un mot n'! avait été échangé, mais nous nous connaissions assez bien pour ressentir les envies qu'éprouvait l'autre. Après que j'ai également retiré mes chaussettes, elle me fit me tourner, de manière à ce que je lui tourne le dos. Elle fit glisser ma culotte le long de mes jambes, en me caressant tendrement tout du long. Elle retira ensuite la sienne, entra dans le jacuzzi et s'y plongea entièrement, ne aissant dépasser que la tête. La mousse qui flottait à la surface de l'eau m'empêchait de bien la distinguer, mais je pus apercevoir néanmoins ses jambes qui s'écartaient en signe d'accueil, tandis que sa main droite se dirigeait vers son sexe avide de plaisir.

J'entrais à mon tour dans le jacuzzi, me mis dos à elle, et descendis progressivement dans l'eau brûlante pour m'asseoir entre ses jambes. Sa main gauche se dirigea vers l'endroit où j'allais m'asseoir, et elle présentit un doigt tendu qu'elle posa contre mon anus. Je continuais mon geste, et son doigt s'enfonça progressivement en moi, tout een douceur. Au lieu de m'asseoir, je me mis sur les genoux entre ses jambes, offrant ma croupe à ma partenaire. Gardant un doigt enfoncé dans mon cul, son autre main m'attrapa le sein droit, et elle commença à me caresser, en titillant mon téton du bout du doigt, qui ne tarda pas à se dresser. Je restais un moment ainsi, offerte à ma compagne qui me caressait au rythme de la douce musique que diffusait le haut-parleur. Le plaisir montait doucement en moi, lentement mais inexorablement, un plaisir que l'on ne peut pas interrompre, qui monte comme la marée qui atteindra le rivage, quoi qu'il arrive. Sa main quitta mon téton pour se diriger v! ers mon sexe. Elle en caressa la fine toison qui commençait à repousser, et ce faisant, elle introduisit un deuxième doigt dans mon anus, en douceur, en veillant à ce que je ne souffre pas.

Je commençais à être sérieusement excitée, et ma copine en profita pour me caresser le clitoris. Je m'agrippais des deux mains sur le bord du jacuzzi, et atteignit un orgasme puissant, que j'accompagnais d'un cri de plaisir. Un peu essouflée, je me tournais vers elle, et posant mes lèvres sur les siennes, je l'embrassais, la remerciant de m'avoir donné ce plaisir. Je m'écartais légèrement, et ma main plongea dans l'eau pour aller à la rencontre de son sexe. Le fait de me voir jouir l'avait excitée, et son clitoris était tendu. Je le caressais entre mes doigts, devenus habiles en la matière. Ses cheveux retombaient sur ses épaules, qui dépassaient légèrement de l'eau, et l'on pouvait deviner la courbure de ses seins à travers la mousse. Au fur et à mesure que je la caressais, je voyais le plaisir s'installer sur son visage, prenant des expresions que connaissais bien, et elle passait fréquemment sa langue entre ses lèvres, la bouche entrouverte, signe chez elle d'une jouissance! imminente. Je fis glisser mon index en elle, le pouce caressant toujours con clitoris. Elle n'en pouvait plus, et elle jouit à son tour, en poussant un feulement de plaisir.

Je sortis du jacuzzi et étendit ma serviette par terre. L'atmosphère était lourde, chargée d'humidité. Je proposais à ma copine un petit massage, et je pris une bouteille d'huile odorante dans mon sac à dos tandis qu'elle s'étendait sur le ventre sur ma serviette. Je laissais couler quelques gouttes d'huile le long de sa colonne vertébrale, de la nuque jusq'au creux des fesses. Je l'appliquai ensuite avec délicatesse, en commençant par ses épaules. Je m'attardais près de son cou, puis descendit le long des hanches. Je lui caressai ensuite les fesses, en déposant de temps en temps un baiser sur cette partie charnue de son corps. Je glissais ma main entre ses fesses, les écartant légèrement pour pouvoir distinguer son anus. Je passais et repassais mon doigt dessus, jusqu'à ce qu'elle soulève ses hanches pour m'inciter à y pénétrer. Je m'accroupis alors derrière elle, et posant mes deux main sur ses hanches, je commençais à lui chatouiller l'anus de ma langue. Je tendis mes bras ! pour lui caresser le contour de ses seins, tandis que ma langue forçait peu à peu le passage de son intimité. Je passais ensuite une main entre ses jambes pour atteindre son sexe, que je sentais humide de plaisir. Elle se retourna ensuite, se mit sur le dos, et écarta les jambes à mon attention. Je me relevais, plaçais mon sexe au-dessus de sa bouche et m'allongeait sur elle pour faire un 69. Ses poils pubiens me passaient entre les lèvres pendant que j'embrassais son sexe. De son coté, elle avait déjà dardé sa langue en moi, et cela me faisait un certain effet. Elle mouillait et j'aspirais son jus, sans en laisser une seule goutte. Nous continuâmes jusqu'à ce que nous jouissions quasiment simultanément, la jouissance de l'une amenant l'autre à l'orgasme.

Nous nous sommes ensuite embrassées longuement, comme nous avons appris à le faire depuis le début de notre relation. Nous avons récupéré nos affaires, et nous sommes parties après nous être rhabillées.

 

Expérience à la montagne:

Voilà, j’avais accepté de partir avec mon père et mon petit frère au club med dans les Alpes. Je me trouvais un peu âgée pour ce genre de vacances familiales. À dix-neuf ans, j’étais plutôt portée sur les escapades entre potes, mais j’avais besoin de changer d’air, la session d’examen en HEC ayant été particulièrement rude et assassine… J’avais peur aussi… J’appréhendais de laisser Charlie tout seul. En une semaine, j’étais sûre que mon copain allait être tenté d’aller voir ailleurs. Quand j’étais avec lui, je me savais assez jolie pour faire fuir toute concurrence mais une fois partie, je ne donnais pas cher de notre fragile relation toute naissante et d’autant plus délaissée par ma session d’exam. Charlie était grand, musclé, mais finement, et avait ce sourire à tomber par terre. Même certaines de mes copines avaient des vues sur lui !

Nous arrivions à l’hôtel que déjà je regrettais ma décision.

Le lendemain, sur les pistes de ski, je pensais déjà moins à lui. Mon père et son rejeton étaient très rapides, le soir j’étais cassée. Nous rencontrâmes des amis à mon père et fûmes invités à souper à leur table. Je les détaillai du regard. Deux couples, la quarantaine, chacun avec des enfants en bas âge. Mon regard se porta sur la femme du second couple. Elle était particulièrement attirante, elle avait un regard de velours et froid à la fois. Ses beaux yeux bleus parfaitement maquillés de noir contrastaient avec son sourire charmeur et
taquin. Elle croisa mon regard et me sourit. Je lui rendis son sourire et elle engagea la conversation. J’appris qu’elle s’appelait Caroline. Elle me demanda des banalités, ce que j’aimais dans la vie, ce que j’étudiais, si j’avais un copain. Je lui parlais de Charlie. Elle continua à s’intéresser à moi. Je l’entendais mais n’écoutais plus ce qu’elle disait, je regardais juste sa bouche…

—  Olivia ?

Sa voix légèrement mutine me rappela à l’ordre.

—  Tu as l’air fatigué, ajouta-t-elle.

Elle me fixa de ses yeux pénétrants. Essayait-elle de m’intimider ?

—  Oli a un peu du mal à nous suivre, surenchérit mon père.

Caroline arrêta de me regarder, parla avec mon père d’affaires immobilières. Comme je luttais contre le sommeil, je finis mon verre de vin, souhaitai une bonne fin de soirée et montai dans ma chambre me coucher.

Le lendemain, nouvelle journée de ski éprouvante, mais je commençais à être plus à l’aise. J’avais pris de jolies couleurs, le soleil faisait ressortir mes yeux verts.

Le soir, on ne mangea pas avec les deux autres familles, mais une fois leurs enfants couchés, Caroline et ses amis descendirent nous rejoindre dans le bar lounge de l’hôtel. Elle était mince, élancée, habillée avec un jean slim noir, des talons et un top noir et blanc, sobre.

Son mari était resté dans la chambre, prétextant des maux de tête. Sans doute avait-il abusé de vin ? Caroline voulut danser mais son amie ne souhaitant pas l’accompagner, je me proposai donc :

—  Moi j’ai envie de danser, je viens avec toi si tu veux.

Elle me répondit par l’affirmative avec son sourire enjoué.

On n’arrêtait pas de faire des aller-retour piste de danse, bar, pour boire des whisky-coca. Et l’alcool commença à me monter à la tête. Je m’amusais bien avec elle, elle était marrante et me montra des mouvements de danse un peu ringards mais je ris de bon cœur. Elle se rapprocha de moi et me demanda :

—  Tu ne veux pas qu’on sorte prendre l’air ?

J’avais chaud, je n’eus pas besoin d’y réfléchir. J’acceptai sa proposition. On enfila nos vestes. Une fois dehors, on s’assit sur un banc, l’hôtel donnant sur les pistes, la vue était vertigineuse. Elle recommença à me parler de choses et d’autres, de sa vie, de son métier. Je buvais ses paroles, elle m’enivrait.

Puis elle sortit un joint de sa veste. J’étais sidérée : comment une femme comme elle pouvait-elle fumer ?

—  Tu le partages avec moi ? me lança-elle d’un air amusé.

—  Oui, pourquoi pas ?

La soirée prit une tournure bizarre.

Elle l’alluma, fuma pendant trois bonnes minutes. J’attendis qu’elle me le passe mais, apparemment, elle n’avait pas la même notion du partage que moi… Elle aspira une dernière bouffée, mais ne l’expira pas. Je tendis finalement la main pour prendre le joint mais elle l’écarta de ma portée, comme par défi. Elle
me sourit un instant, me regarda droit dans les yeux. Elle se rapprochait lentement de mon visage, et quand elle fut à quelques centimètres de mes lèvres, elle expira tout doucement. Voyant où elle voulait en venir, j’entrouvris la bouche.

Je sentis la douce fumée m’envahir dans la froideur de la nuit. Elle effleura ma joue avec sa main libre, descendit vers ma nuque puis remonta vers mes cheveux où elle resserra son emprise. J’eus des frissons partout. Je sentis sa langue humide passer sur mes lèvres puis s’introduire dans ma bouche, pour
entrer en contact avec la mienne. Elle était chaude. Tout cela avait l’air tellement naturel, je voulus lui montrer que j’appréciais. Je me penchai vers elle en m’appuyant tout doucement pour lui suggérer de se coucher. Je m’allongeai sur elle, passant ma main dans ses longs cheveux auburn. Je sentis ses mains tièdes sous ma veste, courir sur mon corps pour s’attarder sur mes seins, et elles descendirent lentement mais irrémédiablement vers mon jeans. Ce fut délicat, agréable et je n’avais jamais connu ce genre de douceur auparavant.

Soudain mon téléphone vibra. Je me libérai à contrecœur de l’étreinte de Caroline. C’était mon père.

—  Olivia, où es-tu ?

J’hésitai…

—  Je suis partie prendre l’air.

—  Toute seule ?

Caroline m’embrassait dans le cou, j’eus du mal à paraître naturelle, elle m’excitait.

—  Euh… oui, j’arrive ! m’entendis-je répondre d’une voix perturbée.

Je raccrochai.

—  Caroline, je…

—  Vas-y !

Je pensai à Charlie, je faisais exactement ce que je ne voulais pas qu’il me fasse. Je me levai brusquement, sans rien dire… Je la laissai là, sur le banc.

Trois jours passèrent sans que je n’eusse de nouvelles de Caroline. Je l’évitais mais je ne pouvais pas m’empêcher de penser à elle et en même temps, je culpabilisais par rapport à Charlie.

Les journées de ski étaient revigorantes.

Charlie m’appela.

—  Salut Oli, comment vas-tu ?

—  Bien, et toi ?

—  Ça va, tu me manques un peu.

—  Toi… aussi, mentis-je.

Je lui racontai mes journées en prenant soin de ne pas mentionner Caroline. Ce fut le seul coup de fil de lui que je reçus.

On approchait de la fin du séjour. Caroline occupait toutes mes pensées, et j’élaborais un plan pour me retrouver seule avec elle. Je savais qu’à partir de 4 h, elle faisait une sieste, ses enfants étant à la garderie et son mari partant se balader pour acheter le journal et boire un café.

J’allai donc frapper à la porte de sa chambre.

—  Qui est-ce ?

—  C’est Oli

—  Entre !

Je franchis la porte, elle était installée sur le lit, elle referma son portable et me dit le plus naturellement du monde :

—  Déshabille-toi !

—  Pardon ?

—  Je rigole, détends-toi !

J’étais toujours debout devant le lit.

Elle s’approcha, s’assit sur le bord, face à moi, elle souleva mon pull et m’embrassa sur le ventre, un baiser tiède et humide.

—  Qu’est-ce qui t’amène ?

Je ne sus quoi répondre.

Elle recommença plus bas. Je n’osais plus bouger.

—  Ça te plaît ?

—  Oui.

Elle continua à m’embrasser et tira ma jupe vers le bas. Elle effleura de ses mains mes lèvres à travers mon string. Elle m’attira contre elle, j’étais assise à califourchon sur elle. Je l’embrassai et je perdis le contrôle. Elle continua à me caresser, de plus en plus insistante.

Puis elle s’arrêta net, se dégagea de moi, me dit avec un grand sourire qu’elle devait partir.

—  Rhabille-toi et ferme la porte en partant, me lâcha-t-elle finalement, et elle s’en alla.

Je restais là un moment, pantoise. Pourquoi avait-elle réagit comme ça ?

Je sortis de sa chambre et marchai vers la mienne, je réalisai que j’avais agi plus ou moins inconsciemment de la sorte trois jours plus tôt…

Le lendemain soir, nos familles soupèrent de nouveau ensemble. Je m’installai expressément à côté d’elle. Elle se tourna vers moi et me demanda si j’avais passé une bonne journée.

—  Excellente ! Et toi ? (je ne voulus laisser apparaître aucun trouble).

—  Ça va ! J’ai quelques courbatures. As-tu eu tes résultats d’examens ?

—  Non, mais je pense que tout a bien été.

—  Et ton copain, tu as des nouvelles ?

—  Pas vraiment.

—  Pourquoi ? Quelque chose ne va pas ?

—  Je n’en sais rien, de toute façon j’ai quelqu’un d’autre en tête.

—  Tu as rencontré quelqu’un ?

—  Oui.

—  Où est-il ?

Je haussai un sourcil.

Elle comprit parfaitement.

Elle commença à parler avec le mari de son amie et je profitai de ce répit pour glisser ma main sur son genou.

Je remontai entre ses cuisses. Surprise, elle s’arrêta brièvement de parler puis reprit le cours de sa conversation. Je m’insinuai sous sa ceinture. Je guettai sa réaction. J’introduisis un doigt dans sa chatte tout en effleurant son clitoris. Elle trébucha sur ses mots.

Je ne pus m’empêcher d’esquisser un sourire. Je continuai à la doigter.

Cette belle femme mouillait de plus en plus.

Les autres attablés ne se doutèrent de rien, ce qui rendit la situation encore plus excitante.

Mais elle tint bon et le souper toucha à sa fin. Je voulais qu’elle jouisse là, maintenant, que son trouble soit plus perceptible. Je me penchai vers son oreille pour lui murmurer discrètement :

—  Je voudrais passer la nuit entière à t’embrasser partout, à te lécher jusqu’à ce que tu n’en puisses plus.

Elle se crispa, retira ma main…

—  Pas ici ! soupira-t-elle.

Je posai un de mes doigts humides sur ma bouche, je voulais qu’elle sache à quel point je la désirais.

Elle me regarda faire, étonnée.

Elle me donna rendez-vous dans un petit chalet, sur les pistes, le lendemain après-midi.

Le lendemain, après avoir mangé avec mon père et mon frère dans un resto en altitude, je trouvai donc une excuse toute faite et je me rendis au petit chalet. J’étais un peu en avance parce que je ne savais pas exactement le temps que ça me prendrait pour parvenir à ce chalet. Il était bien isolé du reste des pistes et avait l’air inhabité.

Je déchaussai mes skis, et m’assis dans la neige. J’attendis, un peu stressée, et je la vis arriver.

—  Alors, as-tu trouvé facilement ?

—  Non, pas vraiment, l’endroit est plutôt désert, c’est pas dangereux ?

—  Tu me trouves dangereuse ? (Encore en train de se payer ma tête…)

—  Ha ha, je voulais dire en cas d’avalanches ou quoi…

—  Ne t’inquiète pas ce chalet est très solide.

Elle avait enlevé ses lunettes de soleil et se dirigea vers la vieille bâtisse, je la suivis. Une fois à l’intérieur, je refermai la porte derrière moi.

Il faisait chaud, et pour cause, un feu de bois crépitait dans la cheminée. Y était-elle déjà passé ce matin ?

—  Qu’en penses-tu ? Plutôt cosy non ?

—  C’est très sympa.

—  Ça appartenait à mes grands-parents.

Elle se rapprocha de moi, me prit par la taille. Je sentis son souffle chaud mentholé. Elle m’embrassa dans le cou puis sur les lèvres. Elle colla son corps contre le mien, je sentis ses seins contre les miens, elle me guida vers les divans sans décoller ses lèvres des miennes.

Qu’est-ce que j’aimais ça !

J’enlevai mon haut, elle passa ses mains partout sur mon corps. Elle caressa la moindre parcelle de ma peau. Je fus bientôt nue, elle descendit, puis remonta à coups de baisers frais qui me firent frissonner. Je ne savais jamais prédire où elle allait. Je sentis ses cheveux balayer ma peau. Puis sa langue humide et
pointue s’aventura entre mes jambes.

Je perdis pied, je gémis, elle me lécha et je sentis en même temps ses doigts m’emplir. Je jouis, elle remonta vers moi, et on se blottit l’une contre l’autre, silencieuses.

Une heure après, on quittait le chalet. C’était mon dernier jour de ski avant le retour à la métropole.

Le soir même, par chance on se croisa dans l’ascenseur, un long baiser s’en suivit, on échangea nos numéros, mais je ne sais pas pourquoi, je n’ai jamais osé l’appeler…

Mordues de sexe:

J’habite dans une vieille maison dont, avec mon mari, nous habitons les deux premiers niveaux. Pourtant, au second, un ancien appartement existe toujours. Une chambre est encore meublée de deux grands lits : une bonne place pour nos amusements entre femmes. Comme c’est à mon tour de recevoir mes amantes, j’arrange sommairement les lits. J’y pose deux godes sur chacun, sachant que nous en aurons besoin pour nous enculer. Un coup d’aspirateur : tout est nickel pour ma réception.

Dès 14 heures 30, la blonde Julie est là, fidèle à nos rencontres. Nous nous embrassons sur la bouche. Elle met sa main sur ma chatte en insistant. Comme je suis nue dessous, elle peut me caresser le bouton si elle veut. Moi, j’en fais autant. Si, à nos débuts, elle n’aimait pas tellement la sodomie, elle y a pris goût. Je relève l’arrière de sa jupe pour passer un doigt entre ses fesses pour aller dire bonjour à son anus. Je ne force pas de tout ; je caresse simplement, disons que je lui branle le cul. Elle sait ouvrir son orifice : elle me l’offre carrément. Je peux entrer, à sec, plus de la moitié d’un doigt.
Je dois lui faire du bien puisque sa langue entre au fond de ma bouche, et que sa main commence à me branler aussi.
Un coup de sonnette arrête nos effusions. Ce sont les retardataires, Michèle et Danielle. Nous nous embrassons toutes sur la bouche. Nous buvons vite un café avant de monter dans la chambre.
– Enfin, dit Michèle, deux lits ! Nous pouvons nous aimer dans le luxe…
– Qui commence aujourd’hui ? demande Julie.
Je ne dis rien ; j’aimerais commencer par Michèle. Je l’embrasse pour l’emmener sur le lit. Nous sommes vite nues, les quatre filles. J’ai envie de Michelle parce que la dernière fois nous ne nous sommes pratiquement pas fait l’amour. J’ai un besoin profond de sa langue sur ma chatte. Les deux autres nous laissent faire comme nous voulons.
Si j’ai envie de Michèle, c’est aussi à cause de son goût de cyprine prononcé. Nous sommes réunies par les contacts de nos seins qui se caressent sans cesse. Nous frottons nos pubis avant de poser nos mains sur nos chattes. Celle de mon amante est totalement mouillée ; plus que la mienne, je suppose. Nous nous branlons rapidement, juste comme entrée en matière. J’aime bien le plaisir que Michèle me procure. Malheureusement, elle cesse vite de me masturber. J’en suis déçue, moins quand elle se retourne. Elle me donne sa chatte sur la bouche. Pour la première fois, nous allons les unes ou les autres faire des 69.

Si j’attends qu’elle commence, après tout, c’est elle qui a voulu ça ; je ne me gêne pas pour la lécher. Je ferme les yeux ; c’est efficace de se faire sucer et de sucer soi-même la partenaire. Si sa langue est dans mon nid, la mienne est sur son anus. J’y remets un doigt avant d’en ajouter un autre. Pour une fille qui n’aimait pas se faire sodomiser, elle accepte bien maintenant ce genre d’exercice !

Je suis gênée par quelque chose : les deux godes sont encore sur le lit. J’en prends un pour m’en servir. Je remplace mes doigts par le gode que je plante lentement dans le rectum de mon maîtresse du moment. Elle me laisse faire en se plaignant beaucoup selon le plaisir qu’elle ressent. J’aime la faire jouir ainsi ; je sens ses orgasmes autour de ma langue. Moi aussi je pars là-bas où se trouve le paradis des nymphes.

À côté, nos deux copines baisent sans limites ; elles aussi sont en 69. Elles ont trouvé aussi les godes, elles les ont dans le cul. Comme nous. Mais Danielle, certainement la plus dévoyée de nous, a une autre idée. Elle a vu un film porno où les filles se baisaient clitoris contre clitoris.
Elle veut essayer la chose. Michelle et moi regardons le couple faire. Elles sont presque assises, les jambes ouvertes, mêlées même. Michelle arrive je ne sais trop comment à frotter son sexe contre celui de notre amante commune. Elles ne restent pas si longtemps que ça avant que Julie, celle qu’elle baise, pousse des cris de jouissance. Julie crie toujours quand elle a un orgasme.
Je réclame moi aussi cette façon de faire. Michèle est d’accord avec moi qui lui laisse prendre la direction, comme souvent. Je suis obligée de me tortiller avant de sentir enfin son con contre le mien. Je reconnais que c’est agréable et efficace. Nous arrivons à jouir encore une fois ensemble. 

Nous arrêtons pour notre instant de repos, une récréation pendant laquelle nous racontons nos baises avec nos maris ou amants. Nous n’avons qu’à nous féliciter des bites qui nous pénètrent. Nous évoquons tellement que nous recommençons à mouiller.

C’est moi qui propose un jeu totalement différent : nous allons nous fister. Chacune sait de quoi il s’agit. Nous sommes comme des gamines à qui on a promis une sucrerie.
Danielle propose, puisque c’est moi qui ai déjà vu des fists, de le faire aux autres. Nous sommes trois ; je ne vais quand même pas fister la bande à moi seule ! En plus, j’aimerais bien avoir une main dans mon sexe. Tant pis pour moi. Je me donne en spectacle en commençant par Michèle qui ouvre ses cuisses largement. Je lèche d’abord son cul par gourmandise avant de poser trois doigts dans son con ouvert. Les autres regardent avec intérêt ce que je fais. J’entre les autres doigts sans trop appuyer. L’ouverture de sa chatte est bien élargie. J’enfonce encore, presque jusqu’à mi-bras. Michèle geint d’une façon différente quand je commence à faire tourner ma main à l’intérieur de son ventre. Je sens rapidement ses orgasmes qui me semblent plus forts et longs.

Je suis à quatre pattes pour bien réussir mon fist. Je suis à moitié étonnée de recevoir deux doigts dans mon con. Je me doute de la suite. C’est Danielle qui commence elle aussi à me fister. Je la laisse faire, tant je trouve que c’est bon, douloureux à peine au début et divin ensuite. La dernière des filles, emportée par le désir, commence à me caresser le cul. Je pense que, quitte à commencer, autant aller à fond. J’ouvre le plus possible mon cul ; elle se charge d’elle-même d’entrer également toute sa main, moins profond que dans mon con.
Ce n’est plus une double pénétration : c’est un double défonçage ! Et quelque chose de si jouissif que je ne retiens pas mes orgasmes. Quand Michèle me demande d’arrêter – ce que je fais – je reste encore avec deux mains dans mon ventre. Je n’ai pas envie de cesser. Je sens la main dans mon cul tourner complètement. C’est donc Julie qui, gentiment, me demande de la branler. J’aurais préféré la fister. Non : une simple masturbation lui suffit.
J’ai l’orgasme de ma vie quand je jouis, tellement bien que je voudrais continuer. Malheureusement les deux mains sortent de mes trous. Je reste comme orpheline de quelque chose.

Le temps a tourné ; mon mari risque de rentrer. Il nous faut donc redescendre au salon pour y faire bonne figure devant mon époux qui entre à cet instant. Il dit bonjour à la cantonade, m’embrasse sur la bouche, sans la langue.
Je ne sais pourquoi nous éclatons de rire ensemble : le risque du danger d’être surprises pendant nos baises, sans doute.

J’ai encore mal au cul...

 

 

Esclave de mes filles:

Je me prénomme Monique et j’ai eu 50 ans il y a peu de temps. Je suis brune, cheveux courts, 1m65 pour 55kg, un corps ferme avec des seins en forme de poire et de longs tétons. Je suis mariée depuis 30 ans à Jean-Paul et j’ai 2 filles de 25 et 23 ans; Esther et Marie. Mon mari est officier supérieur dans l’armée de terre et de fait doit s’absenter très régulièrement.

Jean-Paul était donc parti pour quelques jours il y a six mois quand je dus rentrer à la maison plus tôt que prévu. Je vis bien qu’il y avait quelque chose d’inhabituel car quand je suis arrivée, il n’y avait aucun bruit alors que je savais mes filles à la maison. Après avoir posé mes affaires, je suis montée à l’étage sans faire de bruit et en m’approchant de la porte de la chambre de ma cadette, j’entendis des gémissements. J’entrouvris la porte doucement et là, je suis restée tétanisée par ce que je vis: Esther était nue à genoux, les fesses bien en l’air sur le lit pendant que sa sœur était derrière elle et la pénétrait bien à fond avec un gode ceinture. Après le moment de stupeur passé, je me suis avancée en criant:
«Non mais ça va pas!... Arrêtez ça tout de suite!... Attendez que je le dise à votre père!...».
Au lieu d’être honteuse ou autre chose et après la surprise de mon intrusion dans la chambre, Marie me toisa et argumenta sur leurs goûts auxquels je ne comprenais rien. Mais devant mon intransigeance, Marie et Esther me bousculèrent vers le lit où je fus jetée sans ménagement.
«Alors comme ça, maman, tu veux tout raconter… Et bien on va te faire voir que tu te trompes sur les lesbiennes… Allez Esther !... Aide-moi !... Elle va aimer ça après !...».
Mes filles m’arrachèrent mes vêtements tandis que je me débattais tant bien que mal. Voyant que je n’aurais pas le dessus, je me mis à hurler mais Marie me mit dans la bouche une balle en caoutchouc qui tenait avec une lanière en cuir attachée derrière la tête. Elles me menottèrent dans le dos puis se mirent à me lécher les seins en me mordillant mes pointes qui durcirent immédiatement.
«Regarde Marie!... T’as vu comme elle a les seins qui pointent!... Ses tétons doivent faire plus d’un centimètre… Et bien maman… Tu verrais tes tétons… Hhhmmm qu’ils sont beaux!...».
Tandis que leurs langues et leurs lèvres s’acharnaient sur mes seins, Marie me caressa l’intérieur des cuisses puis sa main se faufila sur mon sexe qu’elle se mit à branler doucement. Elle fit entrer 2 doigts en moi et se mit à me branler de plus en plus vite, jusqu’à ce que je jouisse malgré moi. Marie se positionna entre mes jambes et malgré mes protestations, me pénétra avec le gode ceinture qu’elle n’avait pas quitté. Je sentis passer le gland en caoutchouc et tandis que je me mettais à pleurer, ma fille commença à me limer en cadence comme un homme. Elle prit son temps, me pénétrant bien à fond en donnant de grands coups de rein, puis elle changea de position avec sa sœur. Esther avait enfilé un gode ceinture encore plus gros que celui de sa sœur et me reprit dans ma chatte toute humide. Marie me caressait doucement le clitoris tandis que sa sœur accéléra ses mouvements jusqu’à me faire crier de jouissance une nouvelle fois.
«Et bien maman… Tu vois que tu commences à aimer… Quand on va en avoir fini avec toi; tu seras une vraie lesbienne, tu verras… Allez Marie… C’est de nouveau à toi!...».
Marie me retourna afin de me prendre en levrette, les fesses bien en l’air pendant que sa sœur appuyait mes épaules sur le lit. Ma fille se cala entre mes jambes, elle m’attrapa par les menottes avant de se déchaîner en me pistonnant la chatte à toute vitesse, ce qui me fit couiner de plaisir malgré la balle en caoutchouc dans ma bouche. Esther quitta la chambre et revint 5 minutes plus tard pour dire à sa sœur que tout était prêt… Les filles me mirent debout et nous prîmes la direction de ma chambre. Je vis qu’Esther avait ouvert mon lit, installé un trépied juste à côté avec un caméscope dessus, prêt à filmer.
«Maman; on va faire du cinéma!... Ca va être un bon film...Tu vas devenir une vedette… ».
Je regardais mes filles avec incrédulité, ne voulant pas croire à ce que je voyais, puis j’essayais de me rebeller. Marie me fit tomber sur mon lit pendant que sa sœur enclenchait le caméscope. Mes 2 filles me mirent une fessée, m’arrachant des gémissements de souffrance, puis l’une d’elle me repositionna en levrette et réinvesti mon sexe trempé. Marie me lima un bon moment avant d’être remplacée par sa sœur et ainsi de suite. Ma fille ainée se coucha après sur le dos et je fus contrainte de l’enjamber pour qu’elle me reprenne dans la chatte.
Je n’avais pas vue Marie prendre un tube de gel et je compris trop tard où elle voulait en venir quand je sentis du liquide s’insinuer dans la raie de mes fesses. Ses doigts s’attardèrent sur ma rondelle qu’elle caressa avant d’y enfoncer un doigt, puis un deuxième. Elle les fit aller et venir, m’assouplissant l’anus, puis elle se positionna derrière moi et alors que je gémissais de douleur, je sentis son gland contre ma rosette puis la pénétration terrible que je subissais…
«Et bien maman… Tu vas pas me dire que papa ne t’a jamais enculée?... Détends-toi!... Lààà… Tu vois, ça passe tout seul!... Tu vas aimer tu vas voir!... Hmmmm!... Quel cul!...».
Elle donnait de petits coups de rein et à chaque poussée, son faux sexe allait plus loin dans mes fesses. Quand elle fut au fond de mon cul, elle donna le signal à sa sœur et toutes les deux de déchaînèrent en même temps, me faisant gémir de nouveau. Marie se retira, m’aida à me mettre debout sur le lit, puis m’ordonna de me mettre accroupie au-dessus de sa sœur en lui tournant le dos. Esther qui était restée allongée sur le dos, sa fausse bite dressée à la verticale, n’eut qu’à guider le mandrin pour me le réenfiler dans le cul. Ma fille aînée m’attira contre sa poitrine tandis que sa sœur me retirait la balle en caoutchouc de ma bouche. J’essayais de nouveau de raisonner mes filles malgré mes pleurs mais rien n’y fit. Marie me prit les chevilles puis me releva les jambes tout en les écartant, après quoi elle entra son gode dans ma chatte. Mes 2 filles allaient et venaient dans mes trous et je n’arrêtais pas de jouir. Je me mis à crier sans discontinuer jusqu’à ce que Marie se penche vers moi et me roule une pelle, me clouant le bec. Mes filles me firent rouler sur le côté, toujours menottée dans le dos. Marie arrêta le caméscope, le décrocha du trépied tandis que sa sœur s’harnachait un gode ceinture encore plus gros que le précédent ; celui-ci devait faire 25cm de long pour 6cm de diamètre. Esther m’emmena au salon et elle s’assit sur le canapé, la fausse bite dressée comme un I. Marie m’ordonna de monter sur le canapé puis de mettre un pied de chaque côté de sa sœur tout en lui tournant le dos. Là aussi, je dus m’accroupir lentement pendant qu’elle filmait face à moi. Esther me tenait les fesses bien écartées aussi le gland se positionna tout seul sur ma rosette. L’énorme engin eut quand même du mal à entrer mais dès que l’extrémité fut dans mon cul, Esther appuya sur mes épaules, me forçant à m’asseoir sur son gode. Marie qui n’en perdait pas une miette avec le caméscope apprécia la scène et m’encouragea:
«Super maman… Allez!... Bouge bien!... Vas-y!... Remue ton cul!... Oui ; c’est bien!...».
J’étais accroupie sur ma fille, les jambes largement écartées avec le gode fiché dans mon cul jusqu’à la garde. Esther mit ses mains sous mes fesses et imprima ses mouvements, me faisant monter et descendre de plus en plus vite sur le gode monstrueux, jusqu’à ce que je cris de nouveau un orgasme. Mes filles me laissèrent me calmer puis Marie prit la parole:
«Maman!... J’espère que t’as compris que c’est nous qui commandons!... T’as pas intérêt à parler de ça à quiconque sinon je mets le film que j’ai fait sur internet; t’as compris?... Désormais, tu nous appartiens et tu devras nous obéir!... Allez ; on va se coucher!...».
Les filles me retirèrent les menottes, et après être passées aux toilettes et sous la douche, on alla se coucher toutes les 3 dans mon lit conjugal où je m’endormis immédiatement…  

Elle:

Je la veux c’est certain, mais plus que tout, je désire la voir soumise, offerte. Qu’elle me succombe enfin. Je m’approche d’elle. Nos regards qui, si souvent se fuient, sont cette fois comme aimantés. Je plonge en elle pour mieux la posséder. Dans ses yeux, peur et excitation se bousculent. Je sais que si je ne fais pas le premier pas, elle n’osera pas venir à moi. En revanche, elle se laissera prendre si je m’impose.

 

Je suis si proche d’elle que je sens son doux parfum qui m’effleure. Je me penche. Légèrement halé et parfumé, son cou recèle des trésors d’érotisme. Dans le creux, mon nez la fouille et hume doucement ses effluves. Elle frissonne. Je remonte lentement vers son oreille et lui susurre que je rêve de l’embrasser. Elle ne dit rien, ne bouge pas. Elle attend que je prenne l’initiative, que je la prenne tout court. Je regarde sa bouche. Elle me fait envie depuis si longtemps… L’embrasser, la lécher, la caresser. Ma bouche avide cherche le contact de la sienne. Ma langue veut la fouiller, la pénétrer. Je me lance. Nos lèvres pressées, d’abords gênées trouvent rapidement leur rythme. Ma langue vient chercher la sienne presque instantanément. [Combustion spontanée]. Ce baiser m’enflamme, une douce chaleur envahit mon bas ventre et je sens une violente contraction de plaisir étreindre mon sexe. Je mouille déjà.

Je la veux, là tout de suite, maintenant ; mes baisers se font pressants, avides, goulus. Je veux la dévorer, la voir jouir sous mes coups de langue. Mes mains courent le long de son corps. Je l’empoigne, la colle contre moi. Je sens maintenant ses seins, lourds, pressés contre moi. Mes doigts passent dans ses cheveux, défaisant l’élastique qui les retient. Je caresse son cou, sa nuque, puis je me glisse sous son t-shirt. D’abord son dos. Sa peau est douce, magnifique. Je respire fort, elle aussi. Nos baisers sont affamés. Nos bouches cannibales. Mes mains passent doucement sur son ventre, si tendre. Enfin j’atteins sa poitrine généreuse. Une deuxième vague de plaisir m’inonde. Je suis trempée.

Je saisis ses seins fermement, les masse, les titille. Je lui retire son t-shirt. Exposée, je la sens confuse, partagée entre le désir et la gêne. Je la caresse à travers son soutien gorge, puis « extirpe » ses seins sans lui ôter sa lingerie. Délaissant sa bouche quelque instants, je m’empresse de sucer ses tétons. Au premier coup de langue je l’entends pousser un soupir de plaisir. Je vois dans ses yeux que toutes ses barrières viennent de tomber. Tantôt doux, tantôt voraces mes coups de langue achèvent de faire pointer ses tétons. Mes mains s’emparent de ses seins tandis que je remonte vers sa bouche pour l’embrasser profondément. Je lui dis qu’elle m’excite, que j’ai envie d’elle. Elle me sourit, me susurre qu’elle en a envie aussi. Ma main descend le long de son ventre, j’arrive à son jean, je défais les boutons en 2 secondes. Je l’installe confortablement sur le canapé et me glisse entre ses jambes. J’effleure son entrejambe à travers son jean. Elle gémit doucement. Ma main se fait plus pressante et je sens que son bassin ondule de façon imperceptible sous mes caresses. Je lui dis d’enlever son jean, elle s’exécute sans attendre.

Je me retrouve maintenant face à face avec sa culotte mauve et …humide. Je pose d’abord ma paume sur son sexe chaud. Je la masse. Ses yeux sont maintenant affamés. Ses gémissements plus intenses. Très vite, je lui retire sa culotte pour mieux la branler. Sa chatte est entretenue, les lèvres judicieusement épilées. Mes doigts sont couverts de sa mouille. Je les lèche ; sa mouille est délicieuse.

Je me presse entre ses jambes. Ma bouche dévore d’abord son clitoris. Court et gorgé de sang. Ma langue le parcourt encore et encore. L’encerclant, l’assaillant de coup plus ou moins fort. Je descends vers ses lèvres, les écartent. J’admire sa vulve trempée de désir et lèche avec délectation sa chatte offerte. Elle ondule de plus en plus. Ses soupirs m’excitent et me stimulent. Ma langue tendue la pénètre. Je vais le plus loin possible dans son vagin. Je lui murmure : « Tu aimes ce que je fais ? », Elle répond d’un oui étouffé. « Dis le plus fort ! Dis moi que tu veux que je te baise ! ». Toujours dans un soupir elle me dit qu’elle ne peut pas dire ça. Je remonte vers elle et lui susurre : « dis-moi à l’oreille que tu veux que je te baise avec mes doigts ! ». Elle hésite puis me chuchote : « baise moi… fais moi jouir ! ». Je la regarde, sourit, l’embrasse passionnément avant de reporter mon attention à sa chatte. Quelques coups de langue avides puis j’enfonce un doigt puis un deuxième et je commence un lent va-et-vient. Inondée, complètement dilatée, le frottement de mes mouvements et de sa mouille produit un bruit qui m’excite au plus haut point.

« Tu aimes ça ? …Dis le ! » « OUI ! » crie-t-elle. Je sors mes doigts trempés et lui fait lécher. Elle le fait lascivement. Je les replonge dans sa chatte et la baise sans ménagement. Haletante, son corps se tend, elle va jouir. Je redouble mes efforts et m’active à lui lécher le clitoris en même temps. Ses bruits, son corps, ses mouvements de bassin trahissent son plaisir imminent. Elle empoigne ses seins, les malaxe. En un instant, je la sens se cambrer puis pousser des petits cris. Mes doigts sont saisis par les contractions de son vagin… Plusieurs gémissements s’ensuivent et son corps se relâche enfin. Ma main est couverte de sa mouille. Je masse doucement son sexe. Elle reprend sa respiration. Je me penche pour l’embrasser et lui murmure que j’ai aimé la voir jouir, qu’elle est belle.


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