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Trash

Ames sensibles s'abstenir!

Ici, vous trouverez tout ce qui flirt avec les lignes de conduites: (SM, bondage, fétish, zoo...)

 

Sommaire:

 

 

Un viol insolite:

Il y quelques temps, j'ai quitter le cocon familiale pour m'installer seule à la ville. Je suis une jeune fille de 20 ans, plutôt petite et ronde et surtout très timide : je ne suis pas du genre à aller vers quelqu'un dans la rue pour draguer et si cela m'arrive à moi je fuis! Je me sentais bien seule dans mon petit studio...

     Mais depuis quelques jours j'ai un nouveau colocataire, c'est un labrador! Je l'ai trouver près de chez moi, il a du être abandonné par ces anciens maitres, je l'ai baptisé Pat. Il est très affectueux et n'hésite jamais à venir se coller à moi ou a me gratifier de léchouilles affectueuses! Et aujourd'hui cela fait 2 semaine qu'il me tiens compagnie. Je dit « il » car au vue de son attirail il s'agit bien d'un mâle!


     Je viens tout juste de rentrer chez moi après le boulot, mon compagnon me salut en me léchant généreusement comme à son habitude. Comme je suis fatigué par ma journée je décide de prendre une douche. La cabine de douche se situe simplement dans un renfoncement de la pièce. Pat est reparti se coucher dans son coin quand je commence à me déshabiller. Je ne m'en rend pas vraiment compte sur le moment mais Pat a levé la tête vers moi et me regarde fixement lorsque je rentre dans la douche. Je commence à me mouiller le corps lorsque je me rend compte que je n'ai plus de gel douche. Zut! Je sors donc de la douche encore ruisselante pour aller chercher l'objet de mon oublie. Pat me fixe toujours sans que je n'y prête attention. Une fois le flacon en main je fais demi tour et... Patatras! Je m'étale de tout mon long sur le carrelage glissant d'eau! Je peste contre moi même en me relevant sur les genoux pour vérifier les dégâts. Pendant ce temps Pat s'est relevé et s'approche furtivement de moi... En m'examinant le corps nu je me rend compte qu'il y a longtemps que je n'ai pas fais l'amour et je me rappel ma dernière nuit d'ébat. Je suis en manque! J'ai envie de me caresser... Zut il faut que je me sorte cet idée de la tête! Je me met à quatre pattes dans l'idée de retrouver mon gel douche qui à filé lors de ma chute. Soudain, Pat me monte dessus comme une chienne et tente d'introduire sa verge en moi. D'abord surprise, je me fige puis, reprenant mes esprit, le repousse violemment quand je le sens me pénétrer. Je me relève d'un bond et file me cloitrer dans ma douche. Je tremble encore de l'avoir sentit en moi et surtout sentit à quel point sa queue est grosse, mais aussi douce et chaude. Je ressent encore la sensation dans ma chatte qui dégouline de mouille. Je descend ma main et commence à me doigter en imaginant Pat sur moi à quatre patte en train de ma prendre pour sa chienne. Mmmm c'est bon, je vais jouir... NON! Pas en imaginant le chien! Ma main continue de bouger seule et me fais jouir comme une salope.


     Après cet acte éhonté je finie de me laver et file dans mon lit d'un bond sans prendre le temps de m'habiller de peur que le chien ne revienne à l'assaut. Une fois bien caler sous les draps je le cherche des yeux et le trouve enfin dans son coin habituel tranquillement en train de dormir. Et moi qui l'imaginais me violer! N'importe quoi! Je m'endors presque aussitôt quasiment rassurée.


      Je rêve de mon ex, le seul à m'avoir jamais touchée, d'un de nos rendez-vous qui se transforme rapidement en ébat sexuel. Il me lèche la chatte comme jamais, donnant de grand coup de langue partant de mon anus vers mon clitoris en me pénétrant profondément le vagin. Sous le plaisir mon corps se retourne et je me présente à lui les fesses relevées. Il continu son cunnilingus de folie. Mon corps tremble d'excitation. Puis il arrête de me lécher et me monte comme une chienne. Après quelques mouvement dans le vide il me pénètre doucement mais profondément. Dans un demi sommeil je me rend compte que ce n'est pas mon ex qui me monte mais le chien! Réveillée instantanément j'essaie de me dégager mais trop tard! Le chien me tient fermement et à bien l'intention de me baiser comme une chienne! J'ai du l'exciter à me balader nue devant lui! Une fois entré profondément en moi il commence ses allée est venue malgré mes effort pour le repousser. Comme sa bite est grosse, elle me donne tellement plus de plaisir que celle de mon ex. Voilà que Pat me pilonne violemment. Je ne fais plus rien pour l'en empêcher. J'accepte ce viol insolite et le laisse me baiser comme sa chienne en chaleur. Ces allés et venues sont violents, mais si bons! A chaque mouvement ses couilles titillent mon clitoris. Je n'en peux plus! Je me laisse aller au plaisir. C'est tellement bon d'être une chienne!!!


_Oh oui Pat c'est bon! Oui mon chien, vas-y baise moi! Oh oui! Oui! OUIIIIIIIIIIIIII


Le chien ayant fini sa besogne il se retire et commence à me nettoyer la chatte dégoulinant d'un mélange de mouille et de sperme.

Et moi je viens de connaître mon tout premier orgasme, et ce, avec un chien.

 

 

 

La pute du voisin:

Je m'appelle Sarah.
L'histoire que je vais vous raconter s'est passée il y a une dizaine d'années, lorsque j'avais 16 ans.
J'habitais dans un petit village où tous les habitants se connaissent.
J'aimais rouler en vélo et un jour, alors que je me promenais, le seul homme du village que je ne connaissais pas m'a appelé.
J'ai eu peur mais j'y suis allée quand même. Il m'a proposé de rentrer boire un jus de fruits. J'ai bu d'une traite, ensuite, je ne me souviens plus de ce qui s'est passé mais lorsque je me suis réveillée, j'étais attachée, toute nue, les bras et les jambes écartés. J'ai paniqué et l'homme est arrivé face à moi.

"Pourquoi tu cries? M'a-t-il demandé. "C'est ce qui arrive au jeune fille dans ton genre qui rentre chez des inconnus sans faire attention."
"Mais, mais je n'ai rien fait de mal, qu'allez-vous me faire? Pourquoi suis-je toute nue?" Ai-je hurlé. A ce moment là, l'homme m'a mis une claque énorme sur les fesses, et il m'a dit de me taire et de faire ce qu'il me disait si je ne voulais pas être punie.
"Tout d'abord, tu m’appelleras maître, c'est compris?" "Oui" répond dis-je. Une nouvelle claque vint me frapper. "Tu n'as pas bien compris à ce que je vois, tu m'appelleras maître, tu mettras ce mot à la fin de chacune de tes phrases."

Il partit un instant et revint avec une boule assez grosse et me détacha les mains, il me dit de me mettre à quatre pattes et de me dépêcher. Une fois dans cette position, je sentis un liquide très froid couler entre mes fesses et je sentis cette boule sur ma petite fleur encore pucelle. Il poussa tout doucement et la fit rentrer. C'était horrible, j'avais mal, très mal mais je n'osais rien dire de peur de me prendre encore des coups. Une fois cette boule bien insérée, il attrapa mes cheveux et me releva.  Je sentais cette chose énorme dans mon anus et j'avais envie de pousser pour la faire sortir mais c'était impossible. Il me dit que cette boule, je devais la garder tout le temps, j'avais le droit de la retirer pour aller aux toilettes mais je devais la remettre aussi vite.

Une fois habituée à cette chose, il me rattacha les mains et attacha des pinces à mes tétons. Ceux-ci étaient petits et très pointus. Il serra les pinces au maximum et tira un peu dessus, je hurlais de douleur. Il mit ma culotte dans ma bouche pour que je me taise.
Il me dit que j'étais très excitante et que c'était dommage qu'il n'avait pas fait cela plus tôt.

Il sortit son membre de son pantalon, il était assez grand et très gros, étant donné que c'était la première fois que je voyais un pénis, je l'ai regardé attentivement. Il le remarqua et me dit qu'il aimerait bien que je le suce un peu, je me suis demandée comment j'allais faire. Il me détacha et j'enlevais ce que j'avais dans la bouche. Je me mis à genoux et mis son engin en bouche, il commença un mouvement de va-et-vient, il allait très vite. Quelques secondes après, il me dit d'ouvrir grand ma bouche et de surtout bien tout avaler. Il y avait une grosse quantité de foutre, mais j'ai tout avalé sans en perdre une goutte. Une fois terminé, je me suis prise une gifle énorme et il me dis "Tu vois à cause de toi, je n'ai pas su me retenir plus longtemps, tu m'as tellement excité. Maintenant habilles toi et files chez toi, il est l'heure. Demain tu viens à la même heure sans sous vêtement." et il partit.

Je suis rentrée chez moi en courant, j'étais tellement troublée que j'en ai oublié mon vélo.

 

 

 

 

 

La salope de mon beau-père:

J'avais alors 16 ans, ma mère allait rendre visite quelques jours à sa famille en me laissant sous la surveillance d'Hamed son mari depuis que j'ai 7ans.

Je l'ignorais la plupart du temps, et cela m’écorchait les lèvres de devoir l'appeler papa pour faire plaisir à ma mère. J'allais profiter de son absence pour lui faire ressentir qu'il n'avait jamais été le bienvenue dans ma vie mais il en avait décidé autrement ...

Je m'étais toujours sentie mal en étant seule en sa présence, et même de dos je sentais ses regards malsains, je me souviens que déjà petite à l'heure du bain prétextant de donner un coup de main à ma mère qui était en cuisine c'est lui qui me lavait et insistait chaque jour une minute de plus sur le nettoyage minutieux de mes parties intimes, je me souviens parfois de l'avoir détesté de s'attarder pour me nettoyer en ces endroits, il faisait glisser sa main sur ma petite nenette comme si c'était un nouveau jeu et bien qu'étant très jeune j'avais compris qu'il s'agissait d'un touché sexuel. Il m'avait fait découvrir un nouvel endroit de chatouille et je savais que je devais garder ça pour moi. Il y'a des jours ou les passages lents de sa main m’excitaient un peu et d'autres ou je n'avais pas du tout envie qu'il me touche. Mais heureusement cela se limitait au bain et quelques mois plus tard je me lavais seule.
Il m'enroulait ensuite dans une serviette en me serrant contre lui, une fois sèche je mettais mon pyjama il tenait à rester dans la pièce je m'habillais sous ses yeux et nous descendions manger comme si de rien était. Ensuite nous regardions la télévision jusqu'à l'heure à laquelle je devais monter me coucher.
Le week end j'avais toujours le droit de me coucher plus tard puisque le lendemain je n'avais pas école, ma mère monta se coucher plus tôt que moi, il ne restait que nous deux dans le salon, il me lança " ça te dit qu'on mange des bonbons, on dit rien à maman". J étais hyper contente il alla chercher le paquet de confiseries dans l'armoire, revint s'asseoir sur le canapé et me pris sur ses genoux pour partager ce moment de complicité ou on mangeait des sucreries la nuit dans le dos de ma mère. Il changea de chaîne et tomba sur un film érotique, à ma grande surprise il ne changeait pas de chaîne, il m'a même lancé un "tiens regarde" Comprenant de quoi il s'agissait et plutôt gênée je voulu courir dans ma chambre, mais il me serra la taille très fort pour me retenir sur ses genoux. Le tissu de mon pyjama étant très mince je sentis son sexe gonfler derrière mes fesses et il commençait à mimer le va et vient du film sur moi en poussant des petits soupirs. Je réussis à me glisser hors de son contrôle et me sauvais dans ma chambre en pensant toute la nuit à son sexe qui gonflait sous moi. Cette même nuit les cris de plaisir de ma mère parvenaient jusqu'à ma chambre.

Depuis ce jour je l'évitais et j'avais même réussi à oublier tout ça jusqu'au départ de ma mère ...

Première soirée : Je rentrais le plus tard possible, à mon arrivée il m'ordonna d'aller préparer à manger car il crevait de faim, et que la prochaine fois que je rentrerais aussi tard sans prévenir je serais privée de sortie.
En me baissant pour prendre la pizza dans le four, il vit mon string dépasser de mon jean et me mit une claque sur les fesses en me disant " tout le monde n'a pas besoin de voir que tu mets des strings ..." en ajoutant avec un regard pervers " même si ça te va bien "
Je décidais de ne pas relever la provocation, mangeais rapidement et allais me coucher.
Il passa la nuit devant l'ordinateur à mater des films porno, il mettait le son très fort exprès et je l'entendais se branler et jouir très bruyamment. Et si il venait dans ma chambre? J'avais si peur que je mis la commode devant ma porte pour bloquer l'entrée, il n'y avait pas de verrou.

La nuit se passa bien,

Deuxième jour : Matin, je suis en retard je cours à la salle de bain pour prendre ma douche rapidement, il entre pendant ma douche pour une "envie pressante" il s'attarde en pissant et bien que cachée derrière le rideau de douche je suis hyper énervée et lui envoi un "mais casse toi putain t'a pas à rentrer quand je me lave"
Il ouvre le rideau de douche violemment, il est à poil et me répond méchamment " parle moi mieux que ça salope" avant de s'en aller.

Le soir venu je rentrais à 22h, en rentrant je ne le voyais pas, cela me rassurait je me disais que peut être il est allé dormir. Je ferma la porte, ce bruit le fit bondir du haut des escalier en bas, il cria " c est à cette heure ci que tu rentres! qu'est ce que je t'ai dit hier" et il me gifla, je tombais sur le canapé. Choquée et terrorisée je ne bougeais plus, il se jeta sur moi pour me relever ma jupe et me mis la fessée, j'étais trop vieille pour recevoir la fessée, je criais me débattais lui disais qu'il n'avait pas le droit de me frapper et encore moins de me donner la fessée que je n'étais plus une gamine!
Il arrêta et me dit "ahh bon t'es plus une gamine hein" il me pinça la chatte en refermant sa main sur ma culotte il dit :
On va voir si t'es devenue une grande fille. ..
Je criais pleurais suppliais mais il semblait possédén plus je me débattais et plus il étais excité.
"Regarde, regarde ce que tu m'obliges à faire t'es contente petite salope regarde dans quel état tu me mets et il sortit sa bite tout en me maintenant plaquée sur le canapé pour me montrer comme il bandait.
Mon dernier espoir pour qu'il me lâche fut de lui dire arrête papa s'il te plaît. Mais cette phrase censée lui rappeler ses responsabilités en tant que beau père n'avait pas l'effet escompté.
- Oh oui ma petite chérie, tu vas devenir la petite chienne à ton papa je vais t'apprendre la vie moi.
- Non non fais pas ça arrête.
Il arracha mon string et m'enfonça progressivement un doigt dans la chatte en soupirant Oui Oui Oui au fur et à mesure que son doigt entrait dans ma chatte. Une fois son doigt à l'intérieur il le fit bouger de haut en bas puis fit des ronds comme pour m'élargir.
Je voulais que cela cesse mais retenue contre le canapé j'étais incapable de résister à ses attouchements.
Il sortit enfin son doigt, je pensais que mon calvaire était enfin terminé...
Il me mit à 4 pattes le buste sur le siège du canapé les genoux par terre, sa main serrée contre ma nuque pour me maintenir le visage sur le siège du canapé, cela étoufferait mes cris. Je savais qu'il était derrière moi, il appuya sur mon dos pour me cambrer, j'avais les fesses plus à l'air et je sentis son gland pousser à l'entrée de mon vagin, il poussa poussa, face à la résistance de mon orifice il força l'entrée et réussit à enfoncer son gland avec un peu de difficulté, le reste suivit lentement, une fois entièrement pénétrée il resta à l'intérieur de moi immobile pendant quelques secondes avant de commencer les lents va et vient, les coups lents qu'il me mettait furent bientôt remplacés par des allers retours plus rapides, le bas de son ventre cognait de plus en plus fort contre mes fesses en faisant des bruits de claquement sourds. Il ponctuait ses pénétrations de : " Tu sais que t'es bonne, hein tu le sais petite chienne"
Je subissais ses chaudes pénétrations brûlantes et piquantes en espérant qu'il finisse vite, il me remplissait de son sexe, je le suppliais d'arrêter de douleur et aussi pour me donner bonne conscience mais au fil des va et vient en moi je dois avouer que cela commençait à me faire du bien.
Il le remarqua et me mit des claques sur les fesses en me disant "tu vois c'est bon ça, c'est bon pour toi la levrette, toutes les petites salopes aiment ça, tu vas être la bonne chienne à ton papa hein, tu vas lui faire plaisir à ton papa, fallait obéir si tu voulais pas te faire bien baiser la chatte"
Il accéléra cria:  ahhh ahhh ahhh je vais venir petite pute, il me serra par les hanches et m'enfonça son sexe très vite et très  fort, il s'enleva juste avant de cracher et se vida sur mes fesses. J'étais couverte de son sperme abondant il me porta jusqu'à la douche alluma l'eau et me rinça de son sperme, la vue de mon corps sous l'eau l'excitait encore, et bien qu'il venait juste de cracher il se remit à bander, j'étais accroupie dans la douche, il m'attrapa par les cheveux et mis mon visage en face de son sexe mi dur. Suce moi maintenant d'un ton sec et sévère qui ne permettait pas d'hésitation. Je m'exécutais sans discuter et sans pleurer.
Comme si cela ne suffisait pas il tenait à ce que je le regarde dans les yeux en lui léchant la bite comme si c'était une glace.

Puis il sortit son sexe de ma bouche et m'ordonna de sortir tout en se branlant. Une fois hors de la douche il me fit avancer jusqu'à ma chambre en me tirant par les cheveux. Il m'attacha les mains avec une paire de collants qui traînait par terre, il m'écarta les cuisses et me pénétra encore et encore dans différentes positions, en missionnaire puis en levrette tout en m'insultant de tout les noms de garce à salope en passant par pute chienne ...

A la fin il ne prit même pas la peine de me nettoyer après m'avoir éjaculer dessus, il alla dans sa chambre revint, me jeta 4 billets de 50 euros en me disant " ça t'aidera à fermer ta gueule".

 

Mes nièces:

Mon frère et ma belle sœur ont  deux filles, deux jeunes minettes blondes très sexy: Julie qui après avoir redoublée la quatrième, est en troisième, et Fanny qui est en quatrième.
Ces deux jeunes filles, travaillent assez mal à l’école, leurs préoccupations, les fringues, et surtout les garçons, il est vrai qu’elles sont toutes les deux ravissantes, et qu’elles se mettent en valeur par des vêtements moulants et jupes assez courtes.
Ces filles sont un peu livrées à elle-même, le père est continuellement en déplacement pour son travail, et leur mère, rentre très tard le soir, pour ces demoiselles, les leçons et devoirs passent au second plan, les résultats sont de ce fait décevant.

Ma belle sœur Annie, m’a demandé si je voulais bien m’occuper de surveiller, et de les aider, dans leur scolarité, comme j’ai du temps de libre, j’accepte bien volontiers.
Après avoir longuement discuté avec mes nièces, il s’avère que les absences des parents les perturbent, elles ne s’éclatent que lors des boums et anniversaires passés avec leurs copains et copines, ou alcool, cigarettes et sexe sont de rigueur.
En approfondissant un peu, Charlotte me dit qu’elle prend la pilule, et qu’elle a déjà eu deux partenaires avec qui elle a fait l’amour lors d’un anniversaire….

J’instaure donc un règlement, une note en dessous de la moyenne: punition, au dessus de quinze, elles seront autorisées à aller aux anniversaires et boums qui sont à mon avis fort nombreux.
Pendant plus d’un mois, les bons résultats viennent rehausser le carnet de notes, preuve qu’avec un peu de bonne volonté, c’est possible.
Un vendredi, Charlotte me donne son carnet à signer, il y a un huit et un sept en anglais, elle a la tête basse, je lui donne les leçons à copier dix fois.
Quelques jours plus tard, un six en math, avec un mot du prof, disant qu’elle s’amusait en cours avec un garçon, je la sermonne, et lui dis qu’elle va recevoir une fessée, elle me regarde d’un œil noir avec un petit sourire.
Je la prends par la taille et la couche sur mes genoux, la demoiselle gesticule, mais la tenant fermement, je soulève sa jupe, j’ai un beau petit fessier devant moi, que je claque avec ma main, les fesses de la minette ont changées de couleurs, tout en gesticulant, elle fait savoir sa désapprobation à ce traitement sous le regard intéressé de sa jeune sœur.
Quelques jours plus tard, deux nouvelles mauvaises notes viennent entacher le carnet, nouvelle fessée un peu plus appuyée, mais là, la petite ne se débat presque plus, à ma grande surprise, elle écarte volontairement ses cuisses, et semble prendre du plaisir.
Elle a une petite culotte qui ne cache pas grand-chose, que j’écarte pour essayer d’en apercevoir un peu plus,  je me délecte du spectacle qu’elle m’offre et que je prolonge volontairement, mon sexe dans mon slip a pris des proportions que la jeunette doit sentir.
Quand elle se relève, mon pantalon, est auréolé de la jouissance de la gamine, elle me regarde avec un sourire crispé, tu as joui et pris du plaisir lui dis je? elle me répond que oui toute rouge de honte ou de plaisir!
Tout cela me laisse pensif, et je décide alors de changer mes règles, je leur en fais part en espérant avoir trouvé la solution avec ces petites cochonnes pour qui tout passe par le sexe ou ce qui s’y rapporte.
Quelques jours ont passé, et Charlotte est toute fière de me présenter deux excellentes notes, elle me regarde en souriant, et me défiant du regard, elle attend la récompense promise, je la couche sur mes genoux, jupe relevée et jambes bien ouvertes, je descend sa petite culotte et  lui applique quelques tapes sur ses fesses, la petite se tortille en gémissant de plaisir, sa chatte est bien ouverte, d’où perle une rosée dû au traitement que je lui applique.
Ma bite, écrasée par la demoiselle qui se tortille dessus, ne met pas longtemps à cracher son plaisir.
J’écarte ses fesses pour contempler son petit trou qui me semble bien dilaté, Julie ne dit rien, mieux elle semble y prendre goût, en poussant un peu pour que son petit trou se dilate et s’ouvre, qu’elle salope pensais je, c’est une vrai chienne cette fille.
La tentation, est trop grande, je plonge mon index dans sa minette qui est trempée, je fais coulisser mon doigt dans sa chatte, lui arrachant des petits cris de plaisir, j’accélère les pénétrations, en allant plus en profondeur, ma nièce est en sueur, me demandant d’aller plus profond.
Je change de conduit, son œillet est assez serré, et mon index à l’étroit dans ce conduit  arrache râles et cris à la mignonne.
Tout en la pistonnant, je passe une main sous son petit haut, à la rencontre de sa jeune poitrine bien ferme que je caresse, en pinçant ses tétons, qui grossissent rapidement.
Le lendemain, il y a un mot d’un professeur qui encourage Julie à continuer dans ce sens, en me présentant ce mot, elle me regarde, ses yeux en disent long.
Allez, déshabille toi entièrement, dis je, mets toi en appui contre le mur, en me présentant ton petit cul, et en écartant les cuisses, je sors de mon sac un martinet récemment acheté, avec des lanières assez large, pour ne pas faire trop mal.
La gamine est impatiente, le premier coup atterrit sur ses fesses, elle tend son postérieur, mais le deuxième claque entre ses cuisses, je lui demande d’écarter ses fesses avec ses mains, pour atteindre son anus.
Elle est très excitée, de la cyprine coule le long de ses cuisses, je passe un doigt dans son intimité, il en ressort tout gluant de mouille, je lui présente, et lui demande de le sucer, ce qu’elle fait en me souriant.
Dans les semaines qui ont suivies, les résultats ont été très satisfaisants, récompensés comme promis par des caresses et des châtiments de plus en plus osées, mettant à chaque fois la jeune fille en transe  sous les yeux de sa sœur qui voudrait bien connaître le même traitement.

Ma belle sœur, me fait part de sa surprise de voir sa fille aînée obtenir de bons résultats, elle me demande si je pouvais accompagner Fanny chez le docteur pour un certificat médical pour la pratique du sport, par la même occasion, elle a contacté le médecin, pour qu’il lui prescrive la pilule.
Arrivée chez le praticien la gamine anxieuse,  me fait part qu’elle ne souhaite pas que j’assiste à cette visite, pas de problème dis je, je t’attendrais dans la salle d’attente.
C’est à notre tour, il appelle Fanny, comme je ne me lève pas pour entrer, le docteur me demande de venir, la minette me regarde l’œil vif en baissant la tête sans osée signifier sa désapprobation.
Il la dirige vers une pièce contigue, séparée par un rideau, qu’il ne tire pas entièrement, et demande à la jeunette de se déshabiller, entièrement dit il  pour que je t’examine, Fanny le regarde contrariée, mais ne dit rien.
Je ne perds pas de vue cet effeuillage, qui m’excite au point que je suis obligé de penser à autre chose sous peine d’éjaculer dans mon boxer, qu’est ce qu’elle est bien foutue cette gamine, sa mère a bien raison de prendre certaines précautions.
Ses petits seins, qui paraissent bien ferme sont dressés, son pubis de blondinette donne envie d’en voir bien plus, ses petites fesses se tortillent, cette petite salope ne me laisse pas indifférent.
Elle est installée en position gynéco, pieds dans les étriers, cuisses bien ouvertes, elle est examinée sous tous les angles, même ses parties intimes sont méticuleusement observées, il lui pose des questions indiscrètes auxquelles la petite répond d’une voix faible.
Il caresse son clitoris, fait coulisser un puis deux doigts dans sa moulette, pour voir lui dit il si tout fonctionne bien, la petite réagit en geignant et en transpirant.
Ce toubib est entrain de la masturber, Je pense que c’est un drôle de cochon qui profite de la situation avec des petites jeunes.
Je vois que tu as eu des rapports sexuels dit il, ma nièce nie, le praticien insiste en la menaçant de pousser plus loin ses investigations, la mignonne avoue s’être fait prendre deux fois par des copains, lors d’une boum.
Ils avaient mis un préservatif demande le doc, elle répond un faible non, ils ont donc éjaculés en toi, tu sais que tu peux tomber en cloque grogne le toubib.
Au cours de la visite, mon regard croise celui de Fanny, qui en voyant que je vois tout ce qui se passe, et que j’écoute la conversation, la blondinette semble perdue et devient écarlate en fuyant mes yeux.
Le médecin lui demande de se mettre à quatre pattes sur la table, bien cambrée, pour lui faire un lavement, car il veut lui faire une visite de son anus.
Après avoir passé  du gel à l’entrée de son petit cul, il lui enfile une poire à lavement, ensuite il lui insère un doigt qu’il fait coulisser plusieurs fois dans son fondement, sa bouche est grande ouverte, elle semble apprécier cette introduction dans son petit trou.
Là aussi dit il, quelqu’un y est déjà passé, tu t’es fais sodomiser? la jeune fille perdue, lui répond que c’est lors de jeux avec sa sœur, elles s’enfilent des bougies ou autres objets pour se masturber.
Ah bon, et tu y trouves du plaisir dit il? la gamine lui répond par un oui timide.

Nous quittons le cabinet, sur le chemin du retour, fanny est muette, elle me demande de ne rien dire de ce que j’ai entendu à ses parents, si j’y consens, elle me promet de me faire part d’un secret….

 

 

 

 

Le chauffard:

Carole sentait que la migraine la guettait. Les gens gueulaient et klaxonnaient à tout-va pendant que des motards slalomaient dangereusement entre les voitures. Elle se maudissait d'avoir choisi de prendre l'autoroute pour se rendre en cours. En 10 minutes, la jeune fille n'avait parcouru qu'une centaine de mètres et le bruit des klaxons avaient fini de l'énerver. Elle se mit à son tour à crier sur tout ce qui bougeait et à pester contre les autres automobilistes. L'étudiante prit quand même un moment pour appeler une de ses amies et prévenir les professeurs de son retard.

Âgée de 18 ans et de taille moyenne, Carole était une toute nouvelle étudiante dans une préparation infirmière. De beaux yeux bleu-vert, des traits qui sans être fins n'étaient pas grossiers et surtout une bouche pulpeuse aux lèvres bien roses. Son visage était surmonté par une chevelure châtain épaisse et bouclée qu'elle disciplinait à grand peine tous les matins en la peignant en chignon. L'ensemble donnait un visage plutôt plaisant, bien qu'encore adolescent, et empreint d'une sorte de beauté naturelle et langoureuse. Son corps par contre n'était plus celui d'une adolescente avec ses courbes voluptueuses, des seins bien fermes et ronds qui remplissaient plus que généreusement les bonnets de ses soutiens-gorge, débordant de leur 90C, et des hanches appétissantes surmontant une jolie paire de fesses rebondies. Ce matin-là, elle avait choisi d'enfiler un ensemble soutien-gorge/culotte en dentelle rouge et noire, un top noir en simili soie moulant ses formes tout en offrant un décolleté généreux et un jean moulant parfaitement ses jolies fesses.

Après avoir passé ses appels, toujours énervée, elle balança son téléphone sur le siège arrière en remarquant à peine qu'il était tombé sous les sièges. Elle retira sa veste, se laissa aller contre le dossier de son siège et se massa les tempes un long moment tandis que la voiture en plein soleil se réchauffait rapidement.

Son calvaire dura encore presque une demi-heure puis la circulation se fluidifia d'un seul coup. Soulagée, Carole se remit en route et sentit une nouvelle énergie la parcourir. Elle allait être en retard mais elle pourrait quand même aller en cours! Elle ouvrit sa vitre pour avoir un peu d'air frais. Autour d'elle, les autres conducteurs semblaient aussi contents de voir repartir leurs véhicules mais très rapidement quelques excités se firent remarquer. Comme s'ils pouvaient rattraper le retard accumulé pendant l'embouteillage, ils conduisaient comme s'ils étaient seuls sur la route, doublant sans clignotants et klaxonnant furieusement ceux qui avaient le malheur de se mettre devant eux.

L'un d'eux se déporta violemment juste devant Carole pour doubler une autre voiture un peu lente par la droite. L'étudiante pila et cria:

«Mais putain quel fils de pute!!!»

Carole était folle de rage, elle avait failli le percuter et le mec semblait s'en foutre complètement. Submergée par la colère elle ne put s'empêcher de la laisser sortir.

Furieuse, Carole accéléra brutalement pour pouvoir rattraper le chauffard. Elle ne quitta pas le gros 4x4 des yeux et le doubla par la gauche pour l'empêcher de se déporter. Bloqué entre sa voiture et un camion-citerne, il ne pourrait pas la manquer! Un homme d'une quarantaine d'année et au visage sévère conduisait le véhicule et tourna la tête en fronçant les sourcils pour l'observer. Carole le gratifia de son plus magnifique doigt d'honneur et ouvrit la vitre côté passager pour pouvoir le traiter de fils de pute. L'homme réagit au quart de tour, virant à l'écarlate et lui renvoyant une bordée d'insultes. Satisfaite de sa petite vengeance, elle accéléra encore pour doubler le camion et pour se réinsérer dans la circulation.

Celle-ci était maintenant plus fluide même si l'autoroute restait chargée. Carole regarda l'heure sur son tableau de bord et fut un peu soulagée de voir qu'elle n'aurait pas temps de retard que ça. La jeune étudiante vit du coin de l'œil une voiture se rapprocher dangereusement du côté gauche et elle fit un écart en jurant pour l'éviter. Mais l'autre continua à se rapprocher et Carole fut obligée de continuer à se décaler sur la droite. L'étudiante reconnut le chauffard qu'elle avait insulté et qui la regardait avec des yeux haineux. La jeune fille sentit une boule se former dans son ventre ainsi qu'un pic d'adrénaline mais tout ce qu'elle pouvait faire pour l'instant c'était de continuer à partir sur la droite.

L'autre la força à s'engager sur la sortie d'autoroute et lui emboita le pas. Elle comprit qu'il la suivait mais elle ne comprenait pas bien pourquoi. Elle tenta de le semer dans les rues de la ville mais il avait nettement plus d'expérience de conduite qu'elle et il ne la lâcha pas d'une semelle. L'étudiante voulut attraper son portable mais ne le trouvant pas elle se souvint qu'il était tombé sous le siège derrière elle. Pas d'échappatoire de ce côté-là. Ce petit jeu dura une dizaine de minutes durant lesquels la peur de Carole ne fit qu'augmenter. Ils avaient quitté les rues principales pour de petites rues secondaires peu fréquentées et finalement à un carrefour la jeune conductrice fit une erreur et s'engagea dans une voie sans issue. Se retrouvant face à un mur de briques, Carole voulut faire marche arrière mais l'imposant 4x4 de son poursuivant eut tôt fait de lui bloquer la sortie.

L'étudiante vit la porte s'ouvrir et l'homme sortir, un cric à la main. Il était assez fort et portait un costard cravate. Grisonnant, il souffrait d'un début de calvitie et portait la moustache. Carole se pencha en arrière et voulut récupérer son téléphone pour appeler les flics mais le chauffard frappa un grand coup sur sa portière qui la fit sursauter.

«Sors de là salope!!!».

Carole hésita un instant mais il remit un grand coup de cric dans sa portière et celle-ci déverrouilla la porte en tremblant. L'homme l'ouvrit d'un seul coup et attrapa l'étudiante par le bras.

«Coupe le contact et sors de ta caisse connasse!!!».

Elle obéit fébrilement et se retrouve bientôt en dehors de sa bagnole, tremblante et en face d'un homme furieux qui brandissait un cric devant son visage.

«Je sais pas qui t'a appris à être aussi malpoli mais je vais te donner une leçon...

- Pitié laissez-moi tranquille...

- Ta gueule! Leçon n°1: appelles moi monsieur.

- Mais...»

Il lui mit une baffe et lui rappela:

« Oui monsieur! Et t'a intérêt à faire ce que je dis.

- Ou...oui monsieur..., parvint-elle à articuler.

- Leçon n°2 c'est pas une salope de ton genre qui va m'insulter alors t'as intérêt à te faire pardonner...»

Il la reluqua des pieds à la tête en sifflotant et utilisa son cric pour palper ses seins.

« Salope oui mais pas la plus moche... Ca à l'air bien ferme sans être dur... C'est des vrais?

- Ou...oui! répondit une Carole terrifiée.

- Oui qui? demanda-t-il en brandissant le cric.

- Oui monsieur! ajouta-t-elle précipitamment.

- Bien je vois que t'apprend vite. Montre un peu ta lingerie, enlève-moi ton haut salope et à genoux!»

Carole s'exécuta mais trop lentement à son gout et il lui enleva lui-même. Son soutif en dentelle rehaussait juste un peu sa poitrine et accompagnait somptueusement le galbe généreux de celle-ci. L'homme siffla encore d'admiration puis il défit sa ceinture et sortit son sexe. L'étudiante secoua la tête en demandant pitié mais l'autre menaça de «tabasser sa p'tite gueule en cœur» et elle obtempéra. Écartant à contrecœur ses lèvres, Carole pris en bouche le sexe dodu du chauffard.

« Applique toi salope... Sinon je te refais ta jolie p'tite gueule.»

Alors elle s'appliqua, faisant rapidement gonfler le sexe de l'homme dans sa bouche. Il n'était pas spécialement long mais très large, avec un gros gland. Tandis qu'elle le suçait, l'autre lui malaxait les seins, glissant sa main entre la peau et le tissu du soutien-gorge. Parfois il attrapait sa tête à deux mains pour mieux l'enfoncer sur sa queue et, de temps en temps, l'homme lui faisait lécher ses deux grosses couilles ou entre ses cuisses et son anus. Carole avait envie de vomir mais elle parvint à se retenir, prenant les deux grosses boules dans sa bouche ou nettoyant avec application l'entrecuisse de l'homme.

Pendant près de 10 minutes il parvint à se retenir avant de lui demander d'arrêter.

«Pas tout de suite... non... Tu n'aimerais pas que je jouisse aussi vite non?

- Non... non monsieur.» Murmura Carole en devinant la réponse.

Il lui fit retirer chaussures et jean et la caressa un moment avant de lui retirer son soutif. Il fut émerveillé par la masse ronde des seins de Carole et suçota les mamelons jusqu'à ce qu'ils deviennent durs et pointus.

« Une telle paire de seins... C'est actrice porno que t'aurais dû faire ma salope! T'es d'accord avec moi?

- Oui monsieur...

- Apprendre dans les bouquins c'est pas ton truc... Toi la seule chose pour laquelle tu sois douée c'est ouvrir tes cuisses et te faire tringler!

- Ou...oui monsieur..., souffla Carole, rouge de honte et sentant des larmes couler sur ses joues.

- Attends un peu... répète moi pour quoi t'es doué? Rappelle-toi, j'hésiterais pas à cogner..., dit-il menaçant.

- Je suis douée qu'à ouvrir mes cuisses et me faire tringler monsieur..., lâche-t-elle en pleurant.

- Bien! Maintenant il est temps que tu sois punie!».

Carole ne comprenait pas comment ça pourrait être pire mais il la fit s'allonger à plat ventre sur le capot brulant de sa voiture et lui retira son string, dévoilant son sexe rasé en ticket de métro. Il commença à palper le cul bien ferme et dit:

«Je vais être bien claire, à chaque fois que tu sentiras ma main sur ton joli p'tit cul de salope, je veux que tu dises merci compris?

- Oui monsieur...» sanglota-t-elle.

Et il se mit à la fesser, avec force et sans pitié. Carole disait «Merci monsieur!» à chaque fois et elle ne s'arrêta pas de le dire avant d'avoir les fesses rougies et douloureuses. Puis il passa à sa chatte et ses grandes lèvres charnues et leur donna quelques claques. L'étudiante hurlait à chaque coup puis hoquetait péniblement ses remerciements. Ensuite l'homme lui dit que la fin de sa punition approchait et empoigna sa queue gonflée et encore luisante de la salive de Carole.

« Tu as envie que j'enfonce ma grosse queue dans ta petite moule de pute?

- Ou-oui m-monsieur... pleura-t-elle.

- J'en étais sûr! Toutes les putes aiment s'en prendre une grosse dans le con!».

Et là-dessus il la pénétra sans délicatesse, par derrière, en la plaquant de tout son poids sur le capot brûlant. Carole gémissait tandis que le métal chauffée faisait souffrir son ventre et sa poitrine. L'autre se mit alors à la limer sans tendresse, comme une pute que l'on payerai pour se décharger. Il la baisa comme ça pendant près d'un quart d'heure, sans jamais se fatiguer. Par moment il l'agrippait par sa chevelure épaisse pour lui tirer la tête en arrière et la faire se cambrer. La jeune fille passa son temps à pleurer et à dire merci. Au bout de ce qui sembla une éternité à Carole, il s'enfonça au fond de son vagin et finit par l'inonder de sperme chaud avant de s'affaler sur elle de tout son long. L'étudiante était secouée de spasmes, aussi bien dus à sa douleur physique que psychologique. Quand il daigna la laisser tomber au sol, ses seins et son ventre étaient rougis, meurtris par le métal chaud. Elle se roula en boule et continua à pleurer tandis qu'il se rhabillait tranquillement et repartait. Carole reste prostrée sur le sol un long moment avant d'arriver à se redresser et repasser ses vêtements en pleurant.  

 

Une nuit en enfer:

Marie était une très jolie jeune fille de 19 ans, brillante et intelligente. Belle brune aux cheveux lisses et soyeux, la poitrine opulente et des fesses bien rebondies, Marie était le fantasme masculin par excellence et faisait rêver bon nombre des mâles de la faculté ou elle était étudiante en première année en stratégie commerciale.

Marie était admirée dans son ancien lycée par ses professeurs pour son sérieux et ses travaux de grande qualité. Humainement, elle était agréable avec tout le monde, souriante et toujours à l'écoute des autres. Elle semblait être une amie parfaite, toujours enjouée et sur qui on peut compter.

Pourtant, cette fille exemplaire sur tous les points et menant une vie qui ne souffrait d'aucun excès allait bien vite se transformer en véritable esclave, et  vivre très bientôt une existence de misère, d'addiction et de servitude.

Tout commença par cette journée de Septembre 2011, alors que la jeune femme se rendait à son cours de négociation. Le bus qu'elle empruntait tous les jours pour se rendre à son université fut pris dans un embouteillage furtif mais cela suffit pour qu'elle arrive très légèrement en retard dans l'auditorium. Ses amis du lycée qui avait suivi la même voie qu'elle étaient postés au premier rang, comme à l'accoutumée, mais elle ne put les rejoindre car l'auditorium s'était rempli et il ne restait plus que quelques places vacantes, seulement au fond de la grande salle. Ainsi, elle s'assit à côté d'une jeune femme qui souriait béatement alors qu'elle était pleinement plongée dans ses pensées. Marie s'étonna de son comportement pendant une seconde mais ne dit rien, sourit en coin devant l'étrange attitude de cette jeune fille et sortit ses affaires afin de suivre le cours.

Au bout d'une bonne dizaine de minutes, Marie n'arrivait plus à se concentrer sur ce que disait le professeur car la jeune fille à côté d'elle n'avait pas bougé d'un micromètre, gardait la même position ainsi que la même expression faciale et Marie commença à s'inquiéter pour sa voisine. Ainsi, elle finit par lui demander :

"Tout va bien?"
"Quoi? Oui... Oui... Ça va très bien..." lui répondit la fille qui semblait s'extirper d'un profond sommeil.
Marie esquissa un sourire et lui dit: "T'as l'air d'avoir envie de dormir..."
"Ben ouais un peu, hier soir y a eu un pot de bienvenue pour les 1A, t'y étais pas?"
"Ben.... non pas vraiment... Mes parents veulent pas trop que je sorte, surtout quand c'est le début de l'année scolaire"
"Ah bon? ... Mais t'a quel âge?!"
"Ben j'ai 19 ans"
"Ok... Mais tu fais pas un peu la fête?"
"Ben ..."
"Enfin je sais pas je te dis ça mais t'es pas obligée hein! C'est juste que bon, on a fini le lycée maintenant... On est majeures et vaccinées, je trouve que ça serait bête de pas profiter un peu de la vie tu vois? Enfin moi c'est comme ça que je vois les choses..."

Marie ne sut que répondre. C'est vrai qu'elle n'a jamais vraiment profité de sa vie jusqu'à maintenant. Elle ne sors jamais en semaine, a toujours privilégié le travail aux sorties et n'a jamais vraiment fait sa crise d'adolescence. Ses parents ont toujours été assez sévères et ne tolèrent pas qu'elle sorte tard ni qu'elle aille en soirée, même chez des amies.
Durant tout le cours, elle se demanda si elle n'était pas en train de gâcher sa vie, à ne rien faire mis à part étudier. N'était-t'elle pas en train de fuir sa jeunesse? Il fallait qu'elle sorte, qu'elle se fasses ses propres expériences, qu'elle rencontre des gens, qu'elle vive sa vie !

A la fin du cours, Marie décida qu'il était temps qu'elle commence à s'assumer en tant que jeune adulte et donc, qu'elle se permette au moins de sortir boire un verre de temps en temps le soir avec des amies. Ainsi, elle rejoint son groupe d'amis et leur proposa d'aller boire un verre ensemble après les cours et tous refusèrent pour un motif différent:
"Désolé il faut que je relise les cours d'aujourd'hui"
"Moi je ne peux pas, je dois aller voir ma grand mère à l'hôpital"
"Moi mes parents ne voudront jamais que je sorte, ils vont piquer une crise"
"Je t'avoue que ça me tente pas... Je préfère rester chez moi"

Déçue, elle voulut abandonner l'idée et rentrer chez elle. En franchissant le porte de la fac, elle vit de loin la jeune fille qui était assise à côté d'elle en cours ce matin entourée de son groupe d'amis. Elle se rapprocha d'eux et espionna leur conversation. Ils parlaient de la soirée d'hier soir et, à les entendre, la soirée avait été plutôt mouvementée!
Sans vraiment réfléchir, elle apostropha la jeune fille:

"Hey! Salut"
"Tiens! Salut. Ca va comme tu veux?"
"Ouais ouais... Euh écoute, je sais pas trop comment dire ça mais... je voulais aller boire un coup avec mes copines mais euh, aucune d'entre elle n'est dispo ce soir et euh... enfin voila quoi, je..."
"Laisse tomber j'ai compris! Viens avec nous, on va au Sunshine!"
"C'est quoi le Sunshine?"
"C'est un bar pas loin de la fac, très sympa! Ca fait style bar lounge, pas du tout ghetto, viens avec nous on fera connaissance!"
"Ah ben ouais... je veux bien, c'est sympa!"
"Moi c'est Sandra, et toi?"
"Je m'appelle Marie!"
Deux mois plus tard, Marie et Sandra étaient devenues totalement inséparables et sortaient très souvent le soir avec leur groupe d'amis. Les résultats scolaires de Marie s'en ressentaient très légèrement mais étaient loin d'être catastrophique et demeuraient tout à fait convenable. Du côté familial, Marie avait réussi à faire entendre à ses parents qu'elle était majeure maintenant et qu'elle souhaitait pouvoir vivre comme le font la plupart des jeunes de son âge. Tout allait bien jusque là.

Ce qui transforma à tout jamais la vie de Marie se produisit le vendredi 4 Novembre 2011.
Ce soir là, la semaine étant terminée, les deux jeunes filles décidèrent d'aller chez un mec de la promo qui organisait une soirée. Cette soirée était riche en alcool, mais également en cannabis et en cocaïne.
Personne n'avait jamais proposé de drogues à Marie mais de toute façon, même si elle était très intriguée par l'effet que cela pourrait lui prodiguer, elle en avait une peur bleue.

Dans ce genre de soirée où chacun ramène des amis (parfois étrangers à la fac), il y avait malheureusement certaines personnes peu recommandables. Et Marie et Sandra en ont été les victimes.
Alors que la soirée était très intense et très festive, les deux amies eurent le malheur d'accepter que deux beaux mecs leur offre un verre et, un peu éméchées, elles ne se rendirent pas compte que cet instant fatidique allait être pour elles le début d'un très long calvaire. En effet, la pire des drogues était présente dans leurs verres, mélangé à l'alcool, le GHB.

Une heure après l'ingestion, les deux jeunes femmes étaient totalement hagardes et désinhibées. Les deux hommes décidèrent de les ramener chez eux.
Complètement déconnectées de la réalité, les deux jeunes femmes cédèrent sans aucun problème à la tentation lorsque les deux messieurs leur proposèrent de boire des dizaines de shot de Tequila et de sniffer de nombreux rails de coke.
Devenues de vraies loques humaines, Marie et Sandra étaient alors prêtes à tout et les deux jeunes hommes pouvait alors commencer leurs sévices sexuels.

"Elles ont l'air complètement déglinguées ces deux chiennes, c'est le moment Seb, on peut y aller" lança Gabriel après que les deux violeurs aient eux même sniffé un rail de coke pour se mettre en forme.
"Regarde dans quel état elles sont! C'est bandant..."

Les deux violeurs empoignèrent Marie et Sandra par les cheveux et elles se retrouvèrent forcer de sucer la bite de leur violeurs, dans un état d'inconscience absolue, à cause du GHB.

"Ouais c'est ça, suce à fond petite pute, avale ma grosse queue au fond de ta gorge"
Marie était littéralement en train de se faire ramoner la gorge, et les va et viens de son violeur lui faisait déverser des litres de bave sur ses vêtements. Au bout d'un moment, il enfonçait tellement profondément sa bite que Marie se mit à vomir.
"Putain t'es dégueulasse espèce de traînée! T'as vu ce que t'as fait?! Y en a partout par terre maintenant!"

"Tiens, prend ça chienne!"
Alors que Marie se faisait défoncer la gorge, Sandra se faisait punir violemment par son bourreau qui lui tenait les cheveux d'une main, et qui lui giflait le visage de l'autre main. Elle se prenait des dizaines de claques sur la joue, des allers-retours d'une violence inouïe, et dans son état de léthargie avancée, elle ne ressentait rien, ce qui poussait son violeur à y aller de plus en plus fort!
"Tiens, prend ça dans ta gueule SALOPE!!!"
Seb hurlait pratiquement et se déchainait sur son esclave qui se laissait frapper sans manifester la moindre réaction.

"Hey Seb, calme toi, tu va finir par attirer les flics tellement tu gueule fort!"
"Ouais t'as raison... Je vais passer aux choses sérieuses maintenant, je vais lui ramoner son petit cul à sec"
"Vas-y! Moi je vais nettoyer le sol avec ma pute... Il est tout plein de vomi. Après tout, c'est elle qui a sali, à elle de nettoyer!"

Pendant que Seb retournait Sandra pour lui défoncer la rondelle, Gabriel mis Marie en position de levrette sur le sol, lui mit la tête dans ses régurgitations et il enfonça sa bite dans la chatte de son esclave. Dans cette position, il pouvait prendre appui sur le canapé avec une main pendant qu'il aggripait les cheveux de celle qu'il baisait et qu'il frottait sa tête par terre comme avec une serpillière.
"Mmmmmmm c'est bon hein?! Ca te plait de bouffer ton vomi sale chienne!"

"Ah.. ah.. ah... ah... AH.... AH.... AAAHHHHHH!!!! Putain elle a le cul bien serré cette salope, mais je vais lui écarter moi!!"
Seb était en train d'introduire son sexe pratiquement sec dans le cul de Sandra qui se laissait dominer complètement, sans aucune résistance de sa part.
"Ah putain ça fait du bien de bourrer un cul! Et bourrer le cul d'une pute complètement stone, c'est le pied intégral!"
Sandra se faisait balloter dans tous les sens; son agresseur continuait même à lui frapper le visage et lui claquait les fesses pendant qu'il empalait son esclave.

Gabriel releva la tête de son esclave car cela faisait maintenant plusieurs minutes qu'il lui maintenait le visage dans son vomi, et la vision du visage de son esclave rempli de bave et de vomi l'excita encore plus.
"Tiens ramène ta salope, j'ai envie de les voir s'embrasser si elles sont encore un peu conscientes"

Seb rapprocha Sandra de Marie et l'installa en levrette face à elle et tenta de lui enfoncer sa longue queue dans sa chatte un peu sèche.
"Merde elle est sèche de la chatte cette traînée..."
Seb mis une gifle violente à Marie qui était à portée de sa main et lui passa la main sur tout le visage. Il avait ainsi la main pleine de bave et de vomi liquide et il s'empressa de caresser la chatte de sa chienne afin de la rendre un minimum humide.

Les deux jeunes femmes étaient à présent en levrette face à face, les deux violeurs étant derrière chacune d'elle en train de leur défoncer la chatte. Les deux hommes forcèrent les deux femmes à s'embrasser, ce qu'elles firent avec le peu d'état de conscience qu'il leur restait. Seb et Gabriel se raclaient régulièrement la gorge et crachaient de gros crachats de morve ecoeurant sur les visages collés des deux jeunes femmes pendant qu'elles se prenaient des énormes coups de bite.

A force de pénétration brutale, les deux violeurs finirent par être à bout de force et déversèrent leur foutre chacun dans la bouche de la jeune fille qu'ils n'avaient pas baisé, accompagné bien évidemment de crachats visqueux et également de Tequila pure.
Marie et Sandra ressemblaient à deux épaves, deux poupées de chiffon complètement groggy.

Avant de les laisser partir, pour vérifier si ces deux jeunes filles pouvaient devenir les esclaves sexuelles qu'ils avaient toujours voulu avoir, Seb et Gabriel leur donnèrent un petit sachet rempli d'un demi gramme de cocaïne chacune. Puis, ils les rhabillèrent grossièrement et, après avoir nettoyé leur visage des traces de semence, de bave et de vomi, les déposèrent toutes deux sous un abribus différent, comme si elles étaient de vulgaires clochardes.
Le lendemain matin, les deux jeunes filles se réveillèrent complètement perdues, ne se rappelant plus de rien et complètement abasourdies de se réveiller dans un pareil endroit. Elles rentrèrent chacune chez elle, tant bien que mal.
A la maison, ayant pris soin chacune d'entre elle d'éviter soigneusement une confrontation avec leurs parents, leur premier réflexe fut de s'appeler mutuellement afin de savoir ce qu'il s'était réellement passé la veille au soir.
Comme aucune des deux n'avait de réponse à apporter à l'autre, elles raccrochèrent.

Marie se débarrassa donc de ses vêtements qui puaient l'alcool, la transpiration et diverses odeurs nauséabondes dont elle n'arrivait pas à déterminer la provenance, pour prendre une bonne douche bien chaude. Sous la douche, elle se posa de nombreuses questions et commença à s'inquiéter car elle n'avait jamais bu jusqu'à en faire un blackout. Il fallait qu'elle tire cette situation au clair.

De retour dans sa chambre, elle fouilla les poches de ses affaires portées la veille pour voir si il n'y aurait pas quelque chose pour la mettre sur la voie quand à ses activités nocturnes d'hier soir.
Au bout d'un moment, elle trouva un tout petit pochon rempli d'une poudre blanche avec un minuscule papier plié en 8 a l’intérieur. Elle eu un frisson d'effroi dans le dos en lisant ce qu'il y avait écrit...
"06.25.44.**.07, appelle moi si tu ne te sens pas bien."

Elle sut immédiatement que c'était de la drogue et quelle qu'elle soit, elle en avait une peur bleue. Elle jeta précipitamment le pochon à la poubelle en espérant de tout coeur qu'elle n'en ai pas pris hier soir. Elle fondit en larmes et jura de ne plus jamais sortir de sa vie.

Elle passa le samedi entier à rester chez elle, assise cloîtrée dans sa chambre, fixant la poubelle d'un air hagard. Elle était seule pour quelques jours, ses parents étaient partis voir des amis pour une petite virée au ski. Quelle malchance... Elle avait besoin de réconfort plus que tout en ce moment, besoin de parler à quelqu'un.
Curieusement, elle commença à ressentir une sensation bizarre... Elle tremblait de tout son corps et son esprit réclamait quelque chose qu'elle ne pouvait pas lui donner naturellement. Au fond d'elle même, elle se doutait de ce que c'était et cette idée commença à la faire paniquer. Elle trembla de plus en plus belle, pleura encore et encore jusqu'à ce qu'elle réalise que rien ne la soulagerait! Il fallait qu'elle sache si c'était ça qu'il lui fallait... Juste une fois... Et puis, si c'était ça, elle irait tout de suite à l'hôpital pour se faire soigner! Après tout, on ne pouvait pas devenir accro comme ça, en si peu de temps...

Elle se dirigeait doucement vers la poubelle quand on sonna à la porte. Elle sursauta de tout son corps et trembla de peur. La sonnerie se fit plus insistante, elle descendit et regarda par l'oeillet: c'était sa copine Sandra.
Elle lui ouvrit directement et se jeta dans ses bras. Au bout d'un moment, elles se séparèrent et Sandra lui dit:
"J'ai quelque chose à te dire de très important"
"Moi aussi, rentre ne reste pas dans le froid"
"J'ai eu une surprise en vidant mes poches... j'y ai trouvé de la cocaïne"
"Moi aussi... enfin je savais pas ce que c'était mais je pense que c'est la même chose que toi"
"Il t'en reste?"
"Euh... oui, pourquoi?
"Moi pas... J'étais très mal et j'ai voulu vérifier si c'était ça qui me rendait mal et j'en ai eu la certitude finalement... ca allait un peu mieux à chaque prise et j'ai tout fini..."
"J'étais sur le point de vérifier moi aussi... Je suis dans le mal là!"
"Tu veux vérifier?"
"Je sais plus... J'ai pas envie de toucher à cette merde mais je suis tellement mal que... enfin, juste pour voir quoi..."
"Je comprend... Ecoute on va faire un truc, vu que tu n'y connais rien, si je te prépare le tout, tu m'en laissera un peu?"
"Ouais si tu veux mais... c'est... c'est de la drogue, tu sais?!"
"Oui je sais bien, t'inquiete pas, c'est juste pour aller mieux aujourd'hui, après on verra... On ira à l'hôpital si tu veux!"
"Bon...... ok......"

Les deux jeunes femmes se rendirent dans la chambre de Marie et Sandra prépara les lignes de cocaïne et lui montra comment faire.
"Tu vois, c'est très facile, t'a juste à poser la paille au dessus et aspirer avec le nez en suivant la ligne"
"Euh........... bon...... d'accord je vais essayer"

Marie pris sa dose et sa réaction fut immédiate!
"Oh.... oh.. putain! oui je.... je crois que..... ca va déjà mieux.... attends..."
Marie forma grossièrement une ligne avec ce qu'il restait et s'enfila le tout d'un seul coup.
"AAAAAHHHHHHHHH!!! Putain!!! Ca va beaucoup mieux là!"

Les deux jeunes filles, boostées par la came, commençaient à se demander ce qu'il fallait faire.
"Bon.... on fait quoi alors?" demanda Sandra
"Ben.... il faudrait aller à l'hôpital mais.... il est loin et puis il fait froid dehors la..... ooooooouuuuuuuu, ça fait du bien quand même non?!" répondit Marie d'une voix forte et puissante.
"Tu sais... dans mon pochon y avait un numéro de téléphone..." commença à dire Sandra
"Moi aussi! Moi aussi!" répondit Marie
"Tu veux pas qu'on l'appelle? Après tout, c'est plutôt pas mal non?"
"Ben..... je sais pas trop...." dit Marie dont la bonne éducation et la conscience personnelle lui rappelait que la cocaïne était une drogue dure. Malgré tout, elle éprouvait un bonheur indicible et indescriptible...
Bip bip bip bip bip ..... bip bip bip bip bip..... bip bip bip 
"Allô?"
"Oui allô..... sniff... euh bonjour, j'ai trouvé votre numéro dans ma poche...."

Seb eu un sourire machiavélique et Gabriel sut tout de suite qui était au téléphone.
Les deux hommes étaient maintenant persuadés que les deux jeunes filles deviendraient très bientôt des esclaves personnelles à qui ils pourraient faire subir les pires perversions...

 

 

Bonne à éduquer:

Je m'appelle Marc, je suis un riche homme d'affaire de 42 ans, je vis dans une grande maison du sud de la France dans laquelle j'aime recevoir des femmes pour des plans culs plus ou moins long. N'ayant pas le courage ni l'envie d'entretenir seul ma maison j'ai embauché Délicia, c'est une jeune beurette de 18 ans à peine. Elle s'occupe du ménage et de me faire à manger en échange je la paie un peu, je la nourrie et mets à sa disposition une chambre.
Délicia est une superbe fille, 1.66m pour 52 kg, des longs cheveux noirs bien lisse, des yeux bruns presque noirs et un beau visage fin aux expressions d'adolescente. Son corps mince, sa peau bronzée, sa belle poitrine (85D) et ses petites fesses rondes ne me laisse pas indifférent.
Cela fait deux semaines maintenant que Délicia travaille et vie chez moi. Elle parle très peu et passe ses soirées à regarder la petite télé que j'ai installée dans sa chambre. Je ne sais pas grand choses sur elle, si se n'est qu'elle n'a personne dans le coin, ni famille, ni amis, ni petit copain. Plus je la vois plus je la trouve belle et attirante mais je n'ose pas tenter quelque chose. Jusqu'à une nuit ou je passe devant sa chambre pour aller boire dans la cuisine.
Sa porte n'est pas entièrement fermée, sans doute parce qu'il fait chaud. J’entends ça télé qui fonctionne alors je jette un œil curieux. Je vois alors à l'image un de ces vieux films érotique dans lequel une jeune femme se fait punir par un homme, puis mon regard se pose sur le lit de ma jeune beurette, elle est entièrement nue en train de se masturber. Je peux voir ses seins aux larges aréoles brunes foncé et aux tétons épais et déjà bien tendu, je vois aussi son sexe couvert d'un buisson de poils noirs et le capuchon de son clitoris traversé par un petit anneau argenté. Délicia à la tête tournée vers sa télé et ne me vois pas. Je distingue clairement sa main gauche qui caresse ses seins, joue avec ses tétons en les pinçant légèrement et en les faisant roulés entre ses doigts pendant que sa main droite caresse son clitoris, le titille, puis deux de ses doigts glisse lentement dans sa fente, elle commence à faire de lent va et viens dans sa chatte tout en jouant avec son pouce sur son clito. Son corps ondule au rythme du plaisir qu’elle se procure, elle ne me voit toujours pas ses yeux sont maintenant fermés pour encore mieux se faire plaisir. Moi je commence à sérieusement bandé à la voir ainsi se caresser les seins, doigter sa chatte de plus en plus fort. Soudain mon pied appuis sur une latte du plancher et la fait grincer. Délicia stop ses caresses immédiatement et tourne la tête vers moi tout en essayant de cacher ses seins d’une main et son sexe de l’autre. Elle se m’est assise sur son lit face à moi et baisse les yeux sans oser me regarder. Je suis moi aussi assez honteux et je m’apprête à m’excuser de l’avoir observé ainsi. Mais ma jeune beurette me devance dans cette démarche et me surprend en s’excusant de manière inattendue. 

Délicia - Pardon monsieur Marc je suis désolé, pardon de me comporter ainsi chez vous, je suis désolé mais je suis une salope j’ai besoin de me branler tout le temps, je suis une vulgaire traînée pardonnez moi. S’il vous plaît ne me virer pas, je sais que mon comportement de putain vous déshonneur mais garder moi je vous en supplie, je ferais tout se que vous voudrez. 

Cette réaction de sa part me surprend, son vocabulaire grossier tranche avec son comportement calme et discret de d’habitude. Mais l’entendre parler comme cela et voir son corps face à moi me redonne un début d’érection clairement visible dans mon caleçon. Je la regarde et je réfléchis. Je me dis que je pourrais avoir une soubrette très sexy qui aime le sexe et qui est d’accord pour s’offrir à moi. C’est tout simplement un rêve, alors je décide de commencer maintenant à prendre en main cette jeune beurette salope. 

Marc - Tu es vraiment la dernière des salopes pour oser me parler comme ça et te branler comme une simple chienne dans la chambre que je t’offre. Mais ça me plaît. Alors j’accepte de te garder à une condition. Tu continue ton travail ici mais en plus je peux disposer de toi comme je veux, te baiser gratuitement et quand je veux comme la vulgaire pute que tu es et te punir quand tu ne me satisferas pas. En échange je te promets de faire de toi une femme que les autres femmes jalouseront, je vais t’éduquer sexuellement mais aussi culturellement, je t’apprendrais à bien te comporter en société et tu auras toujours des habits très chics. Acceptes-tu mon offre ?
Délicia - Oui monsieur Marc j’accepte, c’est un grand honneur que vous me faites. Je promets de toujours faire de mon mieux pour vous satisfaire. 
Marc - Alors commence par ne plus cacher tes parties intimes et montre moi tes talents de suceuse, tu m’as bien excité en te branlant tout à l’heure. 
Délicia - Avec plaisir, Je suis une spécialiste de la pipe.

J’aime l’entendre s’insulter et parler cru. Je baisse mon caleçon et lui présente mon sexe circoncis à demi bandé. Délicia pose ses mains sur mon sexe, elle le caresse lentement et entame des va et vient. Ses mains sont douces et douées mais je veux qu’elle me prenne en bouche. Alors je lui assène une claque légère sur sa joue droite en lui disant :

Marc - Je t’ai demandé de me sucer salope. Alors fais le sinon tu va le regretter. 
Délicia - Pardon monsieur.

Délicia pose ses lèvres d’une douceur extrême sur mon gland, elle l’embrasse puis me prend enfin en bouche, elle fait coulisser mon sexe dur dans sa bouche et fait jouer sa délicieuse langue autour de mon gland. Délicia fait aller et venir mon sexe dans sa bouche avec une douceur qui me fait de plus en plus bander. Délicia commence à avoir du mal à prendre mon sexe dans sa bouche, il faut dire que la nature m’a beaucoup gâté, au meilleur de ma forme j’affiche 20 cm de long et 6cm de large se qui pose souvent problème à mes conquêtes pour me sucer ou me recevoir en elles. 

Marc - Enfonce ma bite au fond de ta gorge de putain !! Va plus vite, fait moi jouir dans ta bouche grosse salope !!! 
Délicia -J e ne peux pas plus votre bite est trop grosse monsieur. 
Marc - Alors je vais t’aider. 

Je prends en main la tête de ma beurette et je force pour faire entrée plus profondément mon sexe dans sa bouche. Mais une fois à mi longueur elle à des hauts le cœur et recrache mon sexe. Je décide de ne pas forcer plus pour la première fois. Je garde malgré tout sa tête entre mes mains pour imprimer moi-même le rythme de sa fellation. J’accélère de plus en plus, sa bouche est pleine de salive, elle bave tente de me repousser mais je continue, ses lèvres tendres coulisse le long de mon bâton, cette petite pute à une bouche géniale, elle est faite pour sucer des bites. Mon sexe est dur comme du bois, je baise sa bouche ainsi pendant plusieurs minutes jusqu’à se que je sente la jouissance montée dans ma hampe. Alors je cale ma pine dans sa bouche en maintenant sa tête, sa langue joue avec mon gland, il ne m’en faut pas plus pour décharger plusieurs jets de foutre épais dans sa gorge. Je me retire et regarde Délicia grimacer mais elle finit par tout avaler à ma grande fierté. Je décide de l’humilier un peu en frottant mon gland et mon sexe plein de bave, de sperme et de transpiration sur son visage. Délicia ressemble a une vulgaire traînée comme ça, complètement décoiffé, le visage couvert de différents liquide, la bouche qui sent le sperme, les tétons qui pointent et le sexe trempée de mouille car visiblement elle a aimé me sucer. J’ai bien envie de la baiser mais je préfère la laisser frustrer. 

Marc - Pas mal pour une première fois, tu as encore des progrès à faire pour prendre toute ma bite dans ta bouche. Voilà comment va être ta nouvelle vie. A partir de maintenant tu es ma compagne et non plus ma femme de ménage. Se qui veut dire que tu dors avec moi et que tu pourras rencontrer mes amis, participer à mes activités… Demain nous irons t’acheter des vêtements, je t’expliquerais comment te comporter à l’extérieur avec moi. A la maison tu m’obéis totalement, tu es libre de faire se que tu veux ici mais la maison doit toujours être propre et bien entretenue et tu continue de me faire à manger. Comme je te l’ai dit je fais se que je veux de toi et de ton anatomie et je peux te punir quand je veux et comme je veux. Enfin c’est moi qui décide quand et comment tu peux te laver et je veux que tu garde tes poils autour de ton sexe comme ils sont là. Et je t’autorise à me tutoyer bien sur. 
Délicia - D’accord, merci beaucoup. 
Marc - Parfait alors vient te coucher dans mon lit, on verra le reste demain matin. 
Délicia - Je vais me coucher comme ça sans me laver ?
Marc - Oui tu ressemble plus à la traînée, la putain que tu es avec mon sperme et ta bave sur ton visage et ta chatte trempée. 
Délicia - Tu as raison je suis une salope. 

Je remets mon caleçon et nous allons nous coucher ainsi. Délicia s’endort rapidement en se blottissant contre moi. Elle dégage une forte odeur de sperme de mouille et de transpirations mélangés. C’est assez enivrant tout comme le fait de sentir son corps chaud contre le mien. Mais je décide de la laisser dormir et d’en faire autant.

 

Uro:

Je porte sur moi une tenue courte et légère je t’ouvre ta canette de bière et je m’installe devant toi debout, tu as l’air étonné car je ne te tends pas ta bière tout de suite et je relève ma jupe en te regardant dans les yeux et je bois une gorgée de cette boisson dorée ensuite je mets mon index dans le goulot de la bouteille et je me caresse la chatte en écartant bien les lèvres pour que tu vois bien le fond tout rose de ma chatte je suce à nouveau mes doigts et je commence à me branler avec le goulot de la bouteille ; pendant ce temps tu as déjà sorti ta belle queue de ton treillis et tu te masturbes en profitant du spectacle.

Je continue à joué avec la bière et je te fais boire quelques gorgées de bière pour te désaltérer.

Nous sommes bien excités tous les deux alors je t’invite à passer dans la salle de bain pour nous rafraîchir sous la douche.

Mais avant je te propose de t’asseoir sur les tapis tout nu et de te laisser boire mon jus car j’ai une grosse envie de faire pipi, tu es tout excité quand je viens me placer au-dessus de toi jambes bien écartées et la chatte grande ouverte je lâche alors quelques petits jets de pipi sur ton corps et je te demande si tu as encore soif pour me boire alors je me rapproche de ta bouche et je me laisse aller par petits jets sur ta bouche et je vois ce liquide doré coulé jusque dans ta gorge et tu recraches de petites giclées sur ton torse, je m’accroupis devant toi et je t’embrasse à pleine bouche, je joue avec ma langue autour de ta bouche et je te lèche le torse du bout de ma langue. 

Je te titille la pointe des seins et l’on s’embrasse à nouveau.

Tu es tellement excité que tu vas bientôt jouir alors tu te relèves et tu me prends debout je suis moi aussi tellement excitée que je jouis par petits jets sur ta queue et je fais pipi en même temps car je ne contrôle plus rien.
Nous jouissons ensemble, épuisés nous prenons notre douche en se savonnant mutuellement et après cet effort nous retournons ensemble nous reposer dans le canapé et tu finis ta bière tranquillement.


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